Super Smash Bros Brawl : le test

Et bien les hordes de fans en folie se jetant sur les murs des magasins pour avoir le jeu SSBB avaient raison, ce jeu est effectivement de la balle !

On commence par un grand nombre de modes de jeu. On retrouve tous ceux qu’il y avait sur la version précédente, sur Gamecube. A cela on ajoute une multitude d’autres, jouables à un ou à deux.

Le plus important est l’ajout d’une grande aventure, dans laquelle nos héros se baladeront carrément dans un jeu de plate-forme à dégommer des monstres divers, puis des boss !
Créé dans le but évident de faire découvrir les personnages, c’est un jeu à lui tout seul.


Le mode aventure vous raconte un grand crossover entre tous les univers.

En plus des habituels trophées, on gagne également des musiques à écouter, des jeux NES à jouer, et sûrement d’autres…
Pendant le jeu, que ce soit en solo, à plusieurs ou en ligne, on peut récupérer des feuilles qui trainent, ce sont des vignettes qui améliores vos personnages en mode aventure !
Tous ces bonus à gagner sont représentés dans une énorme armoire à étagère, dont chaque casier vous est caché. Et quand un casier est remplis, ceux autours deviennent transparent, pour vous donner des indices sur comment les avoir.

Il y a également le mode de jeu en ligne ! Jouez par le Wifi contre des amis (en utilisant l’ignoble code ami de 12 chiffres) ou contre des gens au hasard.

Les américains avaient des gros problèmes de lag à la sortie du jeu. J’en ais rencontré mais rien d’insupportable pour le moment. Ce qui est dommage par contre, c’est l’impossibilité de communiquer avec les autres joueurs.
Aucun micro-casque et échange de son possible, il ne reste que la « moquerie » : on peut faire dire à son personnage 4 phrases (de 10 lettres max) au choix, pendant qu’il fait l’idiot devant les autrs : problème, en faisant cela, on est 2 secondes sans défenses.
Du coup je cause à mes amis par Skype pendant mes parties et ça marche très bien 🙂

Je n’ai le jeu que depuis deux jours, je suis loin, loin d’en avoir fait le tour… Je peux juste déjà vous dire que c’est une bombe, et que je le conseille à tous !

Toon Link : le petit Link pas du tout toon.

Je sais que vous bavez tous comme moi en attendant la sortie Européenne de Smash Brawl, alors que ces salauds d’américains et ces monstres de japonais y jouent tous déjà du soir au matin.
Alors en attendant, je vais vous présenter un personnage (caché sûrement) qui nous intéressera, un personnage pris au hasard… disons, allez… Link !

En effet deux Links s’affronteront dans ce jeu, et je ne parle pas des simples Link Adulte et Link Enfant comme dans le précédent, mais bien deux idées, deux concepts de Link qui s’opposent complètement !
(En fait je sors cet article maintenant uniquement pour emmerder Salagir qui travaille depuis des mois sur un article sur Link et n’en fini jamais… hi hi hi)

Nommé « Toon Link », il s’agira du Link de Zelda : the Wind Waker, celui qui est donc tout petit, avec des yeux qui font peur.

Mais, mais… que voyons-nous !? Certes il est petit avec une grosse tête, comme prévu, mais ce n’est pas le Link de Wind Waker, car, non, il est pas en cellshading !!! (vous savez, le truc qui fait que la 3D ressemble à du dessin animé, mais oui vous savez !)
Evidement, j’imagine que c’est pas possible de faire cellshading et pas cellshading en même temps. Mais bon du coup, il est pas si toon le Link.


Notez qu’il garde ses expressions à la con, le seul bon point de ce design de nain 😉 Par contre les explosions elles sont bien en mode Wind Waker alors je pige pas.


Quand même il sait faire des trucs.


Tu tiens pas la comparaison mon pauv’ petit !…


On gagne quand même à l’évidence un chouette niveau de combat ! Plouf !


On se quitte sur une note de musique !

Super Smash Bros Brawl : Infos, Images et Vidéos


Il en fallait, voici un article sur le jeu le plus attendu de la Wii.
Super Smash Bros: Brawl est déjà sorti au japon, et toutes les unités se sont faites achetées en quelques jours. Explosion.

Ce jeu qui a un opus par console de salon depuis la Nintendo 64, rassemble tous les personnages mythiques de Nintendo pour qu’ils se tapent joyeusement sur la gueule.
Avec la version Wii les personnages se diversifient au point d’avoir Sonic lui même ! Et ce n’est pas avec le jeu « Mario et Sonic aux jeux olympiques » (une référence subtile au dernier Astérix, qui se fait descendre par tout le monde ?) qu’on allait étancher notre soif de faire combattre Sonic et Mario, revivant les grand moments de Sega contre Nintendo

Voici la première pub sortie il y a déjà un an :

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On pourra jouer avec toutes sortes de manettes: les wiimotes, les manettes gamecube, les manettes blanches de Wii, etc… Pas d’inquiétude donc pour les gens comme moi qui ont 4 manettes NGC et peu de wiimotes, et qui se demandaient si le jeu serai jouable avec une télécommande.

Parmis les étranges nouveaux, nous aurons un « dresseur pokémon », sous-sacha qui restera hors de l’action. On bougera alors trois pokémons possible : Carapuce, Bulbizare et le terrible Dracofeu.

…Mais je ne vais pas vous faire la liste des personnages. Je vous parlerai de ceux qui m’intéressent.


Commençons simple avec Mario qui se prends pour les Daltons, et son evil alter égo, Wario


Donc Sonic, il vient avec ses niveaux (cf plus bas) et ses amis (que dans l’intro j’imagine). Comme vous le voyez, Sonic n’a peur ni de Mario, ni de Link ! Prends ça Mario ! Ah bas la NES, la Master System était mieux !


Nouveau venu, Solid Snake, le dieu de l’infiltration. Regardez comme il défonce avec ses jambes ces… desserts géants…


Continuons avec Samus, qui a enfin décidé de faire remarquer au public que c’était une fille, histoire de gagner +999 en popularité. Et notez la subtile attaque qu’elle s’apprête à faire sur Snake. Lui qui attaque toujours de dos, l’arroseur arrosé va s’en prendre plein la poire. Les items, c’est ça aussi la richesse de Smash Bros


L’invocation de Ronflex, le meilleur moyen de faire le vide ! Et Kirby, qui n’a toujours pas apprit à mâcher avant d’avaler…


Bien sûr, la galerie Zelda. Link est beau et éclatant, mais point de craintes: vous pourrez également jouer avec le link minable de Wind Waker, nommé « Toon Link« 

« Salut, je suis Zelda et j’ai la classe. Par contre je vais être injouable comme dans le précédent. »


Qui est la plus belle princesse ? Celles qui répondent Peach ont moins de 10 ans

Le jeu proposera également les fonctions suivantes :

  • Sauver des screenshots et se les envoyer par le net.
  • Jouable en ligne: vous pourrez enfin vous améliorer sans avoir d’amis.
  • Niveaux destructibles !
  • Un éditeur de niveaux !!!!
  • Des démos jouables des vieux jeux NES (Marios Bros, Zelda…)

Quelsques liens :

Finissons avec des images de terrains, histoire de se préparer aux décors.. il y en avait beaucoup, j’ai fais sélection. On se retrouvera chez Yoshi’s Island, sur une piste de Mario Kart, sur les murailles d’un immense château, mais donc aussi chez Sonic, sur un terrain qui me fait étrangement penser à Load Runner, et dans un vieux niveau Mario Bros 1 !

Spore Creatures, l’évolution du jeu vidéo

Haaa Spore, je me souviens encore, ému, en cet été 2007 de la vidéo de présentation de Spore Creatures au Game Developers Conference. Un jeu vidéo où on contrôle la vie, de sa forme unicellulaire à son émancipation, une version ludique et miniature de l’évolutionnisme condensée dans un jeu. Pari fou ? Pas si sûr quand on sait que c’est Will Wright, le papa de la saga SimCity et autre Sims. Ce pro du jeu de gestion veut mixer dans Spore ses deux plus grands succès : la micro gestion des individus et la macro gestion de civilisation. Spore ressort des placards ce mois-ci et nous annonce une sortie pour le 4 septembre 2008. Un tour d’horizon s’impose histoire de voir si le jeu tient ses promesses.

Une preview du jeu Spore Creatures
[flv:2008-02/spore.flv 2008-02/spore.jpg 550 309]Comme on peut le voir dans la vidéo, le jeu s’étale sur 5 phases de gameplay.

1. Micro-organisme :
Vous dirigez un organisme ultra simple. Le but c’est bouffer ou être bouffer. On doit récolter des « morceaux d’ADN » afin de jouer au grand Architecte. En effet, au plus on récolte d’ADN et au plus on peut faire évoluer sa créature. En dehors de la récolte, cette phase de jeu se limite à survivre en milieu (extrêmement) hostile. Cette longue intro durera environ 30 minutes

Spore micro organisme

2. Créature :
Fini de barbotter dans l’océan, votre créature débarque sur la terre ferme avec l’intention d’y prospérer. On conserve le concept d’ADN mais on accède enfin à un « constructeur de vie » plus évoluer. On peut en effet modifier sa créature à souhait : des yeux, des membres, une bouche, couleur, forme. On customise à volonté SA forme de vie.

Spore phase créature

3. Tribale :
Votre créature a évolué et s’est faite une place sur la planète, maintenant elle va tester la vie à plusieurs. Vos créatures vont vivre en petite tribu. Ses petits groupes commencent à se frotter aux autres espèces belliqueuses ou à lier des amitiés. A ce stade, fini de jouer à Dieu, on passe dans de la gestion pure et simple.

Spore Phase Tribu

4. Civilisation :
Votre tribu prospère et se dit que finalement, être en haut de la chaine alimentaire, ça serait vraiment pas mal. Vos créatures se mettent à bâtir des villes, à construire des machines et à se lancer à la conquête du monde.

Spore Civilisation

5. L’espace :
Ok, vous dominez la terre, vous avez mis au pas le reste des espèces vivantes et vous êtes complètement blasé. Repoussez la dernière frontière, embarquez dans votre flotte spatiale histoire de découvrir d’autres horizons. Découvrez de nouvelles espèces vivantes afin de lier des relations diplomatique… ou pour les asservir.

Spore Phase Spatiale

Will Wright semble s’être inspiré des théories de Lewis Henry Morgan, le père de l’anthropologie. Morgan distingue trois phases majeures dans l’évolution : sauvage, barbare et civilisé. On retrouve donc grosso modo les phases de jeu de Spore. Le jeu laissera bien entendu la main libre au joueur pour voir si il veut faire évoluer son espèce dans une voie pacifique ou dans un délire de darwinisme social.

Après la première prise en main du jeu, ce qui surprend, c’est la puissance du créateur d’objet et d’espèce. On a vraiment tout loisir dans les premières phases de jeu de créer une forme de vie unique. Dans les phases « civilisation », on pourra modeler non plus les êtres vivants mais les objets. Là aussi, une grande liberté est de mise.

En revanche, ce qui déçoit un peu, c’est la linéarité imposée par moment. Quand vous passez du monde aquatique à la terre ferme, vous êtes obligé de faire un être qui marche (exit donc la civilisation de canari maléfique que vous vouliez créer), idem, on ne peut pas évoluer en étant une espèce marine (merci pour le poisson et au revoir)

Enfin, la dernière question est : la création des espèces a t’elle un impact sur la vie de la civilisation ou le jeu reste t’il linéaire ? Si je fais des créatures sans bouche, vont-elles développer la télépathie pour communiquer ? Si je les dote de plusieurs bras, seront-elles plus forte au combat ?

love story dans Spore Creatures
Les relations inter groupe et intra groupe sont vitales pour la survie

Pour l’instant, il est encore trop tôt pour savoir si le jeu sera aussi puissant. Devant autant de complexité, on risque d’avoir un SimCity mâtiné de Civilization avec un enrobage cosmétique à la Sims (genre customise ta créature pour la rendre unique mais derrière aucun changement au niveau du gameplay) Mais on n’est pas non plus à l’abri d’une bonne surprise. Si le système d’évolution des espèces tient la route, si le système de gestion (diplomatie, économie, politique) est correct et si la phase spatiale est plus qu’une simple « mission bonus », alors on risque de tenir une sacré claque, un jeu qui fera date. Mais avec des si, on peut en faire des choses…

Quoi qu’il en soit, le jeu sera bien évidemment multiplayer ce qui permettra de partager ses créations et de se frotter aux espèces d’autres joueurs. Le jeu est prévu pour une sortie simultanée sur PC, Macintosh, Nintendo DS et Wii le 4 septembre prochain. Les autres consoles dites Next Gen ne sont pas à l’ordre du jour pour le moment.

Fiche technique


Sortie en France : 4 septembre 2008

Titre : Spore

Créateur : Will Wright
Studio : Maxis
Editeur : Electronic Arts

Support : PC, Macintosh, Nintendo DS, Wii

Jeux à minigames (moches), Wii toujours

Pour les gens qui comme moi se sont senti arnaqués en jouant à Wii Play et Wii Sport, voici une petite mise au point.

Tant il est vrai que la Wii est capable de graphisme previous-gen, comprendre de la gamecube, on se disait qu’on pourrait quand même avoir de belles choses. Mais qui peut le plus peut le moins, et ce fut en gardant en tête ce beau dicton que furent créés des jeux-démos pour la Wii, à l’intérêt limité… mais présent dans toutes les pubs Nintendo.

Je parle bien sûr de ces tests de codage d’étudiant en jeux vidéos première années que sont Wii Play et Wii Sport, aux principe de jeu si bas que Démineur passe pour une station multi-plateforme MMORPG à côté, et aux graphisme tellement pauvres que la Wii se retrouve réduite à calculer des sphères et des cylindres !

Les personnages de ses jeux sont des têtes (une sphère) sur des corps (un cylindre) avec des boules comme main, et rarement des bras. Ce sont les ignobles Mii, personnalisables certe, mais pas assez, et au final pour rendre très moche.

Edit Salagir, hop pub toussa. Les Mii suckent.

Et bien rassurez-vous, ces démos n’étaient bien que des démos. En effet, les versions pros et chères arrivent. Voici Game Party !

C’est mieux hein ? On dirait que ça sort droit de la Nintendo 64. Hinhinhin…

Vous allez dire que je suis mauvaise langue. C’est vrai.
Pour me faire pardonner, je vais vous montrer un peu le prochain bijoux de la Wii, un jeu d’échec.

Vous avez le droit de pleurer.

Zelda Twilight Princess

Je profite de ce blog pour ressortir mon avis sur le jeu qui a lancé la Wii, mais n’a pas été fait pour elle.

Comme vous le savez, une grande partie des fans de Zelda de longue date (comprenez, les gamers qui ont joué sur Super Nintendo voire à Zelda 1 sur Nintendo) c’est trouvée fort déçu lorsque Zelda Wind Waker est sorti.
Après deux zeldas sur Nintendo 64 fort bien réussi mais au graphisme moyen, nos gamers voulaient un beau graphisme, ainsi qu’un Link qui ne serai plus enfant. Un jeu un peu plus… adulte, puisque ces gamers, comme vous l’aurez calculés, étaient pour nombreux devenus adultes à leur tour.

Lorsque Nintendo se rends compte que les consoles dites « next-gen » (Xbox 360, Playstation 3) sont en train de sortir, alors qu’eux se trainent avec une GameCube vieillissante, et promettent pour le lointain la Nintendo Revolution, la console à télécommande qui va changer le monde, on s’affole en haut lieu et, compactant la Gamecube en une Wii plate, et ajoutant deux fonctions et la wiimote, youp’là, on a la console nextgen.
Reste à faire des jeux. Et des jeux de lancement, hein, pas du Wii Play s’il vous plaît. Des gros titres. Mario est en vacances après avoir fait ses différents Paper Mario, qui bien que fort sympathiques n’ont pas l’attrait d’un vrai Mario. Il ne reste plus que Link. Enfin, Zelda.
Ca tombe bien, on vient de finir le deuxième jeu Zelda de la GameCube ! Un Link adulte, avec du feu dans les yeux, dans un monde dark et oppressant ! L’anti-thèse du précédent quoi… 😉
Hop hop deux lignes de codes et la version Wii marche.

Il n’empêche que le graphisme tabasse. Mission un: réussie.

Edit: j’en profite également pour ajouter des images. Voici donc l’avant et l’après !!
Avant... Apres !!! <3

Ca, c’est le Link pour lequel j’ai signé !

Les améliorations de Link sont nombreuses et de taille. Il gagne 10 000 en charisme, d’ailleurs toutes les filles du jeu sont folles de lui, même les passantes !
Link attaque de son cheval, avec l’arc bien sûr, mais aussi à l’épée ! Au grapin, à tout ce qu’il veut. il peut monter sur le cheval par la croupe et s’accrocher sur son côté en pleine course pour éviter les coups.
Il manipule le grappin à la Matrix : un dans chaque main. Il snipe. Il tire des flèches grenades.
Lorsqu’il a l’épée sortie, tout en lockant son adversaire, il la fait tourner, comme ça pour déconner, et il la range à chaque fois avec pure chorégraphie.
Et il garde sa qualité principale: il ferme sa gueule et obéi aux princesses, quel que soit leur monde d’origine.
Enfin, spécialement pour cet épisode, il peut se lécher les burnes, encore que j’ai pas trouvée le bouton pour ça.

Commençons par quelques trucs cools. Certains palais sont très travaillés, dans le sens où ils ont une logique, une raison d’existance ! En effet au lieu d’être d’insodables labyrinthes créés par un architecte fou dans le but unique de faire une suite d’obstacles complexes mais obligatoirement solubles pour un héros de passage, certains palais sont… de vrais palais !

Nous avons le palais de l’eau. Dedans, l’un des salles contient un beau passage amenant directementà la porte suivante… simplement il est cassé et ses débris sont les obstacles. Mais sans cela, ce serai un fort beau palais 🙂
Ensuite, les ruines dans la neige, qui sont carrément une vrai maison, et habitée par des gars gentils !
Enfin, le palais d’Hyrule, avec ses beaux jardins… dommage que les orcs l’aient envahit ! 🙂

Par contre, je n’ai pas du tout aimée la pêche. On peut pêcher dans les lacs et rivières, mais aussi dans le lieu de mini-game spécial pêche. Et les crétins mogoloïdes de Nintendo ont fait un système d’utilisation de la canne à pêche différent !! Et celui du jeu, celui qui est obligatoire, est incompréhensible et fortement ennuyeux !!

Les minigames sont nombreux et sympa (limite faciles à mon goût, tous réussi du premier ou second coup), et vive le snowboard !

Je vous laisse, je vais chercher mes derniers insectes. ^_^