« Rabbit Hole » avec Nicole Kidman et Aaron Eckhart

Il y a cinq ans l’Américain John Cameron Mitchell réalisait le décapant « Shortbus », portrait au vitriol d’un groupe de new-yorkais à la sexualité débridée et aux mœurs guère conventionnelles. Avec son nouveau film, « Rabbit Hole », le réalisateur laisse tomber ses outrances se concentrant sur le drame humain vécu par un couple dont l’enfant vient de mourir.

Le titre du long-métrage est évidemment une référence à « Alice au pays des merveilles » et évoque le plongeon dans un univers curieux et inhabituel. Il fait également référence à la douleur et la perte qui s’emparent des gens au point de leur donner l’impression d’être des étrangers dans un monde inconnu.

Dans « Rabbit Hole », un couple qui vient de subir le pire traumatisme de la vie, la perte d’un jeune enfant, va tenter de se reconstruire, chacun trouvant son propre cheminement. Profond, intense et sans excès de pathos, le film de John Cameron Mitchell parvient à une grande justesse. La douleur et la culpabilité ne peuvent s’effacer, mais le temps apprend à vivre avec des cicatrices qui ne se referment jamais. En surmontant de telles épreuves, les deux protagonistes nous délivrent un beau message d’espoir.

Si la mise en scène se montre parfois trop sage et académique, on saluera comme il se doit la surprenante interprétation d’Aaron Eckhart aux côtés d’une Nicole Kidman enfin retrouvée après tant d’années de médiocres errances. Le long-métrage a d’ailleurs permis à l’Australienne de décrocher sa 3e nomination à l’Oscar de la meilleure actrice.

Photos de « Rabbit Hole »

Synopsis de « Rabbit Hole »
Huit mois après la disparition de leur fils, Becca et Howie redonnent peu à peu un sens à leur vie. Howie tente de nouvelles expériences tandis que Becca préfère couper les ponts avec une famille trop envahissante. Contre toute attente, elle se rapproche du jeune homme responsable de la mort de leur enfant. Cette relation étrange va permettre à Becca d’être enfin en paix avec elle-même.

Fiche technique de « Rabbit Hole »
Date de sortie cinéma : 13 avril 2011
Réalisé par John Cameron Mitchell
Avec Nicole Kidman, Aaron Eckhart, Dianne Wiest
Long-métrage américain
Genre : Drame
Durée : 01h32min
Année de production : 2010
Distributeur : Haut et Court

Bande-annonce de « Rabbit Hole »

« Naruto Shippuden : Blood Prison »

Comme chaque année à cette époque, le célèbre ninja créé par Masashi Kishimoto dévoile sa nouvelle aventure ciné. 2011 ne déroge pas à la règle, en dépit de l’effroyable séisme et du tsunami qui ont frappé le Japon il y a un peu plus d’un mois.

On apprend ainsi, sur le site officiel du projet, que le 5e film tiré de la série animée « Naruto Shippuden », soit le 8e film de la franchise Naruto se nomme Naruto Shippuden : Blood Prison (La Prison de sang). C’est toujours le Studio Pierrot qui est en charge de l’animé. On retrouve Masahiko Murata (qui avait déjà signé « Naruto Shippuden : The Lost Tower ») à la réalisation.

« The Blood Prison » risque d’être un bien mauvais moment à passer pour le ninja blondinet. Naruto se fait en effet emprisonner et priver de ses pouvoirs pour avoir assassiné deux jounin et avoir attaqué le Raikage.

Et alors que nous pauvres Français, on attend toujours la sortie de film 4 « Naruto Shippuden : The Lost Tower », voici les bandes-annonces de film 5.

Naruto va revenir sur les grands écrans japonais le 30 juillet 2011.

Naruto Shippuden : Blood Prison – teaser VOSTFR

Naruto Shippuden : Blood Prison – teaser

Naruto Shippuden : Blood Prison – teaser

Equipe du projet
Œuvre originale : Masashi Kishimoto
Réalisateur : Masahiko Murata
Scénariste : Akira Higashiyama
Character Designers : Hirofumi Suzuki, Hiroyuki Yamashita, Koji Yabuno & Tetsuya Nishio
Musiques : -yaiba- (saga Naruto Shippuden) & Yasuharu Takanashi (saga Naruto Shippuden, La filles des Enfers TVs)
Studio : Studio Pierrot

Arctic Monkeys : nouveaux clips

Nous vous l’annoncions, ‘Suck It And See’ sort le 6 juin et sera le quatrième album studio de Arctic Monkeys.

L’opus se dévoile désormais petit à petit, histoire de faire patienter les fans du groupe. Après un premier extrait révélé, à savoir « Brick By Brick », c’est au tour de « Don’t Sit Down Cause I Moved Your Chair » de se doter d’une vidéo. On pourrait d’ailleurs traduire le nom du morceau par ‘Ne t’assieds pas parce que j’ai déplacé ta chaise’, les quatre Britanniques nous ayant déjà habitué à des titres d’albums et de chansons très longs, leur nouvelle composition ne déroge à la règle elle non plus.

Enjoy !

Arctic Monkeys – « Don’t Sit Down Cause I Moved Your Chair »

Arctic Monkeys – « Brick By Brick »

Pour mémoire, Arctic Monkeys est un groupe de rock anglais, originaire de Sheffield et formé en 2003. Par un formidable mécanisme de bouche à oreille et bénéficiant d’un formidable buzz sur la toile, la formation voit sa notoriété grimper en flèche en un rien de temps, jusqu’à ce que le label Domino lui ouvre grand ses portes en 2005. Elevés au rang de stars montantes du rock, les Arctic Monkeys ont édité trois albums studio. A noter qu’ils ont entré dans l’histoire de l’industrie anglaise du disque en tant que meilleurs vendeurs pour un premier disque.

Actuellement le groupe est composé par Alex Turner (chant, guitare), Jamie Cook (guitare), Nick O’Malley (basse), Matt Helders (batterie) et John Ashton (clavier, guitare).

Discographie de Arctic Monkeys
2006 : Whatever People Say I Am, That’s What I’m Not
2007 : Favourite Worst Nightmare
2009 : Humbug

« Mr. Nice » : l’histoire vraie du célèbre dealer des années 70

« Mr. Nice » retrace la vie de Howard Marks, célèbre dealer des années 70. C’est le parcours d’un homme prédestiné à faire de grandes études qui finira comme le grand Baron de la Marijuana. La réelle originalité ici est de voir l’histoire vraie d’un gangster européen, un personnage haut en couleurs. En plus, la fin des années 60 et le début 70 sont vraiment bien retranscrits tant par la photographie que par la super bonne BO.

Cependant, le long-métrage souffre un peu de ses longueurs et donc d’un manque de rythme malgré la multiplication des lieux, des personnages secondaires et des rebondissements de l’histoire.

Heureusement, l’acteur Rhys Ifans arrive à imposer son énergie et sa décontraction à un film cool et sympa. Rien de plus en définitive. « Mr. Nice » se consomme comme un bon joint et s’oublie aussi vite.

Photos de « Mr. Nice »

Synopsis de « Mr. Nice »
À la fin des années 60, Howard Marks quitte son Pays de Galles natal pour la prestigieuse université d’Oxford, où il découvre les plaisirs des soirées psychédéliques. Pour rendre service, il s’improvise passeur de marijuana. Il y prend goût. S’appuyant sur ses amitiés dans les services secrets et avec un chef de l’IRA, il développe un réseau de transport de cannabis entre le Pakistan et Londres. Il se retrouve bientôt à la tête du plus grand trafic de marijuana d’Europe.
Howard Marks se fait alors appeler MR. NICE : un contrebandier non violent et plein d’humour, qui deviendra une figure de la contre-culture britannique.

Fiche technique de « Mr. Nice »
Date de sortie cinéma : 13 avril 2011
Réalisé par Bernard Rose
Avec Rhys Ifans, Chloë Sevigny, David Thewlis
Long-métrage britannique
Genre : Comédie dramatique
Durée : 02h01min
Année de production : 2010
Distributeur : UFO Distribution

Bande-annonce de « Mr. Nice »

‘Mirrorball’ : premier album live de Def Leppard

Def Leppard revient sur le devant de la scène avec ‘Mirrorball‘, le tout premier album live du groupe.

L’opus sera composé de deux CD et comprendra un ensemble de morceaux enregistrés en 2008 et 2009, durant la tournée The Sparkle Lounge Tour. A noter surtout la présence de trois nouveaux titres studio, à savoir « Undefeated », « Kings Of The World » et « It’s All About Believin ». L’album sera également accompagné d’un DVD contenant des performances live de la formation mais aussi des images tournées en coulisses.

La sortie de ‘Mirrorball’ est prévue le 6 juin prochain via Bludgeon Riffola/Mailboat Records..

Tracklist de ‘Mirrorball’ :

Disque 1
01. Rock! Rock! (Till You Drop)
02. Rocket
03. Animal
04. C’Mon C’Mon
05. Make Love Like A Man
06. Too Late For Love
07. Foolin’
08. Nine Lives
09. Love Bites
10. Rock On

Disque 2
01. Two Steps Behind
02. Bringin’ On The Heartbreak
03. Switch 625
04. Hysteria
05. Armageddon It
06. Photograph
07. Pour Some Sugar On Me
08. Rock Of Ages
09. Let’s Get Rocked
10. Action
11. Bad Actress
12. Undefeated (inédit)
13. Kings Of The World (inédit)
14. It’s All About Believin’ (inédit)

‘Lamb : Live at Koko’

Lamb vient de sortir ‘Live at Koko’, un album live qui inclut 11 tubes de la célèbre formation de trip-hop. Enregistré à Londres, suite à la participation du groupe au Festival en Septembre 2009, ce CD regroupe des titres retravaillés pour cette occasion.

Tracklisting de ‘Lamb : Live at Koko’

01 – Darkness (Live)
02 – Little Things (Live)
03 – All In Your Hands (Live)
04 – Gabriel (Live)
05 – Acide trans, (Live)
06 – Angelica (Live)
07 – Qu’est-ce son (Live)
08 – Gorecki (Live)
09 – Une (Live)
10 – Lullaby (Live)
11 – Bonfire (Live)

Biographie de Lamb
Au début des années 1990, le trip hop déferle de Bristol, une invention du collectif de grapheurs et sound system Massive Attack, largement popularisée par le mélancolique Portishead. De nombreux artistes se lancent dans la tendance chacun tirant sur une corde quelque peu différente.

Le créneau de Lamb, ce sont des rythmes drum’n’bass complexes servant de base à une voix cristalline. Formé à Manchester en 1994, le duo constitué de la chanteuse Lou Rhodes et du producteur Andrew Barlow, profite de l’engouement pour le downtempo et est rapidement signé dans une maison de disques. Après le succès du single « Cotton Wool », Lamb sort un premier opus éponyme en 1996, largement basé sur des rythmes jungle mais faisant également la part belle à des expérimentations ambiant et électro-jazz. L’accueil étant toujours aussi chaleureux, le duo entame une tournée avec Galliano, groupe d’acid jazz et collègue de label, combinant leurs productions électro avec des musiciens live. ‘Fear of Fours’ (1999), ‘What Sound’ (2001) et ‘Between Darkness and Wonder’ (2003) ne viendront pas démentir la popularité de Lamb.

Après un hiatus de 5 ans (pendant lequel les deux artistes ont travaillé à des projets en solo), le groupe se réunit en 2009 pour une série de concerts. Leurs fans seront maintenant ravis d’apprendre qu’un nouvel album studio est actuellement en préparation avec une sortie prévue début mai.

« Priest » – le prologue animé

Vous n’êtes pas sans savoir que l’adaptation en film live de « Priest », l’excellent manhwa de Hyung Min-Woo, est sur le point de voir le jour. Sa sortie est en effet prévue le 11 mai prochain après avoir été plusieurs fois reportée en raison de la conversion du long-métrage en 3D (comme tous les gros blockbusters du moment).

À l’instar de « Sucker Punch », « Priest » soigne sa communication non seulement par une série de bande-annonces mais, également avec un petit film animé. Il s’agit au fait de son prologue en 2D réalisé par Genndy Tartakovsky. Pour ceux qui l’ignorent, c’est l’homme qui est responsable de plusieurs hits tels que « Samurai Jack », « Dexter », « Super Nanas », « Star Wars : The Clone Wars »…

Nous vous proposons de visionner cette introduction animée de « Priest » qui narre l’historique de la guerre, qui oppose les hommes aux vampires, pour nous amener au début du film. Le moins que l’on puisse dire c’est que l’on reconnaît bien le style de Tartakovsky.

« Priest » – prologue animé

Pour mémoire, « Priest est réalisé par Scott Charles Stewart («Légion – L’Armée des anges »). Le rôle principal, celui d’Ivan Isaak, le prêtre vengeur de l’histoire originale, sera tenu par Paul Bettany (« La plus belle Victoire », « Da Vinci Code », « The Tourist »…). Au casting on retrouve également, Cam Gigandet (« Twilight », « Pandorum »), Maggie Q (« Mission Impossible 3 », « King of Fighters »), Karl Urban (« Star Trek », « Le Seigneur des anneaux », « La Mort dans la peau »), Stephen Moyer (« True Blood »), et bien d’autres…

En attendant la sortie de « Priest », voici le trailer pour se faire une première idée…

« Priest » – trailer

« Scream 4 » : Sidney, Dewey et Gale sont de retour !

Régulièrement annoncé depuis la sortie de l’épisode 3, en 2000, « Scream 4 » a mis plus de 10 ans à voir le jour. Le film a enfin débarqué sur nos écrans, pour le plus grand bonheur des fans de la saga horrifique. D’autant plus que ce 4e volet ancre la série « Scream » comme la seule série d’horreur d’ampleur dont les personnages principaux reviennent à chaque épisode, en l’occurrence Neve Campbell, Courteney Cox et David Arquette. On citera également parmi les ‘survivants’ le réalisateur Wes Craven qui retrouve ici le scénariste Kevin Williamson (qui a signé les deux premiers volets de la franchise).

Bref, ceux qui connaissent la licence « Scream » depuis son début, il y a tout juste 15 ans, ne seront pas dépaysés. En même temps, le réalisateur est en phase avec son temps, truffant son film de mises en abyme dans les mises en abyme à grands coups de téléphones portables (la célèbre phrase « Quel est ton film d’horreur préféré ? » pouvant harceler les jeunes filles n’importe où) et de webcams omniprésentes. Tout en profitant de l’occasion pour régler quelques comptes avec certains collègues (ou comment décerner bons ou mauvais points à « Shaun of the dead » ou « Saw »).

Pour le reste, l’ensemble se regarde de manière agréable jusqu’au final attendu que l’on aurait cru un temps plus radical (et courageux). Deux bémols d’importance cependant : le second degré trop présent qui rapproche souvent ce « Scream 4 » d’un énième « Scary movie », et des meurtres beaucoup trop vite expédiés.

Quoi qu’il en soit, on attend déjà avec impatience le 5 puis le 6 !

Photos de « Scream 4 »

Synopsis de « Scream 4 »
10 ans se sont écoulés depuis les terribles meurtres commis par Ghostface. Sidney Prescott est parvenue à tourner la page mais c’est tout de même avec appréhension qu’elle retourne à Woodsboro pour le lancement de son premier roman.
Ses retrouvailles avec sa cousine Jill ainsi qu’avec le duo de choc Dewey et Gale seront de courtes durées : Ghostface est de retour mais cette fois-ci les règles vont changer.

Fiche technique de « Scream 4 »
Date de sortie cinéma : 13 avril 2011
Réalisé par Wes Craven
Avec Neve Campbell, David Arquette, Courteney Cox
Interdit aux moins de 12 ans
Long-métrage américain
Genre : Epouvante-horreur, Thriller
Durée : 01h50min
Année de production : 2011
Distributeur : SND

Bande-annonce de « Scream 4 »

Sepultura prépare son 12e album

Sepultura a dévoilé le titre de son prochain album, à savoir Kairos, ancien terme grec faisant référence au temps. Dans une interview pour Blabbermouth, le guitariste du groupe, Andreas Kisser déclare que ce titre évoque ‘le moment présent’. « La nostalgie c’est vivre dans le passé, essayer de revivre des choses, et nous ne faisons pas ça, nous faisons du nouveau », explique-t-il avant de poursuivre : « Nous sommes vraiment ravis du résultat. Je pense que ça va surprendre beaucoup de gens, dans le bon sens du terme. »

Kairos‘ a été enregistré à São Paulo avec le producteur Roy Z. Il s’agira du 12e opus de Sepultura. La sortie est attendue le début de cet été.

Faut-il encore présenter ce groupe phare, maître du thrash et du death du début des années 90 avant qu’il n’amorce un tournant plus tribal dont la consécration sera l’énorme ‘Roots’. Fondée par les frères Max (guitare et chant) et Igor Cavalera (batterie) en 1984, à Belo Horizonte, au Brésil, la formation sera ensuite complétée par Paulo Jr. (basse) et plus tard par Andreas Kisser (guitare) qui remplacera le membre fondateur Jairo Guedez.

Au sommet de la gloire, après la sortie de l’album ‘Roots’, Max Cavalera quitte (?!) le navire Sepultura pour créer son propre groupe Soulfly. Il est remplacé au chant par l’Américian Derrick Green issu du milieu hardcore. En 2006, c’est au tour de Igor Cavalera de se séparer du groupe, suite à des différences créatives et personnelles. Il a été remplacé par Jean Dolabella à la batterie. Ainsi, il ne reste aujourd’hui que le bassiste Paulo Jr comme membre original de la formation, qui a joué sur tous les 11 albums studio dont voici la liste complète.

Discographie de ‘Sepultura’
* Morbid Visions (1986)
* Schizophrenia (1987)
* Beneath the Remains (1989)
* Arise (1991)
* Chaos A.D. (1993)
* Roots (1996)
* Against (1998)
* Nation (2001)
* Roorback (2003)
* Dante XXI (2006)
* A-Lex (2009)

« Le Flingueur » avec Jason Statham

Du bon Jason Statham, dans la lignée de ses autres films. Au programme de ce « Le Flingueur », donc, de la cascade, de l’explosion, des coups de feux. Un scénario tout vu mais efficace quand même.

Le long-métrage est un remake d’un film d’action homonyme, « The Mechanic », en version originale, tourné en 1972 par Michael Winner avec Charles Bronson dans le rôle principal. L’œuvre originale, la première d’un genre complètement nouveau, celui du film de tueur à gages, mise sur une ambiance et une atmosphère générale très années 70s. « Le Flingueur » 2011, réalisé par Simon West (« Lara Croft : Tomb Raider »), repose lui sur son montage nerveux garanti 100% testostérone.

Un film d’action qui ne restera pas dans les annales mais qui reste tout de même sympathique.

Photos de « Le Flingueur »

Synopsis de « Le Flingueur »
Le tueur parfait est celui dont le crime passe pour un accident. Pour ce genre de job, Arthur Bishop est le meilleur. Chacun de ses contrats impossibles lui rapporte une fortune. Il n’a jamais eu d’état d’âme, jusqu’à ce que son ami et mentor devienne la victime, et que le fils de ce dernier décide de mener sa vengeance à ses côtés…

Fiche technique de « Le Flingueur »
Date de sortie cinéma : 6 avril 2011
Réalisé par Simon West
Avec Jason Statham, Ben Foster, Tony Goldwyn, Donald Sutherland
Titre original : The Mechanic
Long-métrage américain
Genre : Action, Thriller
Durée : 01h32min
Année de production : 2011
Distributeur : Metropolitan FilmExport

Bande-annonce de « Le Flingueur »