« Scott Pilgrim » : entre manga et jeu vidéo

L’adaptation de « Scott Pilgrim », bande dessinée canadienne créée par Bryan Lee O’Malley, est enfin arrivée dans nos salles. Avec son mélange d’humour, de romance et de combats, le tout accompagné de références à la culture populaire geek, le comics est devenu une œuvre culte. La version cinématographique, signée Edgar Wright, ne tardera elle non plus à le devenir, en dépit de l’échec commercial outre-atlantique.

En effet, le réalisateur nous en met plein les yeux et prouve une nouvelle fois son génie de la mise en scène. Dans le film « Scott Pilgrim » on retrouve tous les ingrédients de la culture geek le tout rendu à merveille avec un aspect visuel soigné. On rentre dans un délire total, un pseudo jeu-vidéo / manga / comics où un jeune, Scott Pilgrim (alias Michael Cera, toujours dans les rôles de losers), tombe amoureux d’une fille un peu spéciale (Mary Elizabeth Winstead). Mais pour sortir avec elle, il va devoir affronter ses sept ex-maléfiques…

Ils s’en suivent ensuite des scènes de combats dignes des Tekken, riches et variées : chaque adversaire ayant sa particularité et son point faible. On est pris dans un rythme fou de battle où l’on oublie totalement l’histoire. Beaucoup d’action et d’humour pour un rendu très surprenant. Sans oublier la bande-annonce excellente. Bref, « Scott Pilgrim » est un ovni rock sans égal mêlant jeu vidéo, manga et comics…

Photos de « Scott Pilgrim »

Synopsis de « Scott Pilgrim »
Scott Pilgrim n’a jamais eu de problème à trouver une petite amie, mais s’en débarrasser s’avère plus compliqué. Entre celle qui lui a brisé le cœur – et qui est de retour en ville – et l’adolescente qui lui sert de distraction au moment où Ramona entre dans sa vie – en rollers – l’amour n’a jamais été chose facile. Il va cependant vite réaliser que le nouvel objet de son affection traîne les plus singulières casseroles jamais rencontrées : une infâme ligue d’ex qui contrôlent sa vie amoureuse et sont prêts à tout pour éliminer son nouveau prétendant. À mesure que Scott se rapproche de Ramona, il est confronté à une palette grandissante d’individus patibulaires qui peuplent le passé de sa dulcinée : du mesquin skateur à la rock star végétarienne en passant par une affreuse paire de jumeaux. Et s’il espère séduire l’amour de sa vie, il doit triompher de chacun d’eux avant que la partie soit bel et bien « over ».

Fiche technique de « Scott Pilgrim »
Date de sortie cinéma : 1 décembre 2010
Réalisé par Edgar Wright
Avec Michael Cera, Mary Elizabeth Winstead, Jason Schwartzman, Anna Kendrick
Titre original : Scott Pilgrim vs. the World
Long-métrage américain
Genre : Aventure, Comédie, Fantastique
Durée : 01h52min
Année de production : 2010
Distributeur : Universal Pictures International France

Bande-annonce de « Scott Pilgrim »

« Red » : un bon moment de détente

Si l’intelligence et la finesse ne sont pas toujours au rendez-vous, on mentirait en disant que l’on l’attendait en allant voir « Red ». Mélangeant explosions, rafales de mitrailleuses et répliques à l’emporte pièces, le scénario est plutôt bâclé, mais ça reste accessoire dans ce type de comédie qui mise avant tout sur la prestation de sa belle brochette d’acteurs, qui fait plus qu’assurer.

En effet, les acteurs semblent beaucoup s’en amuser avec un Bruce Willis s’auto-parodiant, un John Malkovich complètement allumé, une Helen Mirren maniant la sulfateuse entre un gâteau sec et une tasse de thé, et un Morgan Freeman à l’œil coquin.

En regardant « Red » faites comme ces comédiens exceptionnels : ne vous prenez pas au sérieux, ne les prenez pas au sérieux, suivez le mouvement, rigolez, vous êtes là pour ça. Ce n’est certes pas du cinéma d’auteur, mais qu’importe, on s’amuse et c’est l’essentiel. Quoi de mieux qu’un bon moment de détente !

Photos de « Red »

Synopsis de « Red »
L’heure de la retraite a sonné ! Mais dans certaines professions, la transition peut s’avérer difficile : Franck ne supporte pas l’inactivité, son collègue Joe végète en maison de retraite, Marvin use d’amphétamines et Victoria fait des petits boulots. Pas facile de décrocher quand on a été… agents de la CIA toute sa vie ! Pourtant, quand leur ancien employeur décide d’éliminer pour de bon ces agents un peu trop compromettants, il va découvrir qu’en dépit de leur âge, ce sont encore de redoutables adversaires.

Fiche technique de « Red »
Date de sortie cinéma : 17 novembre 2010
Réalisé par Robert Schwentke
Avec Bruce Willis, Morgan Freeman, Helen Mirren, John Malkovich
Long-métrage américain
Genre : Comédie, Action
Durée : 01h51min
Année de production : 2010
Distributeur : SND

Bande-annonce de « Red »

« Potiche » signé François Ozon

Alternants films et genres à un rythme effréné, affamé de cinéma, François Ozon revient avec « Potiche » à la comédie, une adaptation de la pièce de théâtre de Barillet et Gredy.

Le long-métrage nous plonge au cœur d’une famille bourgeoise du Nord en pleine année 1977, située à mi-chemin entre le premier choc pétrolier et l’élection de François Mitterrand. Du coup, nous avons un film de tous les conflits, sociaux, familiaux, idéologiques…

La réussite de « Potiche » est de nous offrir notamment plusieurs niveaux de lecture. Entre la pure comédie à consommer sur place et le portrait d’une société paternaliste devenant libérale, l’œuvre réussit à nous faire oublier le kitch des décors en nous parlant du monde d’aujourd’hui qui a finalement peu changé.

Car à travers son ambiance totalement seventies et ses clichés assumés, le film fait des allusions non cachées à la politique actuelle (allusion hilarante dans les dialogues à… Sarkozy et ses débordements verbaux – d’ailleurs Luchini le représente symboliquement contre une Deneuve faisant forcément penser à Ségolène Royal).

Outre la maîtrise d’Ozon, au scénario et à la réalisation, l’atout principal de « Potiche » réside dans son casting à la fois haut de gamme et génialement parfait. Catherine Deneuve, pourtant à contre emploi dans un registre comique, incarne à merveille cette femme des années 70 ; Gérard Depardieu est tout simplement génial dans son rôle de député communiste. Fabrice Luchini en PDG irascible, Karin Viard en secrétaire très dévouée, Judith Godrèche en peste de droite et Jérémie Renier en homo artiste à peine refoulé complètent cette distribution éclatante. Ozon à réussi son pari.

Photos de « Potiche »

Synopsis de « Potiche »
En 1977, dans une province de la bourgeoisie française, Suzanne Pujol est l’épouse popote et soumise d’un riche industriel Robert Pujol. Il dirige son usine de parapluies d’une main de fer et s’avère aussi désagréable et despote avec ses ouvriers qu’avec ses enfants et sa femme, qu’il prend pour une potiche. À la suite d’une grève et d’une séquestration de son mari, Suzanne se retrouve à la direction de l’usine et se révèle à la surprise générale une femme de tête et d’action. Mais lorsque Robert rentre d’une cure de repos en pleine forme, tout se complique…

Fiche technique de « Potiche »
Date de sortie cinéma : 10 novembre 2010
Réalisé par François Ozon
Avec Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Fabrice Luchini, Karin Viard, Jérémie Renier
Long-métrage français
Genre : Comédie
Durée : 01h43min
Année de production : 2009
Distributeur : Mars Distribution

Bande-annonce de « Potiche »

« Date limite » : un bon moment de détente

Après « Very Bad Trip », Todd Phillips nous régale avec une nouvelle comédie complètement déjantée. Dans « Date limite » l’histoire est centrée sur un classique couple comique fonctionnant sur l’opposition des physiques et des caractères (alors que « Very Bad Trip » fonctionnait sur un quatuor de base).

Ethan « Tremblay » (Zach Galifianakis, dont l’allure de gros nounours et la patauderie correspondante font merveille) l’acteur encore apprenti la quarantaine sonnée qui trimballe dans une boîte de café soluble les cendres de son père et Peter Highman (Robert Downey Jr, sobre et très à l’aise) l’architecte élégant et renommé à quelques jours de sa première paternité, n’ont évidemment rien en commun, apparemment. Ils seront pourtant embarqué dans un road movie déjanté et de nombreuses péripéties plus tard les deux compères arriveront quand même à bon port et les épreuves (hilarantes autant que tragiques) les auront transformés en véritables amis.

Certes, c’est du déjà vu et revu, mais le duo improbable fonctionne juste à merveille. On rit beaucoup – même si ce n’est pas toujours d’une grande finesse (il y a du lourd, et du gras aussi), c’est efficace, rythmé et donc joué avec une jubilation communicative par nos deux (anti)héros. Au final, « Date limite » est une comédie sans prétentions qui nous offre un bon moment de détente.

Photos de « Date limite »

Synopsis de « Date limite »
Cinq jours séparent Peter Highman du jour où il sera père pour la première fois, au terme de la grossesse de sa femme. Tandis qu’il se dépêche de prendre un vol d’Atlanta pour être à ses côtés pour la naissance, ses meilleures intentions s’en vont à vau-l’eau. Une rencontre fortuite avec Ethan Tremblay, un acteur en quête de reconnaissance, force Peter à faire de l’autostop dans une virée qui va le mener à travers le pays, détruisant au passage plusieurs voitures, de nombreuses amitiés et sa dernière résistance.

Fiche technique de « Date limite »
Date de sortie cinéma : 10 novembre 2010
Réalisé par Todd Phillips
Avec Robert Downey Jr., Zach Galifianakis, Michelle Monaghan
Titre original : Due Date
Long-métrage américain
Genre : Comédie
Durée : 01h35min
Année de production : 2010
Distributeur : Warner Bros. France

Bande-annonce de « Date limite »

« Very Bad Cops » : efficace et drôle

Après « From Paris With Love » et « Top Cops », voici un autre buddy movie, autrement dit un film centré sur un duo improbable de personnages que tout oppose… Certes, un genre devenu un grand cliché du cinéma, mais toujours aussi efficace et drôle.

Dans « Very Bad Cops », le duo d’enfer est composé d’abord de Mark Wahlberg, surprenant mais crédible en comique (un registre qui ne lui est pas habituel) et de Will Ferrell, hilarant, comme d’habitude, en flic souffre-douleur souriant de ses collègues de bureau. Tous les deux forment une équipe tout le contraire à l’autre tandem de choc constitué de Samuel L. Jackson et de Dwayne ‘The Rock’ Johnson, en policiers vedettes à qui tout est accordé : pots-de-vin, filles, exemption de toutes les tâches ingrates, droit d’humilier ses collègues.

Parfaitement huilé, « Very Bad Cops » remplit haut la main son cahier des charges à coups de blagues potaches, de situations rocambolesques, de scènes d’action décomplexées et de dialogues pêchus. Une comédie burlesque comme on aimerait en voir de temps en temps, pour se changer les idées.

Photos de « Very Bad Cops »

Synopsis de « Very Bad Cops »
Les inspecteurs Christopher Danson et P.K. Highsmith sont les meilleurs flics de la ville. Ce sont des héros que rien n’arrête. Leurs collègues vont même jusqu’à se faire tatouer leur nom.
Mais dans la police, il y a les cadors… et les autres, comme Gamble et Hoitz, deux petits inspecteurs sans envergure, toujours dans l’ombre, au second plan sur les photos. Pourtant, un jour ou l’autre, chaque agent rencontre l’occasion de passer à la postérité.
Lorsque Gamble et Hoitz se chargent d’une affaire apparemment banale, ils se retrouvent vite au cœur de la plus grande affaire criminelle que la ville ait connue. C’est la chance de leur vie, mais ont-il vraiment ce qu’il faut pour la saisir ?

Fiche technique de « Very Bad Cops »
Date de sortie cinéma : 27 octobre 2010
Réalisé par Adam McKay
Avec Mark Wahlberg, Samuel L. Jackson, Will Ferrell, Dwayne Johnson, Eva Mendes
Titre original : The Other Guys
Long-métrage américain
Genre : Comédie, Action
Durée : 01h47min
Année de production : 2010
Distributeur : Sony Pictures Releasing France

Bande-annonce de « Very Bad Cops »

« Level E » adapté en série animée

Avis aux fans de l’œuvre de Yoshihiro Togashi, l’auteur notamment de « Yu Yu Hakusho » et « Hunter X Hunter ». Son manga humoristique de science-fiction, « Level E », fera l’objet d’une adaptation animée.

Plus de dix ans après la fin de sa parution dans le Shonen Jump, l’œuvre reviendra donc au devant de la scène avec la diffusion d’une série de 13 épisodes prévue pour le courant 2011. C’est par le biais de l’événement Super Jump Anime Tour 2010 que le mangaka et la Shueisha ont annoncé la nouvelle sans beaucoup plus de précisions.

Pour l’instant, tout ce que l’on sait de cette adaptation est qu’elle sera le fruit de la collaboration entre David Production (« Bleach », « Ristorante Paradiso ») et le Studio Pierrot (« Hikaru no Go », « GTO », « Naruto »). Plus d’informations seront dévoilées très prochainement.

Pour rappel, le manga « Level E » est une œuvre très personnelle pour Yoshihiro Togashi. Ce dernier l’a écrite et dessinée tout seul, sans assistant, en se chargeant de toutes les phases de sa création. Ce qui expliquerait qu’au lieu de sortir un chapitre par semaine (comme c’était l’habitude pour « Yu Yu Hakusho »), il en sor­ti­ra un par mois. Ainsi pré-publié entre 1995 et 1997 dans le magazine Shonen Jump, le manga compte un total de 16 chapitres. Trois tomes reliés ont ensuite vu le jour (2 tomes pour l’édition Bunko).

Pourtant, libre des contraintes, le man­ga­ka s’est lancé dans l’écri­ture d’une comédie de science-fiction to­ta­le­ment délirante. Malheureusement, en France, « Level E » n’a jamais été publié.

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Synopsis de « Level E »
En ce mo­ment même, de nom­breuses créa­tures ex­tra-​ter­restres co­ha­bitent avec les hommes sur Terre. Leur pré­sence est in­con­nue des pauvres hu­mains que nous sommes. L’his­toire com­mence par la pré­sen­ta­tion de Tsut­sui Yu­ki­ta­ka, un jeune homme pas­sion­né de ba­se­ball. Il ren­contre le prince Baka (‘idiot’ en japonais) Ki Eru Dogula de la planète Dogura, un extraterrestre amnésique qui, tra­qué par les ser­vices scien­ti­fiques japo­nais, se ré­fu­gie chez lui. Bien que recherché par le gou­ver­ne­ment, le Prince cu­mule les bê­tises et se dé­brouille no­tam­ment pour se mettre à dos la com­mu­nau­té alien la plus har­gneuse vi­vant sur Terre. Peu à peu, il révèle aussi sa na­ture pro­fon­dé­ment sa­dique.

Le manga est dé­cou­pé en de mul­tiples his­toires dont le point com­mun est le per­son­nage du Prince Baka. Des aventures plus que palpitantes où extraterrestres et humains vont se côtoyer de très près…

« Kaboom » : décalé, sexy et jouissif !

Avis aux fans de Gregg Araki, dans sa nouvelle œuvre vous trouverez tous les ingrédients qui caractérisent le réalisateur : des teenagers, du sexe débridé, une bonne dose de délire, de surnaturel et surtout d’humour.

Plus proche de « Smiley Face » que de « Mysterious Skin », « Kaboom » est un film complètement déjanté, légèrement au début puis qui va en s’aggravant au fur et à mesure que l’histoire avance, jusqu’à devenir du grand n’importe quoi vers la fin à pleurer de rire. Une sorte de croisement entre « American Pie » et « Donnie Darko », pour vous donner une idée de ce qui vous attend.

Il y a, enfin, quelque chose d’assez géniale dans le décalage entre la construction de l’intrigue, qui laisse planer le doute sur la nature de se qui se trame sur le campus et sa résolution, où le réalisateur en roue libre cède avec délectation à la satire grotesque. En trois mots : décalé, sexy et jouissif !

Photos de « Kaboom »

Synopsis de « Kaboom »
Smith mène une vie tranquille sur le campus – il traîne avec sa meilleure amie, l’insolente Stella, couche avec la belle London, tout en désirant Thor, son sublime colocataire, un surfeur un peu simplet – jusqu’à une nuit terrifiante où tout va basculer. Sous l’effet de space cookies ingérés à une fête, Smith est persuadé d’avoir assisté à l’horrible meurtre de la Fille Rousse énigmatique qui hante ses rêves. En cherchant la vérité, il s’enfonce dans un mystère de plus en plus profond qui changera non seulement sa vie à jamais, mais aussi le sort de l’humanité.

Fiche technique de « Kaboom »
Date de sortie cinéma : 6 octobre 2010
Réalisé par Gregg Araki
Avec Thomas Dekker, Juno Temple, Roxane Mesquida
Long-métrage américain
Genre : Comédie
Durée : 01h26min
Année de production : 2009
Distributeur : Wild Bunch Distribution

Bande-annonce de « Kaboom »

« Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu »

Voici voila le 46ème long-métrage réalisé par Woody Allen qui vient de débarquer sur nos écrans : « Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu », un 4ème film a être tourné en Angleterre.

Et que dire de l’œuvre si ce n’est qu’il s’agit du pur Woody Allen : des personnages haut en couleurs en quête de quelque chose que l’on ignore autant qu’eux ; une bonne dose de dialogues alarmés et de désordre existentiel ; une ambiance bien rendue à l’écran ; une palette de stars (Naomi Watts, Antonio Banderas, Anthony Hopkings, Freida Pinto, etc.). Un vrai kaléidoscope de la vie qui parvient à nous amuser avec des choses pourtant pas toujours drôles.

Certes il n’y a pas de quoi crier au chef-d’œuvre, mais même un « petit » Woody Allen comme celui-là se laisse visionner avec gourmandise !

Photos de « Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu »

Synopsis de « Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu »
Tout commence une nuit, lorsqu’Alfie se réveille, paniqué à l’idée qu’il ne lui reste plus que quelques précieuses années à vivre. Cédant à l’appel du démon de midi, il met abruptement fin à quarante années de mariage en abandonnant sa femme Helena. Après une tentative de suicide et une analyse vite arrêtée, celle-ci trouve un réconfort inattendu auprès d’une voyante, Cristal, qui lui prédit une histoire d’amour avec un « grand inconnu tout de noir vêtu »…

Fiche technique de « Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu »
Date de sortie cinéma : 6 octobre 2010
Réalisé par Woody Allen
Avec Naomi Watts, Antonio Banderas, Josh Brolin, Anthony Hopkins, Freida Pinto
Titre original : You Will Meet a Tall Dark Stranger
Long-métrage américain, britannique
Genre : Comédie, Drame
Durée : 01h38min Année de production : 2010
Distributeur : Warner Bros. France

Bande-annonce de « Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu »

« Toy Story 3 » : une merveille d’animation

On retrouve avec un immense plaisir nos jouets préférés du cinéma avec ce « Toy Story 3 ». Quinze ans après le premier opus et dix ans après le second, on découvre avec émerveillement que la saga n’a pas pris une ride tout ce temps. Perfection en terme d’animation, histoire bien ficelée, action bien rythmée, un univers truffé de nombreux clins d’œil, d’un zeste d’humour et d’émotion – voici les ingrédients qui font vivre ce film.

Le génie des studios Pixar, c’est aussi de savoir nous faire retomber en enfance, de nous faire voir Woody, Buzz et les autres comme on regardait nos jouets étant enfant, comme de vrais êtres vivants, comme nos amis les plus proches. Cette plongée dans l’enfance est vraie bouffée d’oxygène jusqu’à un final (attention SPOILER), qui saura nous faire verser notre petite larmes quand Andy jouera une dernière fois avec les héros de son enfance, avant de leur dire « au revoir » et que nous, nous quittions une nouvelle fois ce monde de l’enfance que nous avions eu plaisir à retrouver le temps d’un film…
merveille d’animation
Images de « Toy Story 3 »

Synopsis de « Toy Story 3 »
Les créateurs des très populaires films Toy Story ouvrent à nouveau le coffre à jouets et invitent les spectateurs à retrouver le monde délicieusement magique de Woody et Buzz au moment où Andy s’apprête à partir pour l’université. Délaissée, la plus célèbre bande de jouets se retrouve… à la crèche ! Les bambins déchaînés et leurs petits doigts capables de tout arracher sont une vraie menace pour nos amis ! Il devient urgent d’échafauder un plan pour leur échapper au plus vite. Quelques nouveaux venus vont se joindre à la Grande évasion, dont l’éternel séducteur et célibataire Ken, compagnon de Barbie, un hérisson comédien nommé Larosse, et un ours rose parfumé à la fraise appelé Lotso.

Fiche technique de « Toy Story 3 »
Date de sortie cinéma : 14 juillet 2010
Réalisé par Lee Unkrich
Avec Tom Hanks, Tim Allen, Michael Keaton
Long-métrage américain
Genre : Animation, Aventure, Comédie
Durée : 01h40min
Année de production : 2010
Distributeur : Walt Disney Studios Motion Pictures France

Bande-annonce de « Toy Story 3 »

« Shrek 4, il était une fin »

Nul doute, ça fait toujours plaisir de retrouver notre bon gros Shrek qui se voit, une nouvelle fois, pris dans des péripéties dignes d’un conte de fées. D’autant plus que ce nouvel épisode devrait clore les aventures du célèbre ogre vert.

Après un premier volet où Shrek apprenait à s’aimer, un second où il découvrait la vie de famille et un troisième où il assumait ses responsabilités de père et de mari, vient le quatrième épisode et, avec lui, la crise existentielle pour notre héros avec la question « Aurait-il pu mener une autre vie ? ».

Le tout reprenant les mêmes ingrédients que ses prédécesseurs – un humour décalé, une brochette de personnages délirants, beaucoup d’action et un grain de folie – pour un film d’animation 100% divertissement. Une jolie fin pour la saga de notre ami Shrek.

Images de « Shrek 4, il était une fin »

Synopsis de « Shrek 4, il était une fin »
Après avoir vaincu un méchant dragon, sauvé une belle princesse et le royaume de ses parents, que peut encore faire un ogre malodorant et mal léché ? Domestiqué, assagi, Shrek a perdu jusqu’à l’envie de rugir et regrette le bon vieux temps où il semait la terreur dans le royaume. Aujourd’hui, tel une idole déchue, il se contente de signer des autographes à tour de bras. Trop triste…
C’est alors que l’habile et sournois Tracassin lui propose un contrat. Shrek se retrouve soudain transporté dans un monde parallèle totalement déjanté où les ogres sont pourchassés, où Tracassin est roi, où Fiona et son bien-aimé ne se jamais rencontrés…
Shrek va-t-il réussir à déjouer le sortilège, à repasser de l’autre côté du miroir, à sauver ses amis, à retrouver son monde et reconquérir l’amour de sa vie ?

Fiche technique de « Shrek 4, il était une fin »
Date de sortie cinéma : 30 juin 2010
Réalisé par Mike Mitchell
Avec Mike Myers, Eddie Murphy, Cameron Diaz
Titre original : Shrek Forever After
Long-métrage américain
Genre : Animation, Comédie, Fantastique
Durée : 01h33min
Année de production : 2010
Distributeur : Paramount Pictures France

Bande-annonce de « Shrek 4, il était une fin »