Thursday tease ses fans avec « Tarbox » !

Thursday aiguise la curiosité des fans, deux mois avant la sortie de son prochain album !
Mattez ce « trailer » nommé « Tarbox » ;).

Le moins qu’on puisse dire c’est qu’on ne s’ennuie pas chez Thursday ;).

Pour ceux qui ne connaissent pas, Thursday est un groupe de Nu-Metal qui sans révolutionner le genre arrive à aligner des mélodies brillantes d’efficacité ;).

Voici le clip du single « Cross out the eye », extrait de l’album « Understanding in a car crash », sorti en 2002.

Le nouvel album de Thursday sort dans 2 mois, à surveiller ;).
Thursday, qui sont potes avec « Circle takes the square » qui devait sortir son album en fin d’année… à surveiller aussi :).

——
TroyB !!!
——

« You Think You’re John Fucking Lennon » – new Glassjaw !

Glassjaw, après plusieurs années de pause, devrait sortir un nouvel album début 2009 ! Bonne nouvelle pour les fans de cet extraordinaire groupe d’Emo / Nu Metal ;).
En attendant vous pouvez entendre l’inédit « You Think You’re John Fucking Lennon » sur leur site officiel http://www.glassjaw.com/.

Pour la version live en vidéo de « You Think You’re John Fucking Lennon« , c’est ici 🙂 :

Belle énergie ;). De quoi rassurer celles et ceux qui s’inquiétaient de la santé de Daryl Palumbo, chanteur charismatique qui souffre de la Maladie de Crohn.

Nouvel album pour 2009 donc, affaire à suivre !

——
TroyB !!!
——

Nouvelle chanson de CONVERGE à écouter [brève]

Le groupe du dément Jacob Bannon, chanteur et leader du groupe de Punk Hardcore CONVERGE, prépare la suite du « No Heroes » de 2006 !
Ecoutez une chanson inédite à cette adresse :

Ce nouvel album s’annonce Brutal et comliqué :).
En esperant que Converge parviendra à renouer avec le génie des albums « Petitioning the empty sky » et « The poacher Diaries » 🙂 !

——
TroyB !!!
——

Clip de Converge « NO HEROES »

Discographie de Converge :
* 1991 : Gravel (démo)
* 1991 : Eponyme (7″ EP)
* 1992 : Where Have All The Flowers Gone (démo)
* 1993 : Dog Days (démo)
* 1994 : Halo In A Haystack (album)
* 1995 : Unloved & Weeded Out (EP)
* 1995 : Caring And Killing (album)
* 1996 : Petitioning The Empty Sky (album, réédité en 2005)
* 1997 : Serial Killer (5″ EP)
* 1997 : Among The Dead We Pray For Light (split avec Coalesce)
* 1997 : Split 7″ (split avec Brutal Truth)
* 1998 : When Forever Comes Crashing (album, réédité en 2005)
* 1999 : Y2K (7″ EP)
* 1999 : The Poacher Diaries (split avec Agoraphobic Nosebleed)
* 2001 : Deeper The Wound (split avec Hellchild)
* 2002 : Jane Doe (album)
* 2003 : Unloved & Weeded Out (album)
* 2003 : The Long Road Home (DVD)
* 2004 : You Fail Me (album)
* 2006 : No heroes (album)

Watchmen : un trailer qui claque

Alors que ces dernières semaines le film Watchmen a surtout fait parler de lui avec les bisbee juridico-grosous entre la Warner et Fox, voici le dernier trailer en date et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il assure:

Trailer n°2 : Watchmen [us]

[flv:2008-11/watchmen.flv 2008-11/watchmen.jpg 550 229]Zack Snyder impose une fois de plus sa maitrise du graphisme avec un rendu léché et une ambiance hors du commun.

La seule inconnue à l’heure actuelle reste dans le traitement de l’histoire pour assurer son passage du comic au grand écran. Verdict le 6 mars 2009, si tout va bien du coté des avocats de la Warner…

Le retour de Noir Désir !

Surprise ! Sans prévenir, Noir Désir sort 2 nouvelles chansons en téléchargement gratuit !
Cliquez ici pour Télécharger Gagnants Perdants et le Temps des cerises ! Ou visitez leur site officiel http://www.noirdez.com/
En mai 2008 Twivi annonçait que le Noir Désir s’était remis au travail… voici donc le fruit de ces quelques mois de création.
De quoi va pouvoir parler Bertrand Cantat ?
Citation de la réponse sur le site officiel :
« La chanson, « Gagnants / Perdants » a été enregistrée par Noir Désir, en réaction au contexte actuel, politique et humain dans toute l’acceptation du terme. Impossible d’attendre pour la mettre à disposition.
De la même façon ,« Le temps des cerises » est né d’un désir subit (…)Sa réalisation avec les personnes qui étaient là dans l’instant est le fruit du naturel, de l’amitié, de l’amour de la musique et de la conscience de ce que représente cette chanson symboliquement dans une époque comme la nôtre aux antipodes de ce fameux « Temps des cerises ».

Que penser de ces nouvelles chansons ?
Nouvel album pour 2009 ? 2010 ?

Je vous laisse seuls juges ;).

——
TroyB !!!
——

Kid Loco: Party Animals and Disco Biscuits

Nous vous l’annoncions en Aout… le nouvel bijou de Kid Loco est enfin sorti ! Party Animals and Disco Biscuits s’offre à nos oreilles !
En 1998, Kid Loco sort son premier album ‘A grand love story », chef d’œuvre de Trip Hop sensuel, qui rencontre l’adhésion des critiques et du public. Avec « Kill your darlings » en 2001, des remix et des participations avec les plus grand (Pulp, Saint Etienne), des bandes originales de film, Jean-Yves Prieur dit « Kid Loco » s’impose comme une référence de la musique électronique.
Son 3ème album « Party Animals & Disco Biscuits » est le premier album entièrement interprété par Kid Loco, accompagné par des choeurs féminins.

Party Animals & Disco Biscuits
Intriguante et psychélik-friendly, la pochette de Party Animals & Disco Biscuits

Kid Loco nous emmène dans un voyage psychédélique mystique et volupteux. A la fois dandy, fou et classieux, cet album mélange subtilement clavecin, piano, batterie, guitares et électro donnant un swing incroyable ! Le tout accompagné par la voix suave et caressante de Kid Loco.
Ce « Party Animals & Disco Biscuits » possède un très beau visuel sur sa pochette, visuel représentant une pécheresse tenant une pipe à opium, visuel qui prend tout son sens à l’écoute des dix morceaux.

Ne passez pas à coté de « Party Animals and Disco Biscuits », un album réellement magnifique, subtil, classe !

Plusieurs morceaux de « Party Animals and Disco Biscuits » en écoute sur le site officiel de Kid Loco, http://www.kidloco.com/
Pour vous donner le ton de cet album, ci-dessous le clip du single « Pretty boy floyd » ;).

——
TroyB !!!
——

PRETTY BOY FLOYD : Vidéo clip du single de Party Animals and Disco Biscuits

 
Kid loco en concert en France en 2009 :
le 06/02/09 – MONTPELLIER – Victoire 2
07/02/09 – ARLES – Le Cargo de Nuit
18/03/09 – PARIS – LA MAROQUINERIE

 
Tracklisting de Party Animals and Disco Biscuits :
1 · Oh Lord !
2 · Mototcycle Angel
3 · Pretty Boy Floyd
4 · 10 :15
5 · Thème From The Graffiti Artist
6 · Love Is All Around
7 · Confessions
8 · The Spécialist
9 · Nijack Blues
10 · The Time of Our Lives

 
Les classiques de Kid Loco en vidéo ;).

« A Little bit of soul », single de l’album « Kill your Darlings » (2001)

 
« She’s my lover », tube psychédélique de l’album « A grand love story » (1998)

Les Films en 3D, aujourd’hui au cinéma

Alors comme ça on sort des films en 3D ailleurs qu’au Futuroscope, et tout le monde s’en fout ?

Certes il est difficile d’équiper une salle de deux projecteurs polarisés, de proposer des lunettes, et en sachant que les films en 3D ne sont pas si nombreux que cela… Et certes ma salle était presque vide… mais quand même !

Comment ça marche ?

Vous avez deux yeux. Si si ! Et c’est grâce à cela que nous voyons la profondeur.
Le fait est que l’œil, comme une caméra ou un appareil photo, ne voit qu’une image plate. Mais avec vos deux yeux, vous envoyez en fait deux images avec votre cerveau. Et deux images pas identiques, puisque vos yeux ne sont pas au même endroit.

Faites le test vous même devant votre ordi. Placez votre index à 10 centimètres de votre nez, et fermez un œil, puis l’autre. Chaque œil verra une image différente, et par rapport à votre écran d’ordi, le doigt aura l’air plus à gauche ou plus à droite.
Voici une illustration de cela, si vous regardiez, de votre vaisseau spatial, un autre vaisseau :

La planète et les étoiles sont très très loin, et vos yeux sont si peu éloignés qu’ils voient le « fond » de manière identique. Par contre, le vaisseau, plus près, sera un peu décalé.

Le cerveau, qui déchire, remarquera les objets décalés, et en déduira leur profondeur. Plus un objet est décalé, plus il est proche de vous. Ainsi dans votre tête, vous n’avez pas une image, mais une scène 3D.

Jusque là, je ne pense pas vous avoir appris grand chose.

Mais le fait est qu’avec le cinéma, on ne donne qu’une image. Vos deux yeux voient donc strictement la même chose, le cerveau ne reconstitue pas une image 3D. Vous appréciez aussi bien le cinéma qu’un borgne.
Or, de même qu’on est passé du son mono au stéréo, ne serait-il pas temps de faire des images pour nos deux yeux au lieu d’un seul ?

Comment ça marche ? Et bien déjà on filme avec deux caméras, tout comme on regardait avec deux yeux (ou une caméra à lentille double).
Et comme un on a qu’une seul écran géant dans le ciné, et surtout qu’il n’est pas facile de dire à un œil de regarder un écran particulier que l’autre regarde l’autre écran, on va envoyer les images sur un écran unique, et utiliser un procédé pour que chaque œil voit que ce que regardait la caméra qui lui est adaptée.

Donc déjà, sur l’écran on verra cela : les deux images projetées en même temps. Cela donne souvent une impression de « flou ».

Il y a nombres de techniques pour re-séparer l’image, mais je ne citerai ici que le plus classique et efficace, et utilisée dans les cinémas 3D : la polarisation.

Explication totalement simplifiée de la polarisation (ou parce que la page Wikipedia, c’est grave complexe) :
Ce qu’on voit, c’est de la lumière qui rentre dans nos yeux, et le cinéma, c’est l’image qui est projetée sur un écran (avec de la lumière).
La lumière peut être coupée en deux sous-lumières, que notre œil voit pareil mais avec moins d’intensité. La lumière « verticale » et « l’horizontale ».
Avec un plastique ou verre transparent mais polarisé, on peut choisir de ne faire passer à travers qu’une seule de ces composantes.
On passe donc à la polarisation, deux fois, chaque lumière. Une première devant le projecteur pour différentier la lumière pour œil gauche de la lumière d’œil droit. On dira donc que l’œil gauche à droit à de la lumière horizontale, et le droit de la verticale.
Ces deux lumières tapent sur l’écran pour revenir vers vos yeux. Sympa les lumières, elles ne s’embêtent pas du tout l’une l’autre. Sans lunettes spéciales, vous voyez donc la double image montrée plus haut.
Puis on vous donne des lunettes polarisées. La lumière verticale est stoppée pour l’œil gauche, vous ne voyez plus que la lumière horizontale, celle qu’on voulait vous donner au départ. Même procédé pour l’œil droit.

Moralité, vos deux yeux voient chacun une image différente. Votre cerveau est content et déduit les profondeurs des objets.

Je viens de remarquer que j’avais déjà décris le concept en plus brouillon dans cet article :
Les écrans 3D et leur application

Les effets sur un film

Déjà le coût. Une caméra spéciale, et tous les effets spéciaux à faire deux fois ! C’est toujours plus de travail.
A noter que pour les films d’animation en 3D, qui sont de plus en plus nombreux, ça ne coûte presque rien en plus, de placer une 2e caméra virtuelle qui suit la première…

Je pense d’ailleurs que le jour où les films 3D seront légions, tous les dessin animés de ce genre, tous les Pixars et les Shreks et autres, ressortiront en vraie 3D .

Ensuite la salle. Deux projecteurs (ou un seul projecteur mais super balèze), deux bandes (ou une méga balèze) a moins que ce soit un gros fichier numérique, technologie évitant enfin les traces de brulure après une utilisation, qui arrive assez lentement.
Des lunettes 3D. En plastique, elles ne semble pas coûter cher à faire. Pas lourdes, et plaçable devant vos propres lunettes si vous êtes bigleux comme moi, pas dérangeantes à mon goût. C’est un petit prix à payer pour une meilleure image.
Par contre le jour où la technologie se fait en home cinéma, penser à en avoir assez chez soi si vous avez de nombreux invités !

Et enfin, une meilleure image.
Et oui je le dis tout net, la 3D c’est pas pour faire déplacer un poisson juste devant vos yeux, mais bien pour améliorer la qualité de l’image. C’est d’après la suite logique du haut définition.
Notre cerveau interprète bien mieux une scène 3D qu’une image plate. Et là, on a enfin la scène. On y gagne un confort d’image inimaginable. Que ce soit pour les plans proches ou lointains.

C’est simple, sur le plan proche, on « voit » le nez de l’acteur/trice pointer vers nous. On voit une personne et non une photo. Et c’est super bon.
Sur le plan lointain, tout particulièrement avec quelques trucs en avant-plan, alors on sent vraiment une immense profondeur dans le champs. Si vous trouvez cette image sympa, alors imaginez en 3D…

Enfin, autre avantage, le sous-titrage. Et bien oui, s’il y en a, le texte est mis en avant plan, et, je vous l’assure, il est loin devant les personnages, il est devant vous, et il est sacrément plus lisible !
Oui, grâce à la 3D, sans agrandir du texte, juste en le plaçant deux fois et décalé, il est plus proche et plus lisible.

Bien sûr il y a des défauts. Vous les attendiez hein ?
Il y en a, mais de mon point de vue ils ne surpassent pas les avantages.

Alors je ne sais pas (plus?) ce que ressent un type qui n’a jamais porté de lunettes, alors qu’il doit d’un coup se taper des lunettes pas sans poids non plus, pendant deux heures. D’autant que ça réduit le champs de vision.

Ensuite, l’un des membres de l’équipe Twivi dit qu’au milieu du film, il avait mal aux yeux.

Enfin, les bords de l’écran sont un problème en 3D. Car l’œil n’est pas habitué à avoir des limites. Et quand un objet proche touche un bord, un morceau de l’objet 3D disparait dans le rien, voire pire, est visible sur une polarité, mais pas sur l’autre. Si on est en joie lorsque l’on voit un caillou tomber lentement juste devant nous, on a un petit choc lorsqu’il se volatilise en bas, alors que le plan n’a pas changé.

Autre petit délire, il arrive parfois qu’un objet soit devant les sous-titres en terme de profondeur, mais bien sûr derrière le texte en terme d’image (ben oui il ne va pas cacher le texte…). Nous voyons donc une absurdité, comme si l’objet devant avait un trou d’exactement la forme et la taille du sous-titre.

Voyage au centre de la Terre – 3D !

C’est un film pour enfants.

Oui je dois vous prévenir tout de suite. Car ça commence avec des scientifiques qui parlent de faits et de recherche, et soudainement, il n’y a plus rien de crédible (ça commence lorsqu’un personnage… évite… des éclairs… qui cherchent à l’avoir puisqu’il transporte un gros paratonnerre), on passe en fait en mode « dessin animé, mais avec des acteurs ».

Attention, ceci n’est pas une critique, mais pour vous prévenir. Donc venez avec vos enfants (ou petits cousins, vous n’êtes pas obligé de vous reproduire juste pour voir un film), et pendant que eux regarderont le film au premier degrés, vous le regarderez au second, et tout le monde passera un bon moment.
En effet, les héros tombent sur des centaines de mètres et ne se font pas une égratignure, combattent des poissons volants avec des battes de base ball, reçoivent sur leur téléphone portable au centre de la Terre… Et je m’arrête là car le film c’est une suite de délires comme ça et je ne voudrai pas tout raconter.
L’idée c’est que en second degrés c’est excellent, le plus gros risque c’est surtout que vous ennuyez toute la salle avec vos rires.

Les scènes d’action sont bien filmées. Pas de caméra tremblantes et de plans d’épileptique. Merci le film pour enfant, qui ne se fout pas de la gueule du spectateur. De belles images, une belle aventure… bref, que du bon !

L’histoire

Un cast très limité, ce qui est très très bien, va au centre de la Terre, sauf qu’au lieu de refaire le roman de Jules Verne, les héros ne font que remarquer qu’en fait de roman, ce livre est un documentaire.
Nos trois aventuriers vont se serrer les coudes lors d’un grand voyage dans un monde fantastique, avec des créatures gentilles ou hostiles…

Les personnages

Le scientifique musclé
Notre ami Brendan Fraser de La Momie, qui à l’évidence aime être Indiana Jones, va découvrir l’entrée vers notre histoire.

Le gamin pas chiant
Le petit Josh Hutcherson dans le rôle du gosse (rappel, c’est un film pour enfants) s’en sort très bien. De plus, il ne passe pas son temps à faire le contraire de ce que les adultes disent pour mettre tout le monde en danger, c’est ça c’est bien.

La bonasse intelligente
Par Anita Briem, elle sera la guide sauveuse-de-vies qui gère le voyage dans les grottes.

L’oiseau bleu du bonheur
Le personnage bonus 😉

La 3D

Et oui j’en parle dans le titre mais sinon ?

Ce film a été filmé pour la 3D. Et il passe dans toutes les bonnes salles 3D de votre quartier… Si vous n’en avez pas, demandez-là, car c’est gravement mieux ! Je vous parlerai plus tard (plus tard est arrivé) de cette technologie, et je vous laisse avec une bande-annonce / commentaires, en français, et des images (cliquez pour agrandir).

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=hEBOPeD31w0[/youtube]



Quantum of Solace : avis

Bon alors comme j’ai pas trop suivi à cause des clichés, des scènes inregardables, et des personnages pas charismatiques, je dois vous prévenir qu’il est possible que certains détails techniques m’aient échappés.

Alors si Daniel Craig continue à être un acteur cool et pose un personnage réussi, ce blond aux yeux transparents et lumineux, avec sa tête d’allemand, continue pour moi à passer aussi bien pour James Bond que Pierce Brosnan ferait un Docteur Denfer.

Après une scène (obligatoire?) de poursuite de voitures assez hachée (les plans de plus d’une seconde c’est vraiment surfait, vous le savez) on arrive au générique, dont je ne me rappelle… plus rien. En effet, je pensais déjà à autre chose, et il n’avait pas du tout ce qui fait un générique de Bond. A part une balle en gros plan qui traverse du sable, pas grand chose…

Ensuite, différentes scènes d’actions durant tout le film (normal, on va pas faire les étonnés), toutes faites de la même façon, c’est à dire celle à la mode : ne rien laisser de clair au spectateur.
On remerciera le réalisateur d’avoir échappé à la caméra à la main qui bouge. Grandement, même. Mais on aurait quand même préféré voir, surtout dans une course poursuite à pied, des plans de plusieurs secondes, vous savez le temps qu’on voit où sont les personnages, sur quoi ils marchent, qui est devant qui est derrière, qui a tiré, ce genre de détails.
Car à chaque fois, il faut attendre la fin de la scène d’action pour savoir qui a gagné.

Ensuite, James. Ça me fait bizarre d’écrire ce nom flegmatique anglais vous savez, car depuis le commencement de cette série retraçant les débuts du héros, de flegme il n’a jamais été question. Si dans le précédent on voyait que newbie-007 y venait lentement, tout est oublié ici et la seule trace d’évolution qu’on y verra, c’est le très léger passage de « chien enragé en quête de vengeance » à « chien enragé avec moins de quête de vengeance ».

C’est officiel : James Bond n’a plus la classe. Il ne se recoiffe pas nonchalamment après avoir survécu à une explosion nucléaire, il se sort pas de petite remarque cinglante sur la mort de son pire ennemi qui tombe, en torche humaine et avec un bras en moins, dans un destructeur à déchet géant (nucléaire également).

Un fan qui a lu les romans de Ian Fleming me dit qu’il aime ce James-là, car il ressemble plus aux bouquins, dans lesquels en effet le personnage est très violent.
C’est bien pour lui… mais je préfère quand même mon petit perso cliché, seul héros flegmatique restant depuis que John Steed est au placard (donc depuis 40 ans).

Un autre truc. Si je me trompe pas, cela fait les trois derniers James Bonds de la série que 007 se fait ennemi du MI6. Les trois derniers qu’ils semble oublier sa mission pour se venger à la place, et que le MI6 lui retire donc ses accès, voire essaie de l’arrêter. C’est lourd. C’est très lourd.
Je croyais que les années « Now, it’s personnal!!! » étaient passées.
Outre que c’est lourd, c’est surtout pas James Bond… Il bosse pour le MI6. Il est au service de sa majesté.

Pour conclure : scènes d’actions hachées, héros violent et méchant, pas de scène de gadgets avec Q ! Méchant, qui malgré sa Françaisitude, n’est pas un méchant intéressant… Heureusement on a toujours des James Bond Girls à mater.
A croire que les producteurs de James Bond récents n’ont aucune idée du pourquoi on va voir leur film. Mais on va les voir pour les clichés et les concepts de répétition les enfants ! On veut du flegme, de la fille, du gadget, et du méchant mégalomane qui veut détruire la lune avec son rayon laser…

Un film Afro Samurai sur les rails

Afro amurai, le samourai black sera de retour en 2009 dans un long métrage diffusé sur la chaine de TV américaine Spike TV. Au programme, une sorcière veut prendre le contrôle du monde en levant une armée de zombies. A la tête de cette troupe de morts-vivants : les fantômes de l’ancien n°1 et du père d’Afro. Ce dernier est une fois de plus obligé de faire couler le sang pour arrêter cette folie !

Afro Samurai Resurrection [us]

[flv:2008-11/afro2.flv 2008-11/afro2.jpg 550 308]

Afro Samurai Resurrection est une histoire originale qui suit la fin des 5 OAV sorti en 2007. Entre temps, le créateur d’Afro Samurai, Takashi Okazaki a finalisé le manga Afro Samurai en 2 pavés de 300 pages et on annonce dans la foulée la sortie du jeu Afro Samurai sur XBOX 360. Préparez-vous à bouffer du Afro Samurai en 2009 !