« Hell Driver » avec Nicolas Cage

Certes, Nicolas Cage fait tout et n’importe quoi depuis quelques temps. Certes, Patrick Lussier est un piètre réalisateur qui nous a déjà donné quelques grosses bouses indéfendables comme « La Voix des morts : la lumière » ou « Meurtres à la St Valentin ». Certes, on nous refait le coup de « Ghost Rider » en remplaçant la moto par une voiture. Certes, « Hell Driver » est un nanar où l’on retrouve tout les stéréotypes de la série B par excellence : héros risible, un méchant super sadique et sans cœur, de l’action explosive et un scénario… sans commentaires !

Mais voilà, malgré ses nombreux défauts, le film reste fun, sexy, trash, ironique et est bercé par un esprit Rock’n Roll absolument jouissif. Et il y a surtout le jeu d’acteur de William Fichtner qui est tout simplement hilarant dans son rôle du comptable, un personnage décalé, cruel et drôle.

Plaisir coupable…

Photos de « Hell Driver »

Synopsis de « Hell Driver »
Milton est prêt à tout pour rattraper les fanatiques qui ont assassiné sa fille et kidnappé le bébé de celle-ci pour le sacrifier à la prochaine pleine lune. Avec la séduisante Piper, il se lance à la poursuite de Jonah King et ses adeptes, du Colorado à la Louisiane. Pourtant, le chasseur pourrait bien devenir le gibier… Un homme mystérieux aux pouvoirs surnaturels, le Comptable, est lui-même à la recherche de Milton.
Alors que la route devient le théâtre d’une véritable vendetta, une course-poursuite en cache une autre. Milton pourra-t-il rattraper King avant que le Comptable ne lui mette la main dessus ? Carburant à la rage et au bolide, Milton va poursuivre sa mission. Il n’a que trois jours…

Fiche technique de « Hell Driver »
Date de sortie cinéma : 23 mars 2011
Réalisé par Patrick Lussier
Avec Nicolas Cage, Billy Burke, Amber Heard, William Fichtner
Titre original : Drive Angry
Long-métrage américain
Genre : Action, Thriller
Durée : 01h44min
Année de production : 2011
Distributeur : Metropolitan FilmExport

Bande-annonce de « Hell Driver »

« Le Dernier des Templiers »

Après avoir visionné « Le Dernier des Templiers », on ne peut que se demander où le traducteur est-il allé chercher la traduction du titre. En effet, particulièrement trompeur sur la teneur du film, ce dernier induit en erreur le spectateur venu voir croisades, batailles contre les infidèles et soleil tapant sur des cuirasses ensablées.

Non, ici le scénario se résume à deux templiers déserteurs chargés d’escorter une sorcière jusqu’à une abbaye où elle sera tuée et exorcisée grâce à un livre devenu rare et nécessaire pour l’exorcisme. Au programme de ce long-métrage donc, possession, sorcellerie et mysticisme sur fond de grande peste. Du coup, le titre original « Season of the Witch » (ou « La Saison de la Sorcière » en français) est beaucoup plus approprié.

Sinon, le début de ce « Le Dernier des Templiers » est agréable à défaut d’être génial. Le scénario est assez simpliste mais l’histoire se laisse tout de même suivre jusqu’à cette dernière partie grand-guignolesque et littéralement affligeante – SPOILER la bataille dans l’abbaye et la morale finale « en tuant le diable, la peste s’est arrêtée comme elle était arrivée » ! A défaut d’effrayer, la fin fait tout simplement rire et c’est peut-être ce qui fait passer la pilule.

Autrement dit n’emmenez pas vos neurones pour ce film, amenez juste du pop-corn et vos potes, c’est largement suffisant…

Photos de « Le Dernier des Templiers »

Synopsis de « Le Dernier des Templiers »
Après des années de croisade en Terre sainte, le templier Behmen et son fidèle compagnon, Felson, reviennent en Europe, désabusés. Alors qu’ils aspirent à une vie paisible, ils découvrent leur pays ravagé par la peste noire et se retrouvent appréhendés par les hommes du Cardinal.
Accusés d’avoir déserté, ils risquent la prison. Ils n’ont pas d’autre choix que d’accepter une étrange mission. Ils doivent escorter une mystérieuse jeune femme, désignée comme une sorcière responsable de l’épidémie, jusqu’à un lointain monastère où elle sera jugée et où sera pratiqué un ancestral rituel purificateur…
À travers des terres hostiles et dévastées par la maladie, dans des contrées sauvages, Behmen, Felson et quelques autres, se lancent dans le plus dangereux et le plus fascinant de tous les périples. Alors qu’aux yeux de Behmen, la jeune femme apparaît de plus en plus comme un bouc émissaire, d’étranges phénomènes se produisent. Tous ne vont pas tarder à découvrir les effroyables forces qui les attendent…

Fiche technique de « Le Dernier des Templiers »
Date de sortie cinéma : 12 janvier 2011
Réalisé par Dominic Sena
Avec Nicolas Cage, Ron Perlman, Stephen Campbell Moore
Titre original : Season of the Witch
Long-métrage américain
Genre : Aventure, Drame, Fantastique
Durée : 01h35min
Année de production : 2011
Distributeur : Metropolitan FilmExport

Bande-annonce de « Le Dernier des Templiers »

« L’Apprenti Sorcier » : pour les amateurs de films de magie

Le trio Bruckheimer-Turteltaub-Cage, déjà à l’origine des « Benjamin Gates », propose cette fois-ci un divertissement fantastique puisant dans un des plus célèbres symboles de la mythologie Disney : « L’apprenti sorcier ». A l’origine, un poème de Goethe mis en musique par Paul Dukas qui sera après un formidable court-métrage d’animation avec Mickey Mouse présent dans les deux volets de « Fantasia » (le premier sorti en 1940 et la suite en 1999).

Mais disons-le vite : le rapport avec les œuvres précédentes, titre mis à part, se borne à une courte scène où Dave Sutler, apprenti sorcier encore débutant, utilise ses pouvoirs afin d’accélérer le nettoyage de son laboratoire avec tous les ennuis que chacun sait. Avec son « L’Apprenti Sorcier », Jon Turteltaub nous propose un film entre une sorte de version alternative de « Harry Potter », une comédie pour nerds (Jay Baruchel, une belle idée de distribution) et des passages obligés truffés d’effets spéciaux « old school » menés à train d’enfer.

Sans aucune baisse de régime jusqu’à l’habituel final à la pyrotechnie exagérée, le film distille savamment un plaisir idiot mais roboratif, qui est fondamentalement celui du « cinoche » bien fait et intelligent, ce qui n’est pas si courant. Ajoutons que Nicolas Cage n’a pas été aussi crédible depuis des lustres, et que toute la distribution fait étonnamment bien son boulot.

De plus, alors que le cinéma américain nous abreuve régulièrement de films de super-héros (trilogies « X-Men » et « Spider-Man », « Iron Man », « Batman »…), « L’Apprenti Sorcier » fait un peu figure d’originalité en puisant dans les anciennes croyances et en mêlant magie et technique moderne.

Photos de « L’Apprenti Sorcier »

Synopsis de « L’Apprenti Sorcier »
Balthazar Blake est un grand sorcier vivant de nos jours à Manhattan. Il tente de défendre la ville contre son ennemi juré, Maxim Horvath. Balthazar ne pouvant y arriver seul, il engage alors – un peu malgré lui – Dave Stutler, un garçon apparemment ordinaire qui a pourtant un vrai potentiel, pour devenir son apprenti. Le sorcier donne à son apprenti réticent un cours express sur l’art et la science de la magie, et ensemble, ces deux associés improbables vont tenter de stopper les forces des ténèbres. Il faudra à Dave tout son courage, et même davantage, pour survivre à sa formation, sauver la ville et embrasser la fille qu’il aime…

Fiche technique de « L’Apprenti Sorcier »
Date de sortie cinéma : 11 août 2010
Réalisé par Jon Turteltaub
Avec Nicolas Cage, Jay Baruchel, Teresa Palmer, Alfred Molina, Monica Bellucci
Titre original : The Sorcerer’s Apprentice
Long-métrage américain
Genre : Fantastique, Drame
Durée : 01h45min
Année de production : 2010
Distributeur : Walt Disney Studios Motion Pictures France

Bande-annonce de « L’Apprenti Sorcier »

« Kick-Ass » : un film de super-héros pas comme les autres

Une adaptation de comics qui sort des sentiers battus du genre. Finis les super-héros invincibles qui n’ont jamais une égratignure et pas une tache sur leur costume.

Tiré de la BD de Mark Millar, l’œuvre apparaît résolument à contre-courant de ce que l’on peut avoir l’habitude de voir habituellement : des losers en guise de super-héros bien sûr, mais qui plus est ado et même pas vraiment beau (et non même pas de Robert Pattinson pour venir faire de l’ombre à notre sympathique Dave Lizewski : quel malheur 😉 ), c’est sûr que cela change !

En plus, « Kick-Ass » séduit par son écriture étonnamment bonne et souvent très drôle et une BO tout simplement excellente. Ajoutons-y le mélange explosive de scènes d’actions terribles, un sens de l’humour corrosif et d’acteurs qui se prennent au jeu, le tout réalisé de manière très efficace par Matthew Vaughn. Comme si « Kill Bill » croisait « Watchman » avec une touche Teenage absolument pas ringarde et actualisé.

A noter également l’interprétation magnifique des acteurs à commencer par les seconds rôles et un excellent Nicolas Cage (deux bons films de suite, on avait perdu l’habitude), parfaitement secondé par une Chloé Moretz jubilatoire de bout en bout.

Bref, « Kick-Ass » est une belle bouffée d’air frais dans un paysage de super-héros plutôt désespéré ces derniers temps, et qui n’en est donc que plus recommandable et plaisant. Savoureux.

Photos de « Kick-Ass »

Synopsis de « Kick-Ass »
Dave Lizewski est un adolescent gavé de comics qui ne vit que pour ce monde de super-héros et d’incroyables aventures. Décidé à vivre son obsession jusque dans la réalité, il se choisit un nom – Kick-Ass – se fabrique lui-même un costume, et se lance dans une bataille effrénée contre le crime. Dans son délire, il n’a qu’un seul problème : Kick-Ass n’a pas le moindre superpouvoir… Le voilà pourchassé par toutes les brutes de la ville. Mais Kick-Ass s’associe bientôt à d’autres délirants copycats décidés eux aussi à faire régner la justice. Parmi eux, une enfant de 11 ans, Hit Girl et son père Big Daddy, mais aussi Red Mist. Le parrain de la mafia locale, Frank D’Amico, va leur donner l’occasion de montrer ce dont ils sont capables…

Fiche technique de « Kick-Ass »
Date de sortie cinéma : 21 avril 2010
Réalisé par Matthew Vaughn
Avec Aaron Johnson, Nicolas Cage, Chloe Moretz, Mark Strong
Long-métrage britannique, américain
Genre : Action, Drame
Durée : 01h57min
Année de production : 2009
Distributeur : Metropolitan FilmExport

Bande-annonce de « Kick-Ass »

« Astro Boy » sort chez M6 Video

L’adaptation hollywoodienne de l’œuvre mythique du maître Osamu Tezuka est sortie le décembre dernier et ce fut le flop. Réalisé par David Bowers au sein du studio IMAGI, l’échec commercial fut pour autant si retentissant que le film n’a pas parvenu à se rembourser, loin de là, et a plongé le studio d’animation hong-kongais dans la faillite. IMAGI s’est finalement vu forcé de mettre la clé sous la porte.

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Quoi qu’il en soit, les fans inconditionnels du petit robot seront peut-être ravis d’apprendre que M6 Video sortira « Astro Boy » en DVD et Blu-Ray le 9 avril prochain. D’autant plus que de divers bonus y seront ajoutés :

Les bonus

– Les courts-métrages
– La naissance d’un héros
– La conception de Metro City
– Le look Astro Boy
– La galerie de photos

 

« Bad Lieutenant : Escale à la Nouvelle-Orléans »

L’immense Werner Herzog réinvente à sa sauce « Bad Lieutenant » (1992), film culte d’un autre phénomène de la planète cinéma, Abel Ferrara, relatant la descente aux enfers d’un officier de police destructeur et paranoïaque. Un remake pourtant bien loin de l’original, il faut le dire.

On notera notamment la translation de l’enfer de New York à l’ambiance glauque de la Nouvelle-Orléans dévastée par l’ouragan Katrina. De plus, à l’hallucinant Harvey Keitel succède un Nicolas Cage à la dépravation remarquable, l’un rayonnant de puissance destructrice, l’autre qui semble revenir d’entre les morts. Le seul point en commun : leurs personnages sont des flics défoncés et obsédés par le mal qui vont trouver la voie de la rédemption…

Beaucoup moins bien que l’original, « Bad Lieutenant : Escale à la Nouvelle-Orléans » est un film pour le moins curieux. Le réalisateur allemand s’en sort tout de même presque avec les honneurs pour avoir réussi le grand pari de faire un remake de l’un des films les plus noirs et trash de ses dernières années.

Mention spéciale pour Nicolas Cage qui porte ce long-métrage sur ses épaules et s’en sort avec brio. On regrettera tout de même les personnages secondaires d’Eva Mendes et surtout de Val Kilmer pas assez développés. Et un happy end à la holywoodiennne en opposition totale avec le reste du film.

Photos de « Bad Lieutenant : Escale à la Nouvelle-Orléans »

Synopsis officiel de « Bad Lieutenant : Escale à la Nouvelle-Orléans »
Terence McDonagh est inspecteur dans la police criminelle de la Nouvelle-Orléans. En sauvant un détenu de la noyade pendant l’ouragan Katrina, il s’est blessé au dos. Désormais, pour ne pas trop souffrir, il prend des médicaments puissants, souvent, trop souvent… Déterminé à faire son travail du mieux qu’il peut, il doit faire face à une criminalité qui envahit toutes les vies, même la sienne. Sa compagne, dont il est éperdument amoureux, est une prostituée. Pour la protéger, Terence est obligé de prendre des risques. Parce qu’il est sur les traces d’un gros dealer, sa vie est en jeu. Parce qu’il doit enquêter sur l’assassinat d’une famille d’immigrants africains, il doit mener une enquête impossible. En quelques heures, tous les enjeux de sa carrière et de sa vie vont se combiner pour devenir sa pire épreuve. S’il s’en sort, Terence saura enfin qui il est vraiment…

Fiche technique de « Bad Lieutenant : Escale à la Nouvelle-Orléans »
Date de sortie cinéma : 17 mars 2010
Réalisé par Werner Herzog
Avec Nicolas Cage, Eva Mendes, Val Kilmer, Xzibit
Titre original : Bad Lieutenant : Port of Call New Orleans
Long-métrage américain
Genre : Policier, Drame
Durée 2h02 min
Année de production 2008
Distributeur : Metropolitan FilmExport

Bande-annonce de « Bad Lieutenant : Escale à la Nouvelle-Orléans »

« Astro Boy » à la sauce hollywoodienne

L’adaptation d’une œuvre fondatrice du manga et de la japanime vient de débarquer sur nos écrans. C’est sous le titre d’ »Astro Boy » que sont sorties les nouvelles aventures d’un héros mécanique que les trentenaires français ont connu sous le nom d’ »Astro le petit Robot » (« Tetsuwan Atomu » au Japon).

Créé par le maître Osamu Tezuka en 1951, ce personnage est devenu depuis un véritable phénomène de société au Japon et sa silhouette est reconnue dans le monde entier comme une icône du style visuel de l’animation japonaise.

Alors, lorsque Hollywood, fort de ses adaptations d’œuvres classiques manga/animation nippones ratées (n’en citons que « Dragon ball »), s’est emparé d’Astro Boy, le pire était à craindre. D’autant plus que le défit pour le réalisateur était double : intéresser un nouveau public jeune sans pour autant trahir l’œuvre originale au risque de décevoir les nostalgiques.

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Les fans crieront peut-être au scandale en voyant que le film s’éloigne de l’original (surtout le design de certains personnages secondaires « modernisés » qui n’a franchement plus rien à voir avec le style de la série). Mais avec des capitaux américains et un studio d’animation Hongkongais (Imagi) ce n’est pas très étonnant. Cependant, il faut avouer que les nostalgiques peuvent quand même y trouver leur compte : des clins d’œils aux anciens personnages de la série d’origine (et à Tezuka) parsèment le film et le design des personnages principaux respecte relativement bien leur modèle malgré le passage en 3D.

En revanche il faut reconnaître que le manichéisme poussé à l’extrême peut vite paraître indigeste pour un adulte. L’histoire est minimaliste, les bons sont trop « gentils » et les méchants sont dans le registre de la caricature. C’est finalement un film réservé aux enfants. Ils s’attachent à Astro et à sa triste histoire qui se termine bien obligatoirement. Passés les 12 ans, c’est plutôt ennuyant. Pour les adultes, il faut espérer que la nostalgie vienne embrumer votre esprit critique…

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Synopsis de « Astro Boy »
Un chercheur de l’armée perd Toby, son fils unique, lors de la mise en service du Pacificateur, un robot militaire dont ils ont perdu le contrôle. Ne pouvant supporter la mort de son enfant, il va créer un androïde lui ressemblant et lui injecter la mémoire de Toby. Ce robot (Astro) n’aura pas conscience de sa condition de machine et sera persuadé d’être un enfant humain. Mais le père endeuillé réalise que ce substitut mécanique ne peut pas remplacer son fils et, loin de l’apaiser, cela ne fait qu’augmenter sa tristesse. Réalisant que la conception de cette machine était une erreur, il se décide à le désactiver. Mais le robot s’enfuit en quête de sa propre identité…

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Fiche technique de « Astro Boy »
Date de sortie cinéma : 9 décembre 2009
Réalisé par David Bowers (II)
Avec Freddie Highmore, Nicolas Cage, Charlize Theron, Samuel L. Jackson
Long-métrage américain, japonais, hong-kongais
Genre : Animation
Durée : 1h35 min
Année de production : 2007
Distributeur : SND

Bande-annonce de « Astro Boy »

Knowing : Alex Proyas et Nicolas Cage

4 ans après I, Robot, Le réalisateur Alex Proyas (Dark City, Garage Days ou encore The Crow) est de retour avec Knowing dont voici la bande annonce :

Bande Annonce : Knowing

[flv:2008-09/knowing.flv 2008-09/knowing.jpg 550 220]Tout est quasiment dit dans la bande annonce : Ted Myles (Nicolas Cage) est un prof pépère. Quand son école ressort une capsule temporelle, son fils en ramène un mystérieux papier gribouillé de chiffres. Après études, ces chiffres prédisent toutes les catastrophes passées et celles à venir. Ted va alors essayer de changer le futur.

Les rôles principaux sont donc tenus par Nicolas Cage (Rock, Benjamin Gates…) et on retrouvera à ses cotés Rose Byrne (Sunshine, 28 semaines plus tard…)
La bande annonce est accrocheuse mais la thématique ici utilisée est très « casse gueule » (cf le naufrage de « The Happening » de Shyamalan). Autant il est facile de tenir en haleine sur 2 min, autant l’exercice est plus complexe sur 2h.

Verdict le 20 mars 2009 aux Etats-Unis (et à une date inconnue en 2009 pour la France)

Site officiel : Knowing