Burn After Reading

Un an après « No Country for Old Men« , les frères Cohen sont déjà de retour avec leur nouveau film, Burn After Reading. La qualité suit-elle la quantité ?

Dans Burn After Reading, on retrouve Osborne Cox (John Malkovich) un agent de la CIA qui se fait virer. Il préfère cacher ce désavoeu à sa femme et fait croire qu’il a démissionné pour commencer une nouvelle vie, en écrivant ses mémoires. Sa femme ne l’entend pas de cette oreille et décide de divorcer. En récupérant des données sur sa situation financière, elle fait une copie de son manuscrit, qui se retrouve oublié dans un casier d’une salle de sport quelconque de Washington. Sauf que deux de ses employés, Linda Litzke (Frances McDormand) et Chad Feldheimer (Brad Pitt) croient être tombés sur des documents ultra secret et décide de faire chanter Osbourne Cox pour lui soutirer de l’argent.

Bande annonce : Burn After Reading[fr]

[flv:2008-12/burn.flv 2008-12/burn.jpg 550 416]Les frères Cohen voulaient faire un film d’espionnage dans un monde profondément crétin. Le contrat est amplement rempli avec sa brochette d’acteur extrêmement talentueux tous plus stupides les uns que les autres avec une mention spéciale pour l’incroyable prestation de Brad Pitt, qui justifie à lui seul d’aller voir le film, voire… qui constitue au final le seul intérêt d’aller voir Burn After Reading. Car le film manque cruellement de fond. L’histoire globale se vautre dans une succession de chassé croisé amoureux aussi classique qu’inintéressant. La misère sexuelle étant le sujet le plus rabâché au cinéma et à la TV ces dernières années, le film des Cohen se démarque péniblement du lot avec son ambiance espionnage et ses personnages. Sauf que suivre les histoires de parfaits crétins devient rapidement lassant et il faut attendre la courte apparition de Brad Pitt pour vraiment accrocher au film.

Burn After Reading
Burn After Reading

Au final, on retient quelques scènes hilarantes (la crise de paranoïa de Clooney, les apparitions de Brad Pitt) diluées dans des longueurs comblées uniquement par les dialogues parfaitement stupides de personnages non moins aussi crétins. Si ça vous fait éclater de rire, vous adorerez, sinon, passez votre chemin, car le film n’a pas d’autre prétention que de prendre à contrepied les images policés de ses acteurs. Un peu léger pour le label « Cohen »

Et j’en profite pour donner un carton rouge au doublage français du personnage de Malkovich et des agents de la CIA, la scène d’introduction du film est une catastrophe, le lipsync est dans les choux, le ton et l’expression sont complètement à coté, un ratage flagrant et heureusement rare mais qui n’aide pas à apprécier le film, déjà bien léger…

Burn After Reading
Burn After Reading

Fiche Technique

Titre français : Burn After Reading
Date de sortie France : 10/12/2008

Réalisateurs : Joel Coen & Ethan Coen

Scénaristes : Joel Coen & Ethan Coen

Casting
George Clooney : Harry Pfarrer
Brad Pitt : Chad Feldheimer
Frances McDormand : Linda Litzske
John Malkovich : Osbourne Cox
Tilda Swinton : Katie Cox
Richard Jenkins : Ted Treffon
Elizabeth Marvel : Sandy Pfarrer
David Rasche : l’officier de la CIA
J.K. Simmons : le supérieur de la CIA

Tv on the Radio : l’excellent « Dear Science » !

Tv on the Radio frappe fort avec son nouvel album, « Dear Science » !
« Dear Science » est l’excellente suite au brillant « Return to Cookie Mountain » sorti en 2006.
Des mélodies ultra accrocheuses, novatrices, rythmées… un plaisir pour les oreilles, sans conteste un des meilleurs albums de 2008 !

Dear Science - Tv on the radio
Pochette de l’album « Dear Science »‘

Pour vous en convaincre, écoutez les singles ‘Halfway Home’ et ‘Crying’ sur leur page myspace ;).

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TroyB !!!
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The Raveonettes : 4 nouveaux EP en 2008 !

Cette année, les Raveonettes nous font plaisir !
Ce n’est pas moins de 4 nouveaux EP que le duo Danois apporte à nos oreilles !
Au programme :
* The Raveonettes Remixed
* Sometimes They Drop By
* Beauty Dies
* Wishing You A Rave Christmas

Sharin Foo - Raveonettes
Sharin Foo, bassiste des Raveonnetes, sexy avec son style 60′ !

Après le sympathique « Lust, Lust, Lust » sorti en 2007, les Raveonettes continuent de nous faire vibrer avec leur pop-rock kitsch, fun, teinté de noirceur et de cynisme :).
Vous pouvez écouter des extraits de ces EPs sur la page Myspace de nos rockeurs danois.
Le ténébreux Sune Rose Wagner et la magnifique Sharin Foo prépareraient un LP pour 2009… affaire à suivre !

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TroyB !!!
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Discographie des Raveonettes :

* Whip It On (2002)
* Chain Gang Of Love (2003)
* Pretty In Black (2005)
* Lust Lust Lust (2007)

Deftones : un drame retarde la sortie du nouvel album, Eros !

L’enregistrement d’EROS, le nouvel album de Deftones, est actuellement arrété à cause d’un drame !
Je vous en avais annoncé la sortie pour la fin de cette année… l’album Eros est en cours d’enregistrement, et sortira au mieux courant 2009.
Que s’est-il passé ?
Le 4 novembre 2008 Chi Cheng (bassiste du groupe) a été impliqué dans un grave accident de la route et est depuis dans le coma dans un centre de soins intensifs liés au cerveau.

Le message officiel du groupe, posté sur leur blog et traduit depuis l’anglais :

« Je suis au regret de vous annoncer que notre Bro’ Chi Cheng a été impliqué dans un très grave accident de la route la nuit dernière. Il est actuellement dans un hopital, son état est critique mais stable. Je suis en chemin pour le soutenir, et être à ses cotés en compagnie de ses amis et de sa famille. Chi est une personnes les plus fortes que je connaisse, et je prie pour que sa force lui permette de passer cette épreuve. Vous aussi, priez pour lui, merci. – Chino Moreno. »

Espérons que Chi Cheng sortira indemne de cet accident et que le groupe survivra à cette épreuve.

Plus d’infos dès que possible.

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Update du dimanche 4 janvier 2009 :
Chi est toujours dans le coma. Sa situation physique est stable : poumons, coeur, etc tous les organes vitaux fonctionnent correctement, mais Chi Cheng ne s’est pas encore réveillé.
Les membres du groupe continuent de rester positif et de croire en la force de Chi, comme nous pouvons le lire dans le dernier post de Abe & Chino sur le blog officiel de Deftones.
Courage, nous sommes de tout coeur avec vous !

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TroyB !!!
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Le Jour où la Terre s’arrêta – La critique destructive

L’équipe de Twivi s’est fendu d’un travail d’investigation poussé sur le dernier film avec Keanu Reeves : Avis croisés mais conclusion identique :

Avis de Salagir

Le jour où notre cerveau s’arrêta, c’est en voyant ce film. Plus on avance, et plus on est atterré. Encore une fois, tant d’argent pour ça on peut se poser des questions.
Voyons ensemble les raisons qui font de ce film un énorme navet.

La lente réalisation

Au début, on pense que ce film est plutôt lent, ou comme on dit gentiment, contemplatif. Mais en fait on finit par comprendre qu’il est juste chiant.
Avec un scénario qui tient en une heure et quart, on suit un film d’une heure quarante qui semble en faire deux et demi. Tout est lent, tout est fixe.

Bien sûr notre acteur en chef n’aide pas. Je passe à ce sujet au second problème.

Le Jour où la Terre s’arrêta - La critique destructive

Keanu Reeves

Notre héros au charisme d’un haricot vert est de retour. Il joue très, très mal.
Même en extraterrestre sans émotion, Keanu, ou un acteur virtuel, je ne sais pas, est raté. Dans la première scène, où il joue un humain, ses yeux regardent déjà 3 kilomètres derrière la caméra. En plus, il n’a même pas pu sortir ce qui fait toute la puissance de son jeu d’acteur, c’est à dire, faire « waoh ».

Quand Keanu avance, on dirait qu’il recule.
Quand il recule, on dirait qu’il remonte le temps.
Ce paraplégique debout couplé à la réalisation lente font de ce film le numéro un universel des choses chiantes à regarder, après la défragmentation d’un Windows XP (qui, nous sommes tous d’accord, est beaucoup moins cool qu’une défragmentation d’un 98)

L’histoire dans les détails

L’histoire générale, qui nous vient d’un super film des années cinquante, pourrait être bien, mais dans la forme, c’est calamiteux.

Car nous parlons d’un film à grand spectacle à mettre dans l’esprit de Independence Day. Il y a donc les scènes de foule qui fuient, les militaires dans tous les coins, et la grandiloquence du gigantisme de la situation (on ferme une autoroute pour faire arriver une nobody plus vite à destination).
C’est raté. Si on rigole sur la fermeture de l’autoroute, on garde un peu d’espoir que le haricot vert et la pleureuse ne seront pas les seuls personnages du film, sauf que là, on déchante vite.

Toutes les réactions sont bien sûr très caricaturales. Les militaires ne peuvent s’empêcher de tirer sur l’extraterrestre, après tout ils sont là pour ça. Les gouvernementaux sont des cons qui ne savent que dire « Nous contrôlons la situation » lorsqu’une forme de vie 10 000 fois plus avancée qu’eux leur fout la pâtée. Le gamin-qui-sert-à-rien fait chier, chier, et re-chier et rend toute situation pire qu’avant par ses actes.

Le Jour où la Terre s’arrêta - La critique destructive

Histoire d’attendrir le chaland, on nous sort de nombreuses scènes mielleuses et chiantes, où les acteurs, qui ont fait trop de scènes d’actions (comme ouvrir une porte de voiture, entrer dans une voiture, sortir d’une voiture, montrer un produit sponsorisé, utiliser un produit sponsorisé…) se reposent en pleurant et parlant de tous leurs malheurs (ouin mon papa est mort et j’aime pas ma belle-mère), de préférence en pleine situation de crise (on me tire dessus, ou le monde est en train d’être détruit, le monde ENTIER, SAUF là où on est parce que, pas con, le truc qui détruit des portes blindées et buildings entiers, il fait rien à ma ptite cachette, ahahahah!!!).

Histoire d’être subtilement marketingement nocif, la table magique de Krosoft, après avoir fait un tour chez James Bond, est utilisée en objet tout à fait quotidien de nos amis scientifiques, qui posent tout naturellement leurs tubes lumineux sur la table ce qui écrit des trucs dessus.
Je pensais que la science fiction du film, c’était les aliens moi. Je pense que le message marketing de Krosoft est assez clair : Quoi ? T’as pas encore la table virtuelle machin qui sert de table à café de Bill Gates ? Mais t’es une merde !

Pour finir, il y a des choses bien dans ce film. Peut-être on peut en faire un bon truc, avec un re-découpage complet, en enlevant la moitié des scènes, et en remplaçant Keanu par quelque chose de mieux, comme une carotte, ou un mulot.

Avis d’Alec

Secrètement amoureux de Jennifer Connelly depuis Dark City, je me cale dans mon fauteuil de cinéma, persuadé de passer un bon moment (fou que j’étais)

Le Jour où la Terre s’arrêta - La critique destructive

La scène d’intro nous plonge immédiatement dans le non jeu avec un mister Reeves alpaniste sous lemoxil qui évolue dans un décor en carton pâte d’un autre temps. Tout est lent, très lent et surtout trèèèèèèèès inutile, le fait que keanu tripote une couille alien géante et qui se fait pomper son ADN ne sert ABSOLUMENT à rien au reste de l’histoire. Mais bon, passons les menus détails. On se téléporte de nos jours et on retrouve Connelly en scientifique / maman un peu largué devant son gamin qui joue à World of Warcraft (merci la pub au passage). Et là crac, une scène guignolesque où des men in black viennent la prendre directement chez elle, avec pour seul mot « on vous expliquera en route ». Scott Derrickson doit sans doute avoir un problème avec l’ordre et l’armée parce qu’il adore nous assommer de clichés poussifs (pèle mèle : les men in black qui ressemblent à des mister Smith, les ralentis sur les déploiements militaires, les phrases chocs et vides de sens…)

Le pitch s’installe en même temps qu’un certain malaise : Klaatu déboule et déclare « salut les nazes, la planète meurt, je dois vous éliminer pour la sauver » et… et… C’EST TOUT ! Et le reste du film n’est qu’un amas de scènes inutiles où Jennifer chouine « laissez nous une chance de changer ! » Bordel mais t’es qui toi pour parler au nom de l’humanité ? Ha il est quand même fait une fois référence aux Nations Unies hein, pour faire bonne figure mais sinon nada, c’est notre scientifique de charme qui va montrer à Keanu que l’humain, c’est pas qu’une ordure. Et comment elle fait à votre avis ? Ben, elle tire Keanu du quartier crap de New York et l’amène dans la datcha bobo d’un prix nobel qui écoute du Bach. Et là forcément, E.T se doit de sortir un « ho mon dieu, mais c’est trop beau »… genre… Le nobel bo-bo joué par John Cleese lâche alors la clé du film « c’est au bord du précipice que l’humain peut changer » et là crac, Keanu-Klaatu a le doute, il faut peut être laisser une chance aux humains. <= Bordel, 1h20 de film pour vous déballer pareille sornette, c’est juste affligeant !

Mais le vrai du problème au delà de son propos d’un bobo-ecolo-niais (mais d’un niais !) c’est le rythme et la consistance. C’est simple, ça parle tout le temps et souvent pour dire des trucs pas intéressant… et dire que le réalisateur se paie en plus le plaisir de caser des ralentis sur Keanu qui marche dans la forêt… Bref, le film se limite à 2 ou 3 scènes d’actions avec un finish soit disant spectaculaire sauf que ça fera bien 30 minutes déjà que vous aurez sorti votre DS pour faire un entrainement du Dr Kawashima. Allez, sans conteste la daube de l’année et tant pis à mon amour de Connelly, elle se rattrapera sur des rôles plus à sa mesure et loin du personnage de scientifique chouineuse et paumée de  » Le Jour où la Terre s’arrêta ».

Le Jour où la Terre s’arrêta - La critique destructive

Pj Harvey revient avec ‘A Woman A Man Walked By’ !

Je vous l’annonçait il y a quelques mois… moins de 2 ans après la sortie de l’extraordinaire « White Chalk« , Pj Harvey sortira un nouvel album !
L’album s’appele « A Woman A Man Walked By« , et est annoncé pour le 30 mars 2009 sur le label « Island Records ».
Peu d’informations pour l’instant, si ce n’est qu’une fois de plus la belle Pj Harvey a choisi John Parish et Flood pour produire l’album.

John Paris est le producteur fétiche de Pj Harvey. ‘A Woman A Man Walked By’ sera le cinquième album produit par John Parish après « To Bring you my love » (1995), « Dance Hall at Louse Point » (1996) »Is this desire » (1998), « White Chalk » (2007).

J’ai hâte d’en savoir plus ! Je vous tiens au courant ;). En attendant, ci-dessous 2 vidéos live de l’album « White Chalk »: « The mountain » et la chanson qui donne son nom à l’album « White Chalk ».

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TroyB !!!
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White Chalk (White Chalk – Pj Harvey)

 
 
The Mountain (White Chalk – Pj Harvey)

Les Simpson le film : en DVD (et blue-ray)

C’est très simple : C’est super bien. Vous aimez les Simpsons ? Vous aimerez le film.

On ne s’ennuie pas, il n’y a pas de longueur et de moments d’égarements, c’est juste un épisode qui dure plus d’une heure avec autant de débit d’humour. Contient une 3D bien intégrée qui sert le film.

Enfin, je vous conseille la VF si comme moi vous avez l’habitude de le voir en VF. Les voix sont très bien, je n’ai pas détecté d’erreurs dans la traduction, pourquoi se priver ?


Oups !…. Hum… Uniquement pour les besoins du screenshot hein… j’attends tjrs un bon utilitaire pour faire un screen de DVD.

Pour commenter cette image du film, ne téléchargez effectivement pas. Ce serait un gâchi épouvantable, car il faut vraiment le voir sur un grand écran. Puisque nous parlons du DVD, je suis sûr que votre télé 16/9e sera meilleure que votre écran d’ordi. Et puis bon, quand le produit est bien… il ne faut pas hésiter non ?

Pour plus d’infos et d’images, cliquez sur les tags et vous verrez l’article précédent qui est fort fourni 🙂

N’oubliez pas de chanter avec moi… Spider Cochon, Spider Cochon ! Il peut marcher au plafond !
http://spidercochon.fanclub.online.fr/

Nota : pas de sang dans Itchi et Scratchy. Ca sent l’auto-censure.

« Robots in Disguise » revient avec « We’re in the Music Biz »

Les deux géniales allumées des « Robots in Diguise » nous offrent un excellent 3ème album, « We’re in the music Biz » !
Un turbulent mélange de rock, electro, pop, punk, sur fond de love, glamour et de sexe… les précurseurs de Cansei de Ser Sexy, les « Robots in Disguise » étant dans le « Music Biz » depuis bientot dix ans 😉 !

Sue Denim et Dee PLume : Robots in Disguise
Les 2 coquines féministes excentriques de Robots in Disguise, Sue Demin et Dee Plume ;).

Sue Denim et Dee Plume sont les 2 anglaises dingues qui font la musique et chantent ensemble, se répondent ou se mélangent sur des chansons délirantes !
Extraits de leur nouvel album écoutables sur leur page Myspace :
http://www.myspace.com/robotsindisguise
Vous y trouverez notamment les singles « Sex has made me stupid » et « Tears » ;). Ci-dessous quelques clips, dont le single « We’re in the music biz » :).

Les 2 anglaises adorent la France, comme on peut l’entendre avec les chansons (sexy) en français présentes sur l’album précédent, « Get Rid ». Alors… elles passeront bientot en concert pas loin de chez vous, stay tuned ;).

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TroyB !!!
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Clip « We’re in the music Biz », single du dernier album :).

 
 
Robots in Disguise : clip « Bed Scenes » (premier album)

 
 
« Turn It up », single du second album « Get rid »

Blur: retour de Graham Coxon et nouvel album pour 2009 !

Depuis septembre, les rumeurs de reformation du Blur « d’origine » vont bon train.
Tout a commencé lors que Damon Albarn et Graham Coxon se sont montrés en public en train de boire un café… Graham Coxon, guitariste talentueux au look de Nerd, avait quitté le groupe en 2002 et était officiellement très faché contre son ex super pote Damon Albarn. Ceci étant, le départ de Coxon n’avait pas empêché Blur de sortir un nouvel opus en 2003, « Think Tank ».
Depuis 2003, Damon Albarn étant très occupé à ses autres projets (Gorillaz et The Good, the Bad and the Queen) et les autres Blur étant très silencieux, on était en droit de se demander si Blur allait sortir de son stand by.

graham coxon - damon albarn
Ooooh Damon Albarn et Graham Coxon de nouveau copains… comme c’est mignon :).

Graham Coxon et Damon Albarn sont redevenus copains… Selon les propres dires de Damon Albarn, Blur entrera en studio au mois de janvier 2009, avec donc la formation d’origine…
Le dernier album avec Coxon est le génial « 13 ». Avec dix ans de maturité en plus, le nouveau Blur promet d’être un petit bijou.
Affaire à suivre !

En attendant, je vous ai mis en fin de page mes 3 clips préférés de Blur… Enjoy ;).

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TroyB !!!
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DISCOGRAPHIE DE BLUR
* 1991 : Leisure
* 1993 : Modern Life Is Rubbish
* 1994 : Parklife
* 1995 : The Great Escape
* 1997 : Blur
* 1999 : 13
* 2003 : Think Tank

 
Clip de Blur: Cofee & TV

 
 
Clip de Blur : Song 2

 
 
Clip de Blur: Girls and Boys