Tron Uprising : la série animée

Décidément, avec Tron, Disney a flairé la bonne affaire et n’hésite pas à exploiter la série jusqu’au bout du bout. Après le revival cinéma, « Tron l’héritage » (et l’éventualité d’une suite), le jeu vidéo, Tron : Evolution, la BO signée Daft Punk et son remix ‘Tron Legacy R3CONFIGUR3D’, voici une série animée qui débarquera bientôt sur la chaîne Disney XD.

Intitulé « Tron Uprising », le projet est réalisé par Carlie Bean, Joseph Kosinski et Sean Bailey, avec au scénario signé Edward Kitsis et Adam Horowitz (comme sur le film « Tron l’héritage »). Son histoire sera située entre le film originel réalisé par Steven Lisberger en 1982 et « Tron : Legacy » de Joseph Kosinski.

Le premier trailer de « Tron Uprising » est déjà disponible :

« Tron Uprising » – trailer

L’histoire se déroule donc après le premier Tron de 1982. Beck est un tout jeune programme qui va prendre la tête d’une révolution dans The Grid. Entraîné par Tron, il va affronter Clu 2.0 et son bras droit le Général Tesler.

A en juger par les images, la série semble mêler 2D et 3D. Le casting vocal sera notamment composé par Elijah Wood (Beck), Fred Tatasciore (Clu 2.0), Emmanuelle Chriqui, Mandy Moore (Mara), Paul Reubens, Nate Corddry et Lance Henriksen (Général Tesler). Bruce Boxleitner reprendra le rôle de Tron.

Il faudra toutefois patienter jusqu’en 2012 pour voir « Tron Uprising » même si la série sera précédée par une mini version de 10 épisodes à l’automne prochain.

« L’Apprenti Sorcier » : pour les amateurs de films de magie

Le trio Bruckheimer-Turteltaub-Cage, déjà à l’origine des « Benjamin Gates », propose cette fois-ci un divertissement fantastique puisant dans un des plus célèbres symboles de la mythologie Disney : « L’apprenti sorcier ». A l’origine, un poème de Goethe mis en musique par Paul Dukas qui sera après un formidable court-métrage d’animation avec Mickey Mouse présent dans les deux volets de « Fantasia » (le premier sorti en 1940 et la suite en 1999).

Mais disons-le vite : le rapport avec les œuvres précédentes, titre mis à part, se borne à une courte scène où Dave Sutler, apprenti sorcier encore débutant, utilise ses pouvoirs afin d’accélérer le nettoyage de son laboratoire avec tous les ennuis que chacun sait. Avec son « L’Apprenti Sorcier », Jon Turteltaub nous propose un film entre une sorte de version alternative de « Harry Potter », une comédie pour nerds (Jay Baruchel, une belle idée de distribution) et des passages obligés truffés d’effets spéciaux « old school » menés à train d’enfer.

Sans aucune baisse de régime jusqu’à l’habituel final à la pyrotechnie exagérée, le film distille savamment un plaisir idiot mais roboratif, qui est fondamentalement celui du « cinoche » bien fait et intelligent, ce qui n’est pas si courant. Ajoutons que Nicolas Cage n’a pas été aussi crédible depuis des lustres, et que toute la distribution fait étonnamment bien son boulot.

De plus, alors que le cinéma américain nous abreuve régulièrement de films de super-héros (trilogies « X-Men » et « Spider-Man », « Iron Man », « Batman »…), « L’Apprenti Sorcier » fait un peu figure d’originalité en puisant dans les anciennes croyances et en mêlant magie et technique moderne.

Photos de « L’Apprenti Sorcier »

Synopsis de « L’Apprenti Sorcier »
Balthazar Blake est un grand sorcier vivant de nos jours à Manhattan. Il tente de défendre la ville contre son ennemi juré, Maxim Horvath. Balthazar ne pouvant y arriver seul, il engage alors – un peu malgré lui – Dave Stutler, un garçon apparemment ordinaire qui a pourtant un vrai potentiel, pour devenir son apprenti. Le sorcier donne à son apprenti réticent un cours express sur l’art et la science de la magie, et ensemble, ces deux associés improbables vont tenter de stopper les forces des ténèbres. Il faudra à Dave tout son courage, et même davantage, pour survivre à sa formation, sauver la ville et embrasser la fille qu’il aime…

Fiche technique de « L’Apprenti Sorcier »
Date de sortie cinéma : 11 août 2010
Réalisé par Jon Turteltaub
Avec Nicolas Cage, Jay Baruchel, Teresa Palmer, Alfred Molina, Monica Bellucci
Titre original : The Sorcerer’s Apprentice
Long-métrage américain
Genre : Fantastique, Drame
Durée : 01h45min
Année de production : 2010
Distributeur : Walt Disney Studios Motion Pictures France

Bande-annonce de « L’Apprenti Sorcier »

« Prince of Persia : les sables du temps »

Reconnaissons au moins cela aux productions Bruckheimer : elles assurent le spectacle. Et « Prince of Persia : les sables du temps » ne déroge pas à la règle, tant les cascades sont impressionnantes, les effets spéciaux somptueux et les combats chorégraphiés.

Malheureusement, tout cela ne conduit pas à faire de cette adaptation de la série de jeux vidéo éponyme un film exceptionnel. Bon c’est vraiment l’univers de l’original vidéo-ludique, mais acidulé a la Disney. On y retrouve bien entendu les gentils et les méchants, la magie, la romance… Le jeu des acteurs, s’il n’est pas mauvais, ne convainc pas totalement, et l’on se retrouve ainsi avec des personnages finalement assez peu fouillés et creux, malgré un semblant de trame esquissé. Et si Jake Gyllenhaal est passé maître en pirouettes dans ce film, il en va de même pour le scénario, adepte des transitions plutôt abruptes et incohérentes, et qui conduit à l’un des happy-end des plus guimauves.

En même temps, on ne s’imaginait non plus un grand drame psychologique en allant voir une adaptation de jeu vidéo ! Si vous cherchez un bon divertissement familial aux allures de contes des mille et une nuits, vous ne serez pas déçus. A la recherche d’un scénario riche, d’une production sans bavure et de prestations magistrales, passez votre chemin, vous ne prendrez aucun plaisir dans cette aventure.

Photos de « Prince of Persia : les sables du temps »

Synopsis de « Prince of Persia : les sables du temps »
Un prince rebelle est contraint d’unir ses forces avec une mystérieuse princesse pour affronter ensemble les forces du mal et protéger une dague antique capable de libérer les Sables du temps, un don de dieu qui peut inverser le cours du temps et permettre à son possesseur de régner en maître absolu sur le monde.

Fiche technique de « Prince of Persia : les sables du temps »
Date de sortie cinéma : 26 mai 2010
Réalisé par Mike Newell
Avec Jake Gyllenhaal, Gemma Arterton, Ben Kingsley, Alfred Molina
Titre original : Prince of Persia: The Sands of Time
Long-métrage américain
Genre : Aventure, Action
Durée : 02h06min
Année de production : 2010
Distributeur : Walt Disney Studios Motion Pictures France

Bande-annonce de « Prince of Persia : les sables du temps »

« Alice au Pays des Merveilles »

Réalisé par Tim Burton et produit par Disney, « Alice au pays des merveilles » marque la toute première expérience en 3D pour le réalisateur et la seconde adaptation du classique de Lewis Carrol pour le studio américain.

Le moins que l’on puisse dire c’est que le résultat final laisse perplexe. Comme on pouvait déjà s’en douter, c’est plus du Disney que du Burton : un film trop lisse, trop grand public.

Si le long-métrage est un enchantement visuel et sonore, le scénario est quant à lui décevant, nous livrant une pseudo-prophétie aboutissant à une bataille finale sans souffle et aucunement dans l’esprit burtonien. La psychologie des personnages est à peine esquissée. Même s’ils sont sympathiques, hormis la Reine Blanche et sa gestuelle maniérée insupportable, on a la désagréable impression qu’ils sont là juste pour faire office de présence et on a du mal à s’attacher à leurs motivations.

Bref, les amoureux des films de Burton (thèmes graves abordés sous un regard enfantin) risquent d’être déçus. Mais « Alice au pays des merveilles » peut aussi en enchanter certains qui aiment bien l’univers Disney. Au final, c’est un joli film pour les enfants…

Photos de « Alice au Pays des Merveilles »

Synopsis de « Alice au Pays des Merveilles »
Alice, désormais âgée de 19 ans, retourne dans le monde fantastique qu’elle a découvert quand elle était enfant. Elle y retrouve ses amis le Lapin Blanc, Bonnet Blanc et Blanc Bonnet, le Loir, la Chenille, le Chat du Cheshire et, bien entendu, le Chapelier Fou. Alice s’embarque alors dans une aventure extraordinaire où elle accomplira son destin : mettre fin au règne de terreur de la Reine Rouge.

Fiche technique de « Alice au Pays des Merveilles »
Date de sortie cinéma : 24 mars 2010
Réalisé par Tim Burton
Avec Johnny Depp, Mia Wasikowska, Helena Bonham Carter, Anne Hathaway
Titre original : Alice in Wonderland
Long-métrage américain
Genre : Fantastique, Aventure , Famille
Durée : 01h49min
Année de production : 2009
Distributeur : Walt Disney Studios Motion Pictures France

Bande-annonce de « Alice au Pays des Merveilles »

« La Princesse et la grenouille » : traditionnel et innovateur à la fois

Disney revient au dessin animé classique en 2D et le résultat dépasse nos espérances. Créé dans la bonne vieille tradition, “La Princesse et la Grenouille” est pour autant un film innovateur, en scène de fond la communauté afro-américaine de la Nouvelle-Orléans sur fond de jazz avec des personnages très drôles.

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L’idée de John Lasseter, l’ancien chef de Pixar et aujourd’hui la tête créative des studios Disney, de ressusciter le département d’animation traditionnelle du studio et de confier ce retour aux sources au duo John Musker/Ron Clements (« La Petite Sirène », « Aladdin », « Hercule », « La Planète au Trésor »), fut tout simplement génialissime. Disney nous livre son meilleur dessin animé depuis très longtemps qui vient d’ailleurs d’être nominé aux Oscars pour Meilleur film d’animation.

Tous les ingrédients du Disney idéal sont présents : histoire passionnante, personnages attachants, méchant original, animation superbe, chansons entraînantes (signées par l’oscarisé Randy Newman). Et l’autre grande surprise – c’est la première fois qu’une héroïne Disney est noire de peau. Décidément, le studio, réputé conservateur, est entré, lui aussi, dans l’ère Obama.

Bref, « La Princesse et la Grenouille » se révèle un moment de pure magie dont il serait fort dommage de se priver.

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Synopsis de « La Princesse et la grenouille »
Une jeune serveuse rêvant de posséder son propre restaurant est malencontreusement transformée en grenouille après avoir embrassé un prince victime d’un mauvais sort. Pour redevenir humains, les deux batraciens devront vaincre un sorcier vaudou.…

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Fiche technique de « La Princesse et la grenouille »
Date de sortie cinéma : 27 janvier 2010
Réalisé par Ron Clements, John Musker
Avec China Moses, Anika Noni Rose, Liane Foly
Titre original : The Princess and the Frog
Film pour enfants à partir de 6 ans
Long-métrage américain
Genre : Animation
Durée : 1h37 min
Année de production : 2009
Distributeur : Walt Disney Studios Motion Pictures France

Bande-annonce de « La Princesse et la grenouille »

« Prince of Persia : les sables du temps » – trailer

Peut-être l’aviez-vous oublié, mais « Prince of Persia », le film, débarquera dans nos salles obscures au mois de mai prochain.

Certes, les adaptations de jeux vidéos au cinéma sont bien souvent des flops. Mais cette fois, on y croit car c’est du lourd !

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Pour rappel, en 2004, Disney et Jerry Bruckeimer avaient achetés les droits du jeu culte au géant Ubisoft pour l’adapter. Tourné essentiellement au Maroc, le film est réalisé par le britannique Mike Newell (« Harry Potter et la coupe de feu », « 4 mariages et un enterrement », « Le sourire de Mona Lisa ») et dispose d’un budget d’environ 150 millions de dollars.

L’histoire se déroule au 6ème siècle et suit les aventures de Dastan, interprété par Jake Gyllenhaal, à travers la Perse, destiné à prendre la succession du Roi. Le monde est en danger et il doit joindre ses forces à celles de la princesse Tamina, dont le rôle est tenue par l’actrice Gemma Aterton. Tous les deux doivent empêcher un noble de prendre le contrôle des Sables du Temps, un don des dieux qui peut inverser le temps et permettre à son possesseur de dominer la planète. A noter que Ben Kingsley et Alfred Molina sont également de la partie.

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C’est Jordan Mechner qui est le responsable du scénario du film. On lui devait déjà celui des jeux vidéo, cela étant, il n’a pas cherché à se rapprocher du jeu en écrivant le script du long-métrage :

« Bien qu’il puisse sembler que Prince of Persia était une formidable chance pour moi en étant créateur d’écrire un scénario qui serait fidèle au jeu, je ne l’ai pas fait, et ça ne m’est même pas venu à l’esprit. Les choses qui en ont fait une bonne histoire pour le jeu étaient très spécifiques au support », a expliqué Jordan Mechner.

« Ce qui est marrant à jouer n’est pas agréable à regarder », a-t-il ajouté.
Donc pas question d’adapter de manière pas très subtile ces scènes qui auraient peut-être fait tâche sur grand écran. Cela promet !

La sortie de « Prince of Persia : les sables du temps » est annoncée pour le 28 mai 2010 aux Etats-Unis et le 26 mai 2010 2010 en France.

En attendant, voici la première bande-annonce :

Bande-annonce de « Prince of Persia : les sables du temps »

Cliquez ici pour voir la bande-annonce doublée en français au Québec.

Volt, le dernier 3D de Disney


En voyant la bande-annonce, je ne m’attendais vraiment, mais alors vraiment pas à quelque chose de bien. Il faut dire que depuis que Disney a abandonné la 2D, pour s’empêtrer dans le domaine où Pixar, sa propre sous-société, est roi, ils ne pouvaient que se bananer. Ce qu’ils ont semble-t-il fait.

Au niveau de la qualité, Volt (Bolt en VO) est un 3D comme les autres, de bonne facture. Bien animé, de jolies scènes, particulièrement au début, j’en parle plus tard. Évidement on est loin des 700 dessinateurs de Blanche-Neige, ou de la fulgurance habituelle d’un Pixar. Mais c’est bien plus propre que l’autre dont on a vu la bande annonce, avec des Lutins du Père Noël qui se battent contre des bonshommes de neige (si si).

Donc, aucune claque visuelle. Mais est-ce que ce que le public demande ? Celui-ci a entre 5 et 15 ans, et il s’en fout des reflets par lancer de rayon sur l’eau avec diffraction et brouillard volumétrique (quoi, vous aussi vous en foutez ?)

Les character design se sépare en deux parties. D’un côté les personnages humains, qui sont tous totalement nuls. La petite fille est oubliée dès la sortie du ciné. De l’autre les animaux qui sont, simplement pas mal.

Le film est très sympa. Oui oui. Je l’ai apprécié, doublé dans une langue dont je ne connais que deux mots (par chance l’un d’eux y a souvent été prononcé).
Comme vous venez de le déduire, le scénario n’est vraiment pas compliqué. Mais il est gentil, agréable, plein de bons sentiments sans partir dans la grosse guimauve.

De quoi s’agit-il ? Vous voulez des spoilers en plus ? Bon il est vrai que la seule surprise du film, elle est tout au début, et présente dans la bande annonce.

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Volt est un chien avec des supers-pouvoirs, qui combat avec une petite fille les armées du mal qui font rien qu’à avoir des plans machiavéliques et à enlever le père de la fille.
Enfin, ça, c’est ce qu’il croit. Car en fait, il est acteur, et ses pouvoirs ne sont que le résultat de responsables d’effets spéciaux zélé, et ses aventures, des scènes toutes réussies du premier coup.

Ensuite on connait : voyage initiatique, désillusion, humour et camaraderie, personnages délirants et rigolo, et méchant qui devient gentil.

Personnellement, j’ai adoré les scènes que tourne Volt, de l’action très bien filmée et jouissive.

Nous retrouvons, même dans ce charmant dessin animé, l’ignoble placement de produit, avec encore la table magique de Microsoft, qui je vous le rappelle fait aussi partie des meubles au MI6 de James Bond, et à l’armée amerloque du jour où la Terre c’est arrêtée. Y’en a qui ont appris à copier les méthodes les plus ignobles de Apple.






Mario Party version disney : Disney’s Magical Park

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Salut,

Hop petite new du jour avec un nouveau jeu toujours sur GameCube en version Jap encore une fois, c’est "Disney’s Magical Park", fait par Hudson soft…

Bon bah en gros Disney’s qui avait besoin de sous, a fait appel aux maitres en la matiere c’est a dire Hudson, pour leur pondre un Party Game. Fort de leur expérience dans le domaine (après les 3 premier mario Party sur N64 et le 4eme opus sur Cube), on pourrait penser que le jeu soit pas trop mal…

…et bah, nan, c’est une belle chiantiserie comme on en voit pas souvent (encore heureux)…c’est mou, lent, chiant, soporifique…du mario Party encore plus mou vous imaginez ?? je pensais meme pas que c’était possible ! Donc ya du bla-bla dans tout les sens, les regles sont quasiment les memes que dans MP, d’ailleurs c’est presque les meme mini-jeux mais à la sauce Disney quoi…

donc bof bof, ca va que la jaquette est jolie parce que je ferais pas le meme constat sur les modele 3D des persos et des décors…moche tout simplement.

pas cher heureusement… ca sauve la mise.

a+

The Princess and the Frog : Retour à la 2D pour Disney

Ne jamais dire jamais ! Alors que Disney avait décidé de liquider tous ses studios d’animation 2D pour faire des trucs à la mode en 3D (et se faire croquer finalement par Pixar), voilà que la firme de Mickey présente le teaser de son prochain film qui sera… en 2D !
[flv:2008-08/princess.flv 2008-08/princess.jpg 550 309]Autre grosse surprise, l’héroïne est une princesse noire ! Pour la très très conservatrice (sic) société Walt Disney, c’est une première ! Derrière ce projet on retrouve Ron Clements et John Musker, co-réalisateurs et co-scénaristes entre autre de « La Petite Sirène » et d' »Aladdin ».

L’histoire racontera les aventures de Tiana, une jeune habitante de la Nouvelle Orléans des années 20.

Présenté comme une comédie musicale, le film verra sa partie musicale composée par Randy Newman, déjà présent sur « 1001 Pattes », les deux « Toy Story » ou encore « Cars ».

On peut être soulagé de voir que Disney est revenu sur son jugement « pas de fric = faute à la 2D » et reconnait indirectement que la qualité d’un film vient aussi et surtout de son histoire et pas seulement d’un élément technique quelconque. « La Princesse et la Grenouille » sera néanmoins un test pour les studios Disney, preuve en est l’équipe de choc rassemblée sur le projet.

Le film est prévu pour sortir en fin d’année 2009. Affaire à suivre…