« Moi, moche et méchant »

Un bon petit film d’animation bien plaisant qui vaut le détour. D’autant plus qu’il est animé en France (chez Mac Guff), et co-réalisé (avec Chris Renaud) par le Français Pierre Coffin.

« Moi, moche et méchant » est clairement le coup de cœur de l’animation de la rentrée, en se destinant à la fois aux enfants et aux adultes. Derrière les gags hilarants, l’histoire dévoile des personnages attachants et une façon de montrer les choses intéressante. Mais l’arme fatale de ce film est bel est bien la présence des Minions, petites créatures avides de mauvais coup et qui ressemblent drôlement aux Lapins Crétins 😉 dans leurs attitudes.

La prévisibilité de l’histoire et l’utilisation de la 3D devenant des défauts classiques, le film reste efficace sans trop en faire. Un bon moment à passer pour petits et grands.

Images de « Moi, moche et méchant »

Synopsis de « Moi, moche et méchant »
Dans un charmant quartier résidentiel délimité par des clôtures de bois blanc et orné de rosiers fleurissants se dresse une bâtisse noire entourée d’une pelouse en friche. Cette façade sinistre cache un secret : Gru, un méchant vilain, entouré d’une myriade de sous-fifres et armé jusqu’aux dents, qui, à l’insu du voisinage, complote le plus gros casse de tous les temps : voler la lune (Oui, la lune !)…
Gru affectionne toutes sortes de sales joujoux. Il possède une multitude de véhicules de combat aérien et terrestre et un arsenal de rayons immobilisants et rétrécissants avec lesquels il anéantit tous ceux qui osent lui barrer la route… jusqu’au jour où il tombe nez à nez avec trois petites orphelines qui voient en lui quelqu’un de tout à fait différent : un papa.
Le plus grand vilain de tous les temps se retrouve confronté à sa plus dure épreuve : trois fillettes prénommées Margo, Edith et Agnes.

Fiche technique de « Moi, moche et méchant » Date de sortie cinéma : 6 octobre 2010
Réalisé par Pierre Coffin, Chris Renaud
Avec Steve Carell, Jason Segel, Russell Brand
Titre original : Despicable Me
Long-métrage américain
Genre : Animation
Durée : 01h35min
Année de production : 2010
Distributeur : Universal Pictures International France

Bande-annonce de « Moi, moche et méchant »

Dofus et Wakfu font leur cinéma

Ankama vient d’annoncer la sortie « prochaine » dans les salles obscures de deux long métrages tirés des univers de Dofus et Wakfu. Après les jeux vidéos, les bandes dessinées, les jeux de cartes, la série animée, la société française spécialisée dans le domaine de la création numérique et artistique veut passer à la vitesse supérieure.

Premier film annoncé, « DOFUS Livre 1 : Joris Jurgen », qui sortira en 2013 et sera basé sur l’ère du jeu-vidéo en ligne ‘Dofus’, soit 1000 ans avant celle de la série « Wakfu ». Aucune précision n’a été donnée concernant le scénario, si ce n’est qu’il devrait découvrir des pans inédits de l’univers. Les plus attentifs auront remarqué que le titre parle d’un « Livre 1 », il n’est donc pas à exclure que d’autres longs-métrages Dofus pourraient voir le jour par la suite 😉 .
Le film sera accompagné peu avant par « DOFUS la série », composée de 26 épisodes de 26 minutes qui sera diffusée sur France Télévisions.

Le 2eme long-métrage d’animation sera donc consacré à « Wakfu », et suivra les 2 premières saisons de la série animée (reste à savoir si cela veut dire qu’il reprendra la trame des épisodes déjà diffusés ou bien s’il leur fera suite). Le film devrait sortir en 2014 au cinéma.

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Notons également que le coffret DVD de l’intégrale de la saison 1 de la série « Wakfu » sort quant à lui le 3 novembre prochain, et comprendra notamment le fameux épisode « Noximilien l’horloger » qui a été produit au Japon. Il y aura également l’ensemble des petits épisodes « Mini Wakfu », et divers goodies (1 strap Tristepin, cartes à jouer Wakfu TCG…). Un coffret 6DVD pour 29,90 euros.

The Goon : le film en vidéos

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Le comics déjanté d’Eric Powell fait actuellement l’objet d’une adaptation cinématographique produite par David Fincher (« Fight Club », « Seven ») et réalisée par Tim Miller et Jeff Fowler. Le film est en outre animé en CGI (images de synthèses) par le Studio Blur et c’est Eric Powell qui signe lui-même le scénario du long-métrage.

Le comics
Pour ceux qui ne connaissent pas l’histoire, la BD raconte les aventures de The Goon (en anglais le mot Goon est synonyme de brute épaisse, de bourrin mais aussi de gorille), une brute qui préfère se battre avant d’envisager de parler et de son meilleur ami Franky, plus petit mais un véritable psychopathe. Les deux comparses vont devoir rétablir un semblant d’ordre dans une ville infestée de zombies, de goules ou autres monstres sous les ordres d’un prêtre déjanté à la tête d’une armée de morts-vivants, bien décidé à conquérir le monde…

L’adaptation cinématographique
Notons que le projet d’adaptation a été mis en route depuis deux années déjà. Le film a finalement pointé le bout de son nez via un premier teaser et une bande-annonce, tous les deux jouissifs à souhait. On peut y constater avec joie que les graphismes du comics sont respectés. Par contre, on note que l’auteur semble avoir pris certaines libertés par rapport à la BD, le personnage de Franky étant mis en avant et The Goon prenant un rôle plus secondaire.

Sachez enfin que c’est Paul Giamatti qui prête sa voix au personnage de Franky et Clancy Brown à celui de The Goon.

Mêlant horreur et humour noir, les vidéos donnent sacrément envie d’en voir plus. Mais le film n’a pas de date de sortie pour la France, à l’heure actuelle. Vivement que la bagarre commence bientôt !

On vous laisse savourer :

« The Goon » – trailer

« The Goon » – teaser

« Toy Story 3 » : une merveille d’animation

On retrouve avec un immense plaisir nos jouets préférés du cinéma avec ce « Toy Story 3 ». Quinze ans après le premier opus et dix ans après le second, on découvre avec émerveillement que la saga n’a pas pris une ride tout ce temps. Perfection en terme d’animation, histoire bien ficelée, action bien rythmée, un univers truffé de nombreux clins d’œil, d’un zeste d’humour et d’émotion – voici les ingrédients qui font vivre ce film.

Le génie des studios Pixar, c’est aussi de savoir nous faire retomber en enfance, de nous faire voir Woody, Buzz et les autres comme on regardait nos jouets étant enfant, comme de vrais êtres vivants, comme nos amis les plus proches. Cette plongée dans l’enfance est vraie bouffée d’oxygène jusqu’à un final (attention SPOILER), qui saura nous faire verser notre petite larmes quand Andy jouera une dernière fois avec les héros de son enfance, avant de leur dire « au revoir » et que nous, nous quittions une nouvelle fois ce monde de l’enfance que nous avions eu plaisir à retrouver le temps d’un film…
merveille d’animation
Images de « Toy Story 3 »

Synopsis de « Toy Story 3 »
Les créateurs des très populaires films Toy Story ouvrent à nouveau le coffre à jouets et invitent les spectateurs à retrouver le monde délicieusement magique de Woody et Buzz au moment où Andy s’apprête à partir pour l’université. Délaissée, la plus célèbre bande de jouets se retrouve… à la crèche ! Les bambins déchaînés et leurs petits doigts capables de tout arracher sont une vraie menace pour nos amis ! Il devient urgent d’échafauder un plan pour leur échapper au plus vite. Quelques nouveaux venus vont se joindre à la Grande évasion, dont l’éternel séducteur et célibataire Ken, compagnon de Barbie, un hérisson comédien nommé Larosse, et un ours rose parfumé à la fraise appelé Lotso.

Fiche technique de « Toy Story 3 »
Date de sortie cinéma : 14 juillet 2010
Réalisé par Lee Unkrich
Avec Tom Hanks, Tim Allen, Michael Keaton
Long-métrage américain
Genre : Animation, Aventure, Comédie
Durée : 01h40min
Année de production : 2010
Distributeur : Walt Disney Studios Motion Pictures France

Bande-annonce de « Toy Story 3 »

« Rango » promet !

rango

Le nouveau projet de Gore Verbinski, réalisateur notamment des trois volets de « Pirates des Caraïbes », a pointé le bout de son nez, histoire de nous mettre l’eau à la bouche.

Il s’agit de « Rango », un film d’animation qui s’annonce complètement déjanté et marquera une nouvelle collaboration avec Johnny Depp.

En effet, comme c’est indiqué sur la toute première affiche du film (ci-contre), Mister Paradis est Rango, un caméléon au regard hypnotisant qui arbore une chemise hawaïenne du meilleur goût. On le croirait presque sorti d’un délire psychédélique du héros de « Las Vegas Parano », autre film porté par Depp. Mai il n’en est rien (ou presque), ici l’acteur prêtera sa voix à l’étrange reptile, héros malgré lui, dans ce western qui mettra en scène les créatures du désert.

Synopsis
L’histoire du caméléon Rango, animal de compagnie étrangement charismatique, qui part à l’aventure dans une quête identitaire. Il arrive à la ville de Dirt, sorte de village de western en plein désert Mojave et accepte le rôle de shérif. Mais pour se faire respecter, il doit devenir un héros aux yeux des autres animaux…

Basé sur une idée originale de Gore Verbinski, « Rango » est scénarisé par John Logan (« Aviator »). Le reste du casting vocal est lui aussi impressionnant : Timothy Olyphant (« Hitman »), Bill Nighy (bientôt dans « Harry Potter 7 ») , Abigail Breslin (« Little Miss Sunshine »), Alfred Molina (« Spider-Man 2 ») et Harry Dean Stanton (« Alien »).

Sortie prévue chez nous le 6 avril 2011 via la Paramount.

Et si vous n’êtes toujours pas séduit par « Rango », voici la bande-annonce psychédélique qui donne sacrément envie d’en voir plus :

« Rango » – trailer

« Shrek 4, il était une fin »

Nul doute, ça fait toujours plaisir de retrouver notre bon gros Shrek qui se voit, une nouvelle fois, pris dans des péripéties dignes d’un conte de fées. D’autant plus que ce nouvel épisode devrait clore les aventures du célèbre ogre vert.

Après un premier volet où Shrek apprenait à s’aimer, un second où il découvrait la vie de famille et un troisième où il assumait ses responsabilités de père et de mari, vient le quatrième épisode et, avec lui, la crise existentielle pour notre héros avec la question « Aurait-il pu mener une autre vie ? ».

Le tout reprenant les mêmes ingrédients que ses prédécesseurs – un humour décalé, une brochette de personnages délirants, beaucoup d’action et un grain de folie – pour un film d’animation 100% divertissement. Une jolie fin pour la saga de notre ami Shrek.

Images de « Shrek 4, il était une fin »

Synopsis de « Shrek 4, il était une fin »
Après avoir vaincu un méchant dragon, sauvé une belle princesse et le royaume de ses parents, que peut encore faire un ogre malodorant et mal léché ? Domestiqué, assagi, Shrek a perdu jusqu’à l’envie de rugir et regrette le bon vieux temps où il semait la terreur dans le royaume. Aujourd’hui, tel une idole déchue, il se contente de signer des autographes à tour de bras. Trop triste…
C’est alors que l’habile et sournois Tracassin lui propose un contrat. Shrek se retrouve soudain transporté dans un monde parallèle totalement déjanté où les ogres sont pourchassés, où Tracassin est roi, où Fiona et son bien-aimé ne se jamais rencontrés…
Shrek va-t-il réussir à déjouer le sortilège, à repasser de l’autre côté du miroir, à sauver ses amis, à retrouver son monde et reconquérir l’amour de sa vie ?

Fiche technique de « Shrek 4, il était une fin »
Date de sortie cinéma : 30 juin 2010
Réalisé par Mike Mitchell
Avec Mike Myers, Eddie Murphy, Cameron Diaz
Titre original : Shrek Forever After
Long-métrage américain
Genre : Animation, Comédie, Fantastique
Durée : 01h33min
Année de production : 2010
Distributeur : Paramount Pictures France

Bande-annonce de « Shrek 4, il était une fin »

« L’Illusionniste » : un petit bijou d’animation

Sept ans après « Les Triplettes de Belleville », Sylvain Chomet revient avec un nouveau long-métrage d’animation, « L’Illusionniste », fondé sur un scénario de Jacques Tati. Tourné en 2D, le film est une très belle réussite tant sur l’histoire que sur le graphisme.

Dans ce projet demeuré à l’état d’esquisse, Tati cherchait à revenir sur ses années dans le music-hall comme Chaplin avec « Les feux de la rampe » : un vieil artiste ringard de music-hall prend sous son aile une jeune serveuse rencontrée lors de ses pérégrinations en Ecosse, et va l’aider à trouver sa place dans le monde…

Chomet reprend les grandes lignes du scénario et le transforme en film sur Tati, nous livrant plus un hommage au maître qu’une adaptation personnelle. Cette œuvre animée est une évocation directe de la figure de l’homme à la pipe, à travers la silhouette et le patronyme de l’illusionniste.

Minutieux, attentif, le trait du dessin l’est également, qu’il s’agisse des protagonistes, des décors ou des accessoires. Chomet multiplie les plans généraux d’Edimbourg à l’aube et au crépuscule, et restitue à merveille l’ambiance désuète des music-halls des années 50.

Au final, un film émouvant, envoutant et captivant, un vrai bijou d’animation qui vaut le détour.

Images de « L’Illusionniste »

Synopsis de « L’Illusionniste »
À la fin des années 50, une révolution agite l’univers du music-hall : le succès phénoménal du rock, dont les jeunes vedettes attirent les foules, tandis que les numéros traditionnels – acrobates, jongleurs, ventriloques – sont jugés démodés. Notre héros, l’illusionniste, ne peut que constater qu’il appartient désormais à une catégorie d’artistes en voie de disparition. Les propositions de contrats se faisant de plus en plus rares, il est contraint de quitter les grandes salles parisiennes et part avec ses colombes et son lapin tenter sa chance à Londres. Mais la situation est la même au Royaume-Uni : il se résigne alors à se produire dans des petits théâtres, des garden-parties, des cafés, puis dans le pub d’un village de la côte ouest de l’Écosse, où il rencontre Alice, une jeune fille innocente qui va changer sa vie à jamais.

Fiche technique de « L’Illusionniste »
Date de sortie cinéma : 16 juin 2010
Réalisé par Sylvain Chomet
Avec Jean-Claude Donda, Edith Rankin
Long-métrage français
Genre : Animation
Durée : 01h20min
Année de production : 2006
Distributeur : Pathé Distribution

Bande-annonce de « L’Illusionniste »

« CJ7 » : trailer + images

Le film « CJ7 », produit, réalisé et interprété par Stephen Chow (« Shaolin Soccer », « Kung fu Hustle »…) se verra doté d’une adaptation animée. Cette dernière est toujours produite par le célèbre roi de la Comédie hong-kongais, mais c’est Toe Yuen, le même qui avait dirigé les long-métrages animés de « Mc Dull », qui es aux commandes du projet. Un premier trailer a dores et déjà fait surface sur la toile :

« CJ7 » – trailer

« CJ7 » est au fait une séquelle à la comédie de science-fiction live sortie directement en DVD chez nous. Cette dernière racontait les aventures loufoques d’un petit garçon et de son chien extraterrestre et intégrait pas mal de 3D. Devenu un véritable hit en Chine, le film a logiquement fait l’objet d’une adaptation produite par Star Overseas Co. et China Film Group.

Notons que Stephen Show n’a pas succombé à la 3D, alors que le relief est actuellement en plein essor en Asie, statuant qu’il privilégie la belle histoire à une débauche graphique. Sachez enfin que la majorité du cast initial (sauf Stephen Chow qui a été doublé en mandarin) prête sa voix à son personnage virtuel.

Le long-métrage d’animation sortira le 6 juillet prochain dans les salles chinoises. En France, aucune date de sortie annoncée, il faudra se contenter des images de « CJ7 » :

cj7

« Summer Wars » de Mamoru Hosoda…

Après la poésie de son dernier film « La Traversée du Temps », Mamoru Hosoda nous gratifie avec « Summer Wars » de toute la force d’un récit trans-générationnel, qui aborde des sujets tel que la famille, les réseaux sociaux, les relations réelles et virtuelles, la tradition, la modernité.

Le tout combiné dans un scénario actuel et original qui met en parallèle deux univers. D’un côté, le royaume d’Oz, monde virtuel, gigantesque réseau social de plusieurs millions d’internautes attaqué par un méchant virus. De l’autre, le monde réel où évolue une famille à la prestigieuse lignée. Le clan Jinnouchi, qui remonte au XVIe siècle, s’est réuni à la campagne pour célébrer les 90 ans de l’arrière-grand-mère de l’héroïne. Le Japon et ses deux visages. La haute technologie, ses avatars, ses ­virus face à la tradition ancestrale.

Et le film oscille entre les genres avec réussite, offrant une aventure riche et entraînante tout en évitant la lourdeur qui aurait pu s’installer grâce à un second degré et un humour omniprésent et efficace. Sans oublier l’élégance de l’animation classique et l’inventivité de la représentation numérique du monde d’Oz.

Au final, « Summer Wars » a tous les ingrédients nécessaires pour faire passer à ses spectateurs une aventure passionnante qui ne se prend pas complètement au sérieux (à l’image de la scène finale) et qui impose son réalisateur comme un grand de l’animation.

Images de « Summer Wars »

Synopsis de « Summer Wars »
Bienvenue dans le monde de OZ : la plateforme communautaire d’internet. En se connectant depuis un ordinateur, une télévision ou un téléphone, des millions d’avatars alimentent le plus grand réseau social en ligne pour une nouvelle vie, hors des limites de la réalité.
Kenji, un lycéen timide et surdoué en mathématiques, effectue un job d’été au service de la maintenance d’OZ. A sa grande surprise, la jolie Natuski, la fille de ses rêves, lui propose de l’accompagner à Nagano, sa ville natale. Il se retrouve alors embarqué pour la fête traditionnelle du clan Jinnouchi. Il comprend bientôt que Natsuki ne l’a invité que pour jouer le rôle du ‘futur fiancé’ et faire bonne figure vis-à-vis de sa vénérable grand mère. Au même moment, un virus attaque OZ, déclenchant catastrophe sur catastrophe au niveau planétaire.
Avec l’aide de Kenji, tout le clan Jinnouchi se lance alors dans une véritable croisade familiale pour sauver le monde virtuel et ses habitants…

Fiche technique de « Summer Wars »
Date de sortie cinéma : 9 juin 2010
Réalisé par Mamoru Hosoda
Avec Ryunosuke Kamiki, Patrick Mölleken, Nanami Sakuraba
Long-métrage japonais
Genre : Animation
Durée : 01h54min
Année de production : 2009
Distributeur : Eurozoom

Bande-annonce de « Summer Wars »

« L’Illusionniste » – la bande-annonce

Le nouveau long-métrage d’animation en 2D de Sylvain Chomet, créateur des « Triplettes de Belleville » (nomination à l’Oscar de la meilleure chanson originale 2004) est inspiré d’un scénario inédit de Jacques Tati. Et quand le talentueux animateur rencontre le cinéaste de génie, on peut s’attendre à un grand moment de poésie et d’émerveillement.

Et le résultat est semble-t-il à la hauteur des expectatives. La première projection mondiale de « L’Illusionniste » a eu lieu en févier dernier au Festival de Berlin, où il a fait l’unanimité. Un succès qui n’a visiblement pas échappé aux studios Sony Pictures Classics, puisqu’ils ont acquis de Pathé les droits de distribution en Amérique du Nord. Une collaboration qui n’est toutefois pas nouvelle, puisqu’ils avaient déjà fait de même pour « Les Triplettes de Belleville » en 2003.

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« L’Illusionniste » raconte l’histoire d’un vieux magicien sur le déclin, qui va croiser dans une petite communauté isolée une jeune fille persuadée qu’il possède de vrais pouvoirs, une rencontre qui va changer sa vie.

Produit par Bob Last, le film sortira sur nos écrans le 16 juin prochain. Souhaitons-lui la même réussite que son prédécesseur. En attendant, voici la bande-annonce :

« L’Illusionniste » – Bande Annonce