Après l’annonce du nouvel album de Deftones (Eros), c’est à Soulfly de nous faire trembler d’impatience avec la future sortie d’un nouvel album !
Le nouveau Soulfly s’appellera CONQUER, et sortira le 29 juillet 2008. C’est les fans de Cavalera qui vont être contents 🙂 !
Une version collector comprendra 3 titres bonus :
* « Sailin’ on », reprise des Bad Brains
* « The beautiful people », reprise de Marilyn Manson
* « My path », un bonus indédit
Le retour de Korn, nouvel album de Deftones, nouvel album de Soulfly… 2008, les vétérans du Nu Metal reviennent en force !
Will Smith pour le remake américain de « Bienvenue chez les Ch’tis » [brève]
Bienvenue chez les Ch’tis de Dany Boon, le gros carton cinéma… de l’histoire du ciné français aura droit à son remake américain. Après Les visiteurs en Amérique, Un Indien à New York, on aura « Welcome to the Sticks » produit par Will Smith et Warner Bros, qui viennent d’acquérir les droits pour le marché américain.
Le scénario n’est pas encore défini, on ne sait si le film sera avec des rednecks du sud ou des bouseux du nord ouest, mais le terme « Sticks » (cambrousse) laisse présager de l’humour assez paysan. Espérons qu’ils réussissent à faire une comédie aussi réussi que « Bienvenue chez les Ch’tits »
C&C Red Alert 3 : Première vidéo du gameplay [brève]
Octobre 2008, un date clin d’oeil pour la sortie d’Alerte Rouge 3, le RTS d’Electronic Arts qui met en scène une troisième guerre mondiale entre le bloc soviétique et les alliés.
Le jeu se dévoile davantage aujourd’hui avec une vidéo présentant des phases de jeu.
Vidéo du gameplay de Red Alert 3
[flv:2008-05/ra3.flv 2008-05/ra3.jpg 550 309]
La première impression est « sympa mais… », alors que Starcraft 2 pointe à l’horizon, Red Alert 3 a un peu de mal à faire rêver malgré la surenchère d’explosions et la qualité graphique globale. A voir si ça va changer d’ici sa sortie.
Docu « Vain Temps en Bolivie » : Interview de Simon Delecosse
Simon Delecosse, réalisateur du documentaire « Vain temps en Bolivie », nous apporte un point de vue neuf sur le quotidien des jeunes en Bolivie. Découvrez ce personnage et son travail au travers de son sitehttp://www.vaintempsenbolivie.com/, de la bande annonce de son documentaire et de l’interview ci-dessous 😉 !
Bande annonce de « Vain temps en Bolivie »
[simple_video http://www.dailymotion.com/swf/x4njui&v3=1&related=1 420×357]
INTERVIEW DE SIMON DELECOSSE, RÉALISATEUR DE « VAIN TEMPS EN BOLIVIE »
Troy-Twivi: Simon, présente toi à nos lecteurs 😉 :
Simon Delecosse : Simon Delecosse, 25 ans. Insolant de son état. Le moche élan qu’on prend avant de sauter vers le reste d’une vie à se relever …
TT: Tu es donc parti en Bolivie avec un projet de documentaire en tête, peux-tu nous présenter ce projet ?
SD: En fait, au moment de partir j’étais dans une situation personnelle un peu compliquée, voir instable. Une des raisons qui m’a poussé à partir, c’était de m’isoler un peu, m’éloigner de notre société. J’avais envie de rencontrer autre chose. J’avais 23 ans et je me posais beaucoup de questions sur mon avenir. Je ne savais pas trop comment m’y prendre pour construire quelque chose, je ne savais pas trop ce que j’avais envie de faire (je n’ai jamais envisager de faire autre chose que du cinéma mais bon, on entre pas dans ce milieu comme on rentre dans une salle ce gym).
J’étais donc décidé à rencontrer des jeunes de 20 ans et de discuter de tout ça avec eux. Et donc très vite, l’idée de réaliser un reportage est apparue avec tout ce qui s’en suit.
TT: Ton documentaire se passe avant, pendant ou après l’arrivée de Evo Morales au pouvoir ?
SD: Après car, il a pris la tête du gouvernement en janvier 2006 et je suis parti entre avril et juillet de cette année là mais on peut dire que l’effet était toujours présent .. c’était sur toutes les lèvres.
TT: Si tu devais garder 2 éléments forts, quels seraient-ils ?
SD: Le premier, qui est donc le sujet principalement traité dans le docu, c’est la volonté. Non seulement la motivation et l’énergie mais vraiment cette volonté de se surpasser et de toujours pousser les limites de leurs capacités. (dans le sens des outils, des moyens, qu’ils ont à leur disposition).
Le deuxième c’est la modification de ma perception … en ce sens ou vivre cette expérience m’a éclairé sur mon propre choix de vie. Ça m’a redonné envie de vivre en Belgique. Pour ma part, le fait d’être immergé dans une culture complètement différente m’a aidé à mieux comprendre la mienne. Ça m’a recadré, ca m’a boosté dans mon intention de construire et de véhiculer un message.
TT : Depuis ce documentaire, sur quels autres projets as-tu travaillé ? Peux-tu nous présenter tes projets en préparation ?
SD: Je suis actuellement en train de bosser sur : « vain temps à Charleroi ?« , qui sera un docu d’une vingtaine de minutes sur les jeunes à Charleroi et leur condition dans notre pays.
en fait, je suis donc originaire de cette ville et je commence à en avoir marre de constater qu’on parle toujours de nous comme des merdeux. Je pense notamment au dossier de 14 pages paru cette année dans le journal LE SOIR. Je vais donc montrer, dans le contexte et la réalité de notre ville, qu’il n’y a pas que des abrutis et des glandeurs. Et bien sur, au delà de ça, parce que bon, pour moi c’est assez stupide de faire un docu juste pour dire ça, je vais donc mettre en avant ma vision des choses et essayer d’amener les pistes de réflexions les meilleurs possible.
Je suis également dans différents projets musicaux, dont un street cd de rap Poumon Noir. j’ai fais le morceau « notre ville » qui développe mon point de vue … plutôt qu’un long discours je vous propose de l’écouter sur www.myspace.com/poumonoir
Pour en savoir plus sur Simon Delecosse et son travail :
* Site officiel de Vain Temps en Bolivie : http://www.vaintempsenbolivie.com/
* Page Myspace de Mochelan: http://www.myspace.com/mochelan
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TroyB !!!
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Druaga No To : the Aegis of Uruk : Episode 7 [brève]
Comme toutes les semaines, la suite de Tower of Druaga, The Aegis of Uruk.
Pas mal de baston dans cet épisode avec l’arrivée d’un puissant dragon qui va mettre à mal Jil et son équipe.
La série est réalisée par les studio Gonzo et compte 26 épisodes au total.

World in Conflict : Le multijoueur gratuit pendant 15 jours [brève]
Vivendi Games France et Intel France offrent du 16 au 30 mai 2008 un accès complet et gratuit au mode multijoueur de World in Conflict.
Pour en profiter, il faut télécharger le jeu sur le portail de jeux d’Intel (lien).
Bref, le moment idéal pour tester le multi et de passer quelques plaines au napalm…
World in Conflict est un jeu de stratégie en temps réel très accès micro gestion dont le scénario prend place dans une histoire alternative : les soviétiques attaquant les Etats-Unis en 1989.
Le jeu est sorti en septembre 2007. Sa suite, World in Conflict Soviet Assault est prévue pour fin 2008

Première affiche pour Punisher War Zone [brève]
Le Punisher, héros de comics massacré au cinéma (son adaptation était digne d’un téléfilm) revient sur grand écran avec Punisher : War Zone
Alors que le film est prévu pour le 5 décembre 2008, la première affiche teaser a été présentée :

Le logo du Punisher… simple et efficace.
Le film est réalisé par Lexi Alexander (Hooligans), le premier role sera tenu par Ray Stevenson (la série Rome). Punisher est un comics de Marvel crée par Gerry Conway. Le héros, un ancien marines, se met en tête d’éradiquer le crime après que sa famille se soit faites massacrer. Froid et violent, le Punisher est un paria au sein même des super héros, qui le juge trop expéditif.
Le film est prévu pour le 5 décembre 2008. Pas de date annoncée pour la France pour le moment.

Au bout de la nuit (Street Kings) : Flics ou voyous?
Si une grande majorité des adaptations cinématographiques tirées des écrits de James Ellroy (American Tabloïd, American Death Trip, Le Dahlia Noir,…) n’a pas souvent donné naissance à des chefs-d’œuvre, voire même, plus simplement, à de bons films, il faut certainement blâmer les studios et les réalisateurs qui se sont montrés jusqu’à présent incapables de saisir l’essence même des hypnotiques romans de Big Jim.
Pour s’en persuader, il suffit de dresser une liste non exhaustive des films tirés de ses œuvres: Cop (adapté de Lune sanglante), L.A. Confidential, Dark Blue (scénario original), Le Dahlia Noir,…en l’occurrence, des films moyens, voire mauvais, très en décalage par rapport à la profondeur abyssale des travaux du maître. Des livres prétendument inadaptables, car même le grand Brian De Palma s’est planté dans les grandes largeurs avec le Dahlia Noir.
C’est donc maintenant au tour de David Ayer, scénariste (Harsh Times, SWAT, Dark Blue, Training Day,…) et réalisateur de Harsh Times (avec Christian Bale) de foncer droit dans le mur avec son deuxième film: Street Kings. Doté d’un casting cinq étoiles, composé entre-autres de Keanu Reeves, Forest Whitaker, Hugh Laurie (le seul et l’unique Dr. House), ainsi que de quelques rappeurs (The Game et Common), le film prend place dans un Los Angeles gangréné par les gangs et les flics ripoux, dont l’inspecteur Tom Ludlow (Keanu Reeves) fait partie. Traumatisé par la mort de sa femme et imbibé d’alcool du matin au soir, ce dernier tente d‘exercer son métier de flic borderline tout en essayant de survivre dans cette jungle urbaine où la limite entre forces de l’ordre et gangs est mince, parfois inexistante.
Bande annonce d’Au Bout de la Nuit [fr]
[flv:2008-05/street.flv 2008-05/street.jpg 550 311]
Usant et abusant de méthodes musclées et moralement discutables, le détective Ludlow jouit cependant d’une certaine immunité, assurée par son supérieur, le capitaine Jack Wander, incarné par le toujours excellent Forest Whitaker. Jusqu’au jour ou l’ex-équipier du « héros », devenu délateur en collaborant avec les affaires internes, meurt violemment et dans des circonstances pas très nettes, en présence de Ludlow, venu lui remettre les pendules à l’heure. S’ensuit alors une chasse à l’homme ou de nombreux masques seront amenés à tomber.

Keanu Reeves en mauvaise position !
Vous l’aurez, compris, pour l’originalité, faudra repasser. En effet, difficile de défendre un scénario aussi convenu, vu et revu des centaines de fois. Le coup du flic véreux qui se rachète une conscience, oui…mais non merci. Et encore, le twist final ne vient que confirmer ce que les plus habitués auront grillé dès le début: les gentils ne le sont pas toujours et les méchants…pareil! Ni très couillu, ni très élégant, Street Kings se pose comme un simple film policier sans réel intérêt, bourré de clichés, aux personnages caricaturaux voire clownesques. Cependant, le film est sauvé par la qualité de l’interprétation (Big up Dr. House!!!), par des scènes d’action bien rythmées et…c’est tout! Pour s’en convaincre, il vous suffit de mater n’importe quel épisode de le gigantesque série « The Shield », pour comprendre ce qu’est L.A., ses rues, ses flics et ses voyous.

Affiche de « Au bout de la Nuit » (Street Kings)
Sortie en Belgique le 14 mai 2008
Sortie en France le 25 juin 2008
Dragon Fall : la parodie qui se termine en massacre
Il existe un « manga » espagnol, nommé Dragon Fall, qui parodie, vous l’avez deviné, la série Dragon Ball.
Depuis quelques temps il est traduit et sort en France, nous en sommes actuellement au tome 9.
Le début est pas mal. Il y a des hauts et des bas, mais quelques gags sympa, particulièrement sur le Dragon Sacré. En très grande vitesse, tout le manga a été retracé, et depuis un peu plus de deux tomes, les scénario ne reprends plus du manga, mais fait un melting pot avec tous les personnages qui passent par la tête de l’auteur : Cooler, Broly, Gally (oui oui de Gunnm), Rally (de Gun Smiths Cats), etc.
Dans quelques tomes précédents, il arrivait qu’à un moment ou un autre, l’histoire diverge, pour permettre au scénariste d’ajouter de l’action et une trame originale, sauf que c’était à ces moments-là qu’on se rendait compte que la spécialité de l’auteur reste de la parodie.
En fait, depuis deux tomes, l’histoire barre complètement en couille.
L’histoire parodie un peu tout à la fois, dont Evangelion, mais ce n’est pas là le problème. Au tome 9, on a un nouveau personnage toutes les 5 pages et une nouvelle situation imbitable toutes les 20 pages. Ajoutons que l’on passe d’une scène à une autre toutes les deux pages sans présentation, que le dessin se concentre surtout sur des plans proches des persos qui commencent tous à avoir la même tête, et on arrive à une charpie totalement illisible.
Voyez-vous, je n’aime pas les oeuvres qui changent totalement et subitement de scénario (je veux dire par là : d’une page à une autre, le contexte précédent à disparu pour laisser place à un autre, les persos disparaissent ou changent, et on recommence une autre histoire sans rien dire). Et ceci arrive à peu près deux fois dans le tome 9 !!
La première fois, c’est pour passer d’une trame plutôt compréhensible, à, au milieu d’un combat, une histoire qui démarre ailleurs, dans un contexte post-apocalyptique avec Piccolo et Popo qui transportent un chargement très précieux (par la suite ce chargement est oublié). Ils enquêtent sur quelque chose qui s’avérera être l’arrivée des démons. Ceux-ci apparaissent par paquets de 12 dans l’histoire et ceux qu’on ne voit que sur une seule case sont présentés, comme s’ils étaient importants.
En même temps, Sangoten qui n’est pas ressemblant et qui n’a pas l’attitude d’un gamin de 10 ans, va avec Rally et une super-voiture pas claire chercher les boules du dragon (il sait où elles sont, on ne sait pas pourquoi), dans un but qui nous échappe. En même temps, Végéta apparait dans une Eva, puis apparait dans un jeu vidéo, à la suite de quoi il est prisonnier d’un méchant puis revient (si si!)
Au milieu, des gens viennent du futur pour tuer Goku, et tout ce qui a été fait avant est de nouveau oublié, car les auteurs ont enfin trouvé un semblant de scénario.
C’est là que c’est terrifiant : c’est vers le milieu du tome 9, que l’histoire redevient un peu logique, alors que le « tissu de la réalité » est modifié toutes les 10 pages (a chaque voyage dans le passé, les héros foutent le bordel et donc changent le présent).
En effet, avant, les scènes se suivaient et s’interchangaient sans raisons. Là, il y en a.
Tout ça pour vous dire que ces derniers tomes de Dragon Fall sont une énorme déception.
Une fois de plus, voilà des auteurs qui n’ont pas été assez surveillés. Car autant j’aime avoir des collec’s complètes, autant le prochain, je ne l’achèterai pas….
My Bloody Valentine : ‘Isn’t Anything’ et ‘Loveless’ remasterisés [brève]
Les incontournables « My Bloody Valentine« , groupe qui au début des années 90 enfanta du « ShoeGazing » et inspira des centaines de groupes (Spiritualized, M83), s’est récemment reformé… pour faire quelques concerts et ressortir ses chef d’oeuvre ‘Isn’t Anything’ et ‘Loveless’ en versions remasterisées !
Des chefs d’oeuvre j’vous dis, si vous ne connaissez pas ces bijoux made in « My BLoody Valentine », c’est le moment idéal pour les rajouter à votre collection !