Haaa la saga Alerte Rouge ! Après plus de 7 ans de silence, Command & Conquer : Alerte Rouge 3 pointe enfin le bout de son nez avec 6 captures d’écrans !
Des visuels d’Alerte Rouge 3 : Cliquez pour les agrandir
La série Alerte Rouge place le joueur dans un univers alternatif. Dans le premier Alerte Rouge, les nazis n’ont pas pris le pouvoir et la Seconde Guerre Mondiale n’a pas eu lieu. A la place, les troupes de Staline ont déboulé sur l’ouest. Dans le 2, le successeur de Staline voulait prendre sa revanche. Dans Alerte Rouge 3, on retrouvera toujours une guerre mondiale entre les Alliés et les Soviétiques, mais la grande nouveauté c’est la présence d’un troisième belligérant à savoir la Chine. Sur certain aspect, le jeu est carrément steam punk, avec ses bombardiers zeppelin et ses armes tesla. Du coup, ça laisse le champ libre à l’imagination des créateurs du jeu quant aux armes et unités disponibles. C’est d’ailleurs Chris Corry qui est en charge d’Alerte Rouge 3. Corry a signé Command and Conquer 3 : Tiberium Wars.
En dehors de la troisième classe jouable, l’autre grosse innovation du jeu réside dans l’obligation de jouer entièrement la campagne en mode coopératif. Vous pourrez donc jouer avec vos potes dans la campagne solo du jeu. Et si, comme moi, vous n’aimez pas attendre que vos potes soient dispo pour éclater du chinois et du cocos, l’ordinateur gèrera vos alliés. Ce parti pris est assez radical, on perd le sentiment de surpuissance à écraser les armées adversaires tout seul. A voir comment ce sera géré.
Le jeu sortira sur PC, Playstation 3 et XBOX360. Quand à la date de sortie, on parle de fin 2008. La seule certitude, c’est qu’actuellement des clés donnant accès à la beta d’Alerte Rouge 3 sont distribuées dans les boites de jeu Command & Conquer 3: Kane’s Wrath. Et la beta commence en septembre 2008.
A suivre.
Modifiez vos personnages : ici la National Army (les nazi)
Les combats se font à la troisième personne
Alors petite séance de rattrapage : La série Battlefield est une des plus belles vaches à lait d’EA ces dernières années. Les Battlefield sont des jeux de guerre sauce FPS, on choisit son camp, sa classe de personnage et on gambade gaiement dans des terrains énormes pour dégommer les gars du camp adverse. La force des Battlefield, c’est la possibilité d’utiliser tout ce qui traine sur la zone de jeu : avion, hélicoptère, jeap, tank, bateau, DCA…
A la base, Starship Troopers est un roman de science-fiction de Robert A. Heinlein paru en 1959. Il a été publié en France sous le titre « Étoiles, Garde-à-vous !« . Il a gagné le prix Hugo en 1960 (prix américain du meilleur roman de science-fiction)
En 1998 est sorti le premier film tiré du livre, Starship Troopers. Heureusement pour nous, c’est Paul Verhoeven (« Robocop« , « Total Recall« , « Basic Instinct« …) qui s’y est collé. Le réalisateur ultra sulfureux a dynamité le bouquin, retournant les concepts politiques puants à la figure même de ses géniteurs. On retrouve un Johnny Rico échappé d’un sitcom, plastique à souhait entouré de ses copines barbie (les ultra sexy Dina Meyer et Denise Richards). Il échappe à son petit nid doré pour s’engager et devenir un « citoyen ». Après un entrainement militaire intensif, nos petits boy scouts finissent par se retrouver sur les planètes aliens où les troupes terriennes se font déchiqueter par des arachnides ultra violents. Verhoeven fait un parallèle grossier mais ô combien jouissif entre la propagande militariste « tout le monde il est beau et tout le monde va devenir citoyen » et la réalité de la guerre et son chapelet d’atrocités. Verhoeven épingle dans son film les systèmes autoritaires et les régimes militaires mais il ne se prive pas d’écorcher l’hypocrisie militaire américaine, gendarme du monde.
Iron Man est un personnage de Marvel Comics crée en 1963 par Stan Lee (Spider-Man, X Men…) et dessiné par Jack Kirby. A l’époque, le comics racontait les aventures de Anthony Edward « Tony » Stark, génial inventeur, beau gosse et accessoirement directeur des Stark Industries spécialisé dans l’armement. Alors qu’il se rend au Vietnam en pleine guerre pour faire la démonstration d’une nouvelle arme, il est capturé par des soldats vietnamien. Dans sa prison, il est accompagné du professeur Ho Yinsen. Tout deux doivent concevoir des armes pour leurs geôliers. Plutôt que de leur obéir, les deux hommes construisent un exosquelette afin de s’enfuir. Iron Man vient donc de naitre. Stark réussit à s’échapper et utilise par la suite son armure pour combattre le crime.
Dès les premiers plans, on s’en prend plein les yeux. Le duo Coen maitrise à la perfection la réalisation, magnifié par le boulot de Roger Deakins, leur directeur de la photographie attitré. L’ouest américain, mille fois filmé, est d’une beauté à couper le souffle, mélange de solitude, de sauvagerie et de liberté. Puis survient le premier meurtre, une scène de strangulation particulièrement dure, plan séquence sur le corps qui se débat et le regard fou du meurtrier. Les thèmes du film sont donnés : la violence du monde et sa bestialité primaire.
A moins d’être un moine zen comme moi, vous n’êtes pas passé à coté du phénomène Hadouken!. Ce groupe anglais composé de James Smith au chant, Alice Spooner au clavier, Daniel ‘Pilau’ Rice à la guitare, Chris Purcell à la basse et Nick Rice à la batterie a été propulsé sur le devant de la scène avec son single That Girl That Boy en 2007. 
