Mezzo DSA: Découvrez le premier épisode en ligne

Afin de préparer la sortie du 2ème DVD de la série Mezzo (Mezzo DSA au Japon), l’éditeur français Kaze nous offre ni plus ni moins que de voir le premier épisode de la série en entier sur youtube.

Mezzo : Premier épisode en streaming (fr)

DVD mezzo DSA
Le premier DVD est sorti le 6 février, le 2ème sort le 5 mars

Le groupe D.S.A ou Danger Service Agency est composé de mercenaires dont on peut louer les services. La série nous entraine au fil de leurs contrats. Danger Service Agency est composée de Mikura, l’ado adepte de baston et de gnons, Harada, qui a plus de tête qu’il n’en a l’air et Kuro, un ancien policier.

A la base, il y a Mezzo Forte, un OAV sorti en 1998 et déjà réalisé par le studio ARMS. Très impressionnant pour la qualité de ses scènes d’action et de son animation, il a malheureusement surtout fait parler de lui à l’époque pour ses scènes de sexe assez crues (et complètement hors propos). C’est en 2004 que ARMS remet ça avec Mezzo. Exit les scènes à controverses, on garde de l’action réalisé avec talent, sauf qu’au fil des épisodes, la qualité plonge dans la médiocrité la plus lamentable en ajoutant une dose létale d’humour raté. Le premier épisode est d’ailleurs assez trompeur. La qualité est excellente et fait échos à celle de l’OAV : action, suspense, dynamisme, tout les ingrédients sont réunis mais dès l’épisode 2, on retrouve une animation chaotique (digne de Berserk), une réalisation ultra plate et même le chara design change ! Bref, heureusement que la série ne fait que 13 épisodes, ça limite les souffrances. Dommage, pour moi Mezzo reste sans aucun doute le plus grand acte manqué de la japanime. La série avait tout pour réussir, surtout au vu du premier épisode, mais il n’en reste qu’une vague copie, complètement caricaturale.

Visuels Mezzo DSA

Fiche Technique :

Genre: Action, Comedie, Police, Science Fiction
Date de Diffusion: 04/01/2004
Nombre d’Ep: 13
Studio: ARMS
Réalisateur: Yasuomi Umetsu
Scenario: Takao Yoshioka
Screenplay: Yasuomi Umetsu
Original creator: Yasuomi Umetsu
Character Design: Yasuomi Umetsu

Le film Trigun : Vash vs Wolfwood !

On en parle depuis 3 ans, mais il y a enfin du nouveau concernant le projet d’un long métrage d’animation sur Trigun. En effet, une pub a été glissé dans le 14ème (et dernier) tome du manga Trigun Maximum et annonce le film pour 2009.

Le film réunira Yasuhiro Nightow (le mangaka de Trigun) et Satoshi Nishimura (le réalisateur de la série Trigun), Yasuko Kobayashi (Claymore, Witchblade…) au scénario et Takahiro Yoshimatsu (Trigun, la série Ninja Scroll, Jubei-chan) au chara design.

L’histoire du film verra un affrontement entre les deux personnages charismatiques de la série : Vash The Stampede et Nicholas D. Wolfwood. L’animation sera confiée au studio Madhouse.

Trigun le film Vash The Stampede contre Nicholas Wolfwood
Un combat épique entre les deux personnages emblématiques de la saga Trigun

Le manga Trigun raconte l’histoire de Vash The Stampede, héros solitaire dans un monde désertique ravagé par deux soleils. Après qu’une ville entière soit détruite, Vash se retrouve avec une prime de 60 milliards de double dollars sur sa tête. Dès lors poursuivi par tous les chasseurs de prime de la terre, il est bien décidé à retrouver le vrai responsable de cette tuerie.

Le manga de Yasuhiro Nightow était publié dans le magazine japonais Shōnen Captain à partir de 1995. Mais la faillite du magazine en 1997 stoppe la parution prématurément. L’auteur est approché par le magazine Young King Ours. En 1998, l’auteur décide alors de faire Trigun Maximum, dont l’histoire débute 2 ans après celle de Trigun. En 2008, la série est enfin terminé, avec 14 tomes de Trigun Maximum.

En 1998, une série animée Trigun de 26 épisodes a déjà été réalisé par le studio Madhouse.

En France, le manga Trigun Maximum est édité par Tonkam et le tome 12 est actuellement disponible. La série animée Trigun quant à elle est disponible chez Dybex.

Druaga No To : the Aegis of Uruk

Druaga No To : the Aegis of UrukPour tout fan de japanime, le mois d’avril marque le début de la nouvelle saison de séries animées au Japon. Pour commencer à parler de la cuvée 2008, je vais me pencher sur la grosse série de l’éditeur Gonzo cette année, à savoir Druaga No To : The Aegis of Uruk (La Tour d’Aegis : La sauvegarde d’Uruk).

Cette série se déroulera dans le monde héroic fantasy d’Uruk. Les habitants ont la croyance que le dieu Anu les protège du haut du ciel et empêche les démons enfermés dans la tour de Druaga de devenir trop puissants. Mais les habitants pas si paisible décident quand même d’attaquer la tour pour éliminer une bonne fois pour toute la menace démoniaque (les déconneurs).

L’action sera en bonne partie centrée sur une équipe d’aventurier qui va poutrer du zombie dans une tour et gravir petit à petit les étages. Bref, une série hack and slash aventure comme les japonais savent bien faire, à découvrir dans le courant d’avril à la TV nippone.

La bande annonce de Druaga No To : The Aegis of Uruk

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Niveau staff, on retrouve Koichi Chigira à la réalisation (Last Exile, Full Metal Panic…), Ugetsu Hakua au chara design (Burst Angel) et Hitoshi Sakimoto à la musique (Romeo X Juliette déjà chez Gonzo et surtout Final Fantasy XII).

Quelques Artwork pour apprécier le travail de Ugetsu Hakua :

Artwork de Druaga No To : the Aegis of Uruk signé Ugetsu Hakua

Artwork de Druaga No To : the Aegis of Uruk signé Ugetsu Hakua

Artwork de Druaga No To : the Aegis of Uruk signé Ugetsu Hakua

Artwork de Druaga No To : the Aegis of Uruk signé Ugetsu Hakua

Artwork de Druaga No To : the Aegis of Uruk signé Ugetsu Hakua

Artwork de Druaga No To : the Aegis of Uruk signé Ugetsu Hakua

Le jeu vidéo Tower of Druaga Mais la partie la plus intéressante n’est pas dans le staff de l’anime. A la base, Druaga No To est un jeu vidéo de Namco sorti en 1984. Reprenant le principe de Super Pac Man, on dirigeait alors Gilgamesh (aucun lien de parenté avec son homonyme sumérien) bien décidé à sauver la jouvencelle Ki des griffes du démon Druaga, bien au chaud… dans sa tour. Le héros de Tower of Druaga était seulement équipé de son épée pour trancher du monstre et d’un bouclier pour repousser les attaques magiques. Chaque level avait une clé à récupérer pour ouvrir la porte et ainsi accéder à l’étage supérieur de la tour. Le jeu est sorti sur Famicom (la NES au Japon) et sur MSX (un ordinateur tournant sous le DOS de Microsoft et qui est quasiment mort né après avoir accueilli quelques légendes comme Bomberman, Metal Gear ou encore Final Fantasy)

The Nightmare Of Druaga sur Playstation 2Plus prosaïquement, on a pu découvrir dans nos vertes contrées Tower of Druaga via les superbes (sic) compilation Namco Museum sur Playsation.

Par la suite, pas moins de 6 jeux autour de l’univers de Druaga sont sorties au cours des 20 dernières années. On a ainsi pu voir « The Blue Crystal Rod » en 1994 sur Super Famicom (Super Nintendo) ou, plus récemment, « The Nightmare of Druaga » sorti en 2004 sur Playstation 2 (toujours inédit en France)

Le lien entre l’anime et son pendant vidéoludique

Au delà de l’annonce de cette nouvelle série de japanime, la vraie nouveauté c’est que Gonzo, via sa filiale Gonzo Rosso annonce ni plus ni moins la sortie d’un nouveau jeu vidéo basé sur cette licence à savoir Druaga No To, The Recovery of Babylim (La Tour de Druaga, le sauvetage de Babylim). Et la grosse surprise, c’est que le jeu sera un RPG online massivement multijoueur (un MMORPG)

Druaga No To, The Recovery of Babylim le jeu MMORPG Druaga No To, The Recovery of Babylim le jeu MMORPG
Druaga No To, The Recovery of Babylim le jeu MMORPG visuel
Des visuels du jeu Druaga No To, The Recovery of Babylim

Même si Gonzo Rosso a déjà aligné quelques jeux en ligne (Master of Epic ou Knight Online), c’est la première fois que la machine de guerre Gonzo se lance sur un jeu à licence doublé d’une série animée. Le pays roi du MMORPG, la Corée du Sud, a beau multiplier les jeux online comme des petits pains, les cas où un jeu bénéficie à la fois d’une sortie TV et d’une disponibilité online sont rares. En France, la société Ankama s’apprête à lancer un projet similaire avec Wakfu. Pour l’instant, il est sans doute trop tôt pour parler de tendance, mais à terme, peut-être que l’on n’arrive plus à distinguer le produit dérivé de l’original…

Fiche technique


Sortie au Japon: Avril 2008

Titre : Druaga No To : the Aegis of Uruk (la Tour de Druaga, le sauvetage de Uruk)

Studio : Gonzo
Réalisateur : Koichi Chigira
Chara design : Ugetsu Hakua
Musique : Hitoshi Sakimoto
Scénario : Shoji Gatoh
Animation : Akiko Asaki

Akira en film live américain

Et non, Dragon Ball le Film n’est pas le seul grand sujet du moment !

Akira, l’oeuvre culte qui a aidé (avec DBZ justement) a importer le manga papier en france et aux USA, qui fut déjà adapté en un long-métrage (sorti en 1988) bien animé mais à fin décevante, passe maintenant à la presse gigantesque d’Hollywood, qui après avoir fait tous les films adaptés de Comics possible, se lancent décidément dans tous les grands succès manga (succès chez eux bien sûr).

C’est produit par Warner Bros, comme pour le live DB. Deux films sont prévus, il faut dire qu’il y a long à raconter, mais l’histoire ne se situera que sur la première partie, ce qui fait quand même long à raconter.

Pour vous faire peur : l’histoire se situera à … Neo-Manhattan, donc tout sera américanisé. La production contient également le studio de Leonardo DiCaprio (qui savait qu’il avait un studio??)

Fiche technique

Sortie aux USA : été 2009
Réalisateur : Ruairi Robinson
Producteur exécutif : Greg Silverman
Script: Gary Whitta

Speed Racer, le délire des frères Wachowski

Speed Racer film frêre Wachowski

Le 9 mai 2008 marquera le grand retour des frères Wachowski qui signent, avec Speed Racer, leur premier film post Matrix.

On y retrouve Go Mifune alias Speed, un jeune pilote avide de victoire au volant de sa super bagnole Mach 5. Tiraillé entre gagner à tout prix et conserver ses idéaux de pilote, Speed devra se frayer un passage au sein du championnat, surtout qu’un mystérieux rival, Racer X, n’est pas prêt de lui laisser le champ libre.

La bande annonce de Speed Racer [us]

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A la base, Speed Racer alias Mach Go Go Go est un anime japonais de Tatsuo Yoshida diffusé en 1967 et 1968 (52 épisodes). Dans cette série, on retrouve Mifune au volant de son bolide Mach 5 construit par son père. Inconnue en France, cette série a connu un large succès au Japon et aux USA. En 2006, TV Ashashi a rendu public un sondage auprès de son audimat qui plaçait Speed Racer 85ème série préférée des japonais, devant Bleach ou Mazinger Z !

Speed Racer la série anime

La série a déjà eu droit à un remake : Speed Racer 2000 (sorti en 1997) ainsi qu’à un film d’animation américain. Sorti en 2001, Speed Racer The Movie n’a pas eu de succès et sa sortie est passé quasiment inaperçue. Pour autant, la série est encore diffusée de nos jours aux USA via Cartoon Network.

Il est assez étonnant que les frêres Wachowski soient sortis de leur retraite pour accoucher du film live Speed Racer. Même s’ils n’ont jamais cachés qu’ils étaient fan de japanime, on aurait pu penser qu’ils auraient adaptés un anime plus récent. La raison avancée par la fratrie est l’amour des bagnoles, car les Wachowski sont des ultra fans de bagnole et Speed Racer leur a laissé le champ libre à tous les délires mécaniques.

Christina Ricci dans Speed Racer

Néanmoins, le film offre aussi un rendu visuel déroutant, overdose d’image de synthèse, de personnages plastiques et de vitesse supersonique. Cela donne une impression de virtuel assez étrange, comme si les acteurs devaient rester aussi désincarnés que leur homologue animé. Malgré le casting alléchant (John Goodman, Christina Ricci, Emile Hirsch et Susan Sarandon) la présence d’un humour enfantin risque de dérouter les fans des Wachowski.

L’adaptation sera en n’en point douter fidèle, mais sera t’il suffisant pour en faire un bon film ?

Rendez-vous le 18 juin pour sa sortie en France.

Speed Racer

Fiche technique

Titre : Speed Racer
Titre original : Mach Go Go Go

Date de sortie USA : 9 mai 2008
Date de sortie France : 18 juin 2008

Réalisateur : Andy Wachowski & Larry Wachowski
Production : Warner Bros

Casting :
Speed Racer : Emile Hirsch
Trixie : Christina Ricci
Pops : John Goodman
la femme de Pops : Susan Sarandon & Zac Efron
Racer X : Matthew Fox
Sparkie : Kick Gurry Rex
Scott Porter : Ben Burns
Richard Roundtree : la petite amie de Racer X
Nayo Wallace : Jung Ji-Hoon

Death Note – par Aledebert

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Death note

Ecrit par Takeshi Obata

Avis: Death note! Le fameux Death note! Vous connaissez? C’est un manga oroginal tout en restant manga. Les personnes aimant les "policiers" en livre adoreront! N’hésitez pas, il est super et pour une fois, on arrête les combats! 5736-1253179771

Vidéo: Partie 1 des episodes Death note

Note: Je lui ai mit 8,5/10 et vous?

Résumé:          Ryuuku, Shinigami a,délibérément, fait tomber sa Death Note (dans le but de jouir de la zizanie provoquée par le futur propriétaire du "Carnet" ou "Journal des morts") dans le monde des Humains.
Sur Terre, un jeune lycéen surdoué de 17 ans, Yagami Raito, découvre un carnet dont le titre est celui de Death Note. En le lisant, Raito pense qu’il s’agit d’une sorte de farce, comme peuvent l’être les messages de mauvais sort. En effet, il est inscrit sur la Death Note, qu’en écrivant le nom d’une personne et en ayant en tête son visage, le propriétaire du carnet peut la tuer; soit en lui provocant une crise cardiaque si rien n’est mentionné, soit en indiquant clairement les conditions de sa mort.
Ryuuku retrouve Raito et lui explique que le Death Note sera le lien entre eux deux et que seul celui qui touche la Death Note peut la voir et l’entendre .Raito se met alors à tester ce livre afin de vérifier la véracité de ce qui y est écrit. Tout d’abord, en regardant une prise d’otages à la télévision, il décide de tuer le criminel sans en préciser la cause. Et effectivement, au bout de 46 secondes le ravisseur s’effondre, mort d’une crise cardiaque.
Deuxièmement, en se promenant dans la rue, il aperçoit une scène gênante : un homme et ses compagnons agressent une jeune femme. Comme il était en moto, Raito décide de le tuer en précisant sur la Death Note une mort "par accident".
Et une nouvelle fois, l’effet se produisit, l’homme fut projeté brutalement par un camion. Raito détestant la soif de pouvoir et la corruption qui règne dans le japon comme partout ailleur sur la Terre il décide de changer le monde, en le nettoyant de toutes ses impuretés… En quelque sorte, il veut maintenir les criminels dans la terreur d’être tués par une sorte de dieu surnommé rapidemement "Kira".
Pendant ce temps, la conférence de l’ICPO se tient et c’est alors qu’apparait l’adversaire de Kira,un détective de génie nommé L….

Tintintintiiinnnnnnnn! Suspens!

Bon d’accord, pour être plus précis, voilà le tome 1 (une suite de l’histoire):

La conférence de l’ICPO se tient, et deux parties commencent à se former : ceux qui n’ont pas de regrets vis-à-vis des criminels tués, et d’autres qui ne supportent pas les crimes de Kira. Les dirigeants du Japon font alors appel à L, le plus grand détective du monde, dont l’identité est un mystère. Watari, l’intermédiaire entre L et la police, apporte aux forces de l’ordre un ordinateur leur permettant de pouvoir s’adresser à L.Quant à Raito, comme il l’avait prévu, de nombreuses personnes le soutiennent sur internet, protégées par l’anonymat, il pense que les gens qui n’ont rien à se reprocher l’encourageront, au contraire de ceux ayant commis des délits.

A ce moment précis, le programme télévisé change soudainement, et L fait une intervention qu’il dit internationale, à visage découvert ! L s’adresse directement à Kira, en lui disant, pour résumer, que ses agissements sont criminels et seront punis. Raito, que les paroles de L mettent hors de lui, inscrit le nom de L écrit sur une petite pancarte : "Lind L. Tailor" devant L à la télévision. L’individu s’écroule au moment voulu mais L continue de parler et de provoquer Raito. Ce n’était donc pas lui, mais un prisonnier qui devait être exécuté précisément à cette heure-là. De plus, le programme n’a pas été diffusé dans le monde entier comme il a été dit plus tôt, mais uniquement dans la région du Kanto, au Japon. L a donc bien prouvé que Kira est au Japon. Le combat entre Kira et L commence !

L est préoccupé de savoir pourquoi Kira ne l’a pas tué. Watari le contacte alors par l’intermédiaire de son ordinateur et le branche directement à la réunion que tient une unité exceptionnelle chargée de l’affaire Kira. Les rapports informent les agents que les crimes ont lieu à heures fixes, que les tués sont tous japonais et que parallèlement, le taux de crime a fortement baissé depuis l’apparition de Kira.
Le chef de la police rentre chez lui; à table, Souichiro annonce à Raito, son fils qu’il est sur un cas difficile et il imagine que d’après les horaires des assassinats il s’agit d’un étudiant, bien évidemment Raito comprend que son père travaille sur l’affaire Kira. Le lendemain, son père apprend qu’une vingtaine de nouveaux crimes ont été commis et qu’ils l’ont été à différents moments de la journée ce qui amenuit les chances que le criminel soit un étudiant. Raito, s’inquiétant pour la sécurité de la Death Note lorsqu’il est au lycée, décide de la cacher, puisque si une personne la touche, Ryuuku sera visible et audible pour elle.

L songe sur à tout ce qu’il a appris sur Kira pour le moment : Kira semble être un étudiant, mais il a tué 46 personnes en deux jours, en tuant une personne toutes les heures, ce qui prouve qu’il n’en est pas obligatoirement un. Cela montre également qu’il peut choisir l’heure qu’il veut pour commettre ses crimes et qu’il a pu, par conséquent, faire semblant d’être un étudiant jusqu’alors pour piéger les forces de police. De plus, il semble avoir des informations dont l’origine est la police.
En outre, Raito peut pirater l’ordinateur personnel de son père sans laisser de traces, ce qui lui permet de suivre l’évolution de l’enquête menée contre lui. Il laisse des indices à L dans le but que celui ci se manifeste personellement afin de pouvoir connaitre son visage et le tuer. Au QG de la police, trois inspecteurs donnent leurs démissions au directeur, Yagami Souichiro; en effet, la peur de Kira les emportant sur le courage n’ayant pas une identité cachée comme celle de L.
Raito cherche une manière de dissimuler la Death Note de façon à ce que personne ne puisse la trouver même en fouillant sa maison, et vient de terminer le "piège-cachette" de la Death Note. Le piège se déclenche si le tiroir à double fond, contenant la Death Note ne s’ouvre pas correctement, et dans ce cas, le voleur brûlera alors avec la Death Note. L désire que les enquêteurs soient surveillés, pensant que l’un d’entre eux est en contact avec Kira.

L vient d’obtenir la liste des 141 enquêteurs. Raito rentre chez lui après ses cours, c’est alors que Ryuuku lui apprend qu’ils sont suivis depuis deux jours. S’inquiétant d’abord, il se calme : il n’a pas failli à son attitude de lycéen lambda ces deux derniers jours. Une fois rentré chez lui, le fils du chef de la police cherche un moyen de trouver l’identité de celui qui le suit, afin de faciliter sa situation. Par la suite, Ryuuku explique à Raito que les Shinigamis tuent les gens pour rester en vie : l’espérance de vie restante à l’humain qui vient d’être tué par un shinigami est rajoutée à celle du dieu de la mort. Les Shinigamis peuvent donc mourir si ils n’écrivent pas assez fréquemment de noms sur leurs Death Note. En revanche, pour Raito, puisqu’il n’est pas un Shinigami mais un humain, son espérance de vie n’augmente pas au fur et à mesure de ses meurtres. Le second point que Ryuuku aborde est l’oeil du Shinigami, qui permet de connaître le nom et l’espérance de vie d’une personne, juste en la regardant dans les yeux. Ryuuku finit ses explications en disant qu’il peut donner ces yeux à Raito, mais que ce dernier devra céder la moitié de son espérance de vie.

Mais Raito n’accepte pas de prendre les yeux de Shinigami car il désire que son emprise sur le monde soit la plus longue possible. Il lui vient alors une idée à l’esprit pour trouver le nom de son poursuivant, il se saisit de sa Death Note et écrit pour la première fois des détails des décès de ses victimes. Pendant ce temps, au QG de nouveaux cas de morts par crise cardiaque sont signalés et certains ont agi bizarrement avant de mourir. Raito récupère ces signalements sur l’ordinateur de son père et il en conclut qu’il peut faire faire à ses victimes ce qu’il veut, avant qu’elles ne meurent, cependant certaines demandes impossibles des détails de la mort ne peuvent pas être réalisées, comme par exemple de demander à ce qu’un prisonnier "dessine le visage de L". Cette série de mort était donc une série de tests pour que Kira maîtrise parfaitement sa Death Note.

Le lendemain matin , Raito appelle une amie…
Raito a un rendez-vous avec la fille appelée précédemment. Ils prennent un bus qui se dirige vers un parc d’attraction. Un criminel fait alors son apparition et prend le bus en otage, en réalité Raito lui a ordonné cet acte grâce à la Death Note. Par un stratagème, il va obtenir le nom de la personne qui le suit depuis quelques jours; en effet, il va soupçonner la personne se trouvant dérrière lui dans le bus (le poursuivant) d’être un complice du criminel, il va découvrir que son nom est Raye Penber et qu’il est un agent du FBI. Raito fais alors tomber délibérément un bout de papier déchiré auparavant de la Death Note, le kidnappeur le touche et peut voir Ryuuku, il s’affole, et après avoir vidé son pistolet sur ce dernier, sort du bus et meurt, écrasé par une voiture, respectant les conditions que Raito avait écrites dans la Death Note.

***

Aledebert

Death Note : critique et résumé

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Vous ne l’attendiez plus et pourtant la voici enfin : la critique de Death Note ! xD
J’osais plus la rédiger à cause de la pression que vous m’avez mis ! C’est quand même la grosse série à succès du moment, faut assurer…

Titre original
: Death Note
Auteur : Tsugumi Ôba (scénario), Takeshi Obata (dessin)
Année : 2004 pour le manga, 2006 pour l’anime et le film
Genre(s) : shônen intellectuel xD
Support(s) : manga de 12 volumes + un anime de 37 épisodes + un film live
Editeur(s) : Kana, anime et film non licenciés

Synopsis : Au royaume des shinigami, les dieux de la mort, on s’ennuie ferme. C’est le cas de ce pauvre Ryûk qui décide pour s’amuser un peu de laisser tomber son Death Note dans le monde des hommes.
Qu’est-ce que le Death Note ? Un petit cahier bien pratique dans lequel les shinigami écrivent le nom de leur victime et les conditions de leur mort.
Il est ramassé par un lycéen brillant du nom de Light Yagami. Au départ sceptique, il réalise l’ampleur du pouvoir du Death Note quant le criminel dont il avait écrit le nom meurt réellement.
Il décide alors qu’il nettoiera le monde de tous les gens qui le pourrissent mais devra pour cela mesurer son intelligence à celle de L, un mystérieux détective extrêment malin bien décidé à arrêter le massacre…

Critique : vous dire que Death Note est LA série en vogue au Japon en ce moment serait sûrement suffisant pour vous convaincre qu’elle vaut le détour mais je vais quand même essayer de développer un peu plus !
Si vous êtes lassés du shônen habituel, Death Note est fait pour vous, il y a du combat, oui, mais du combat intellectuel ! Ce manga ne confronte pas les forces physiques mais mentales, pas de supers gadgets sophistiqués ni de techniques surhumaines car sans compter le Death Note, les héros n’ont pour s’affronter que leur intelligence.
On pourrait s’inquièter et en conclure que l’intrigue manque d’action mais il n’y a pas à s’en faire de ce côté-là : je n’ai noté pour le moment aucun temps mort, aucune page qui ne m’ait pas tenue en haleine.
Les personnages, en plus d’être ultra-charismatiques, sont vraiment poussés. L’évolution malsaine de Light est vraiment effrayante de réalisme, car le meurtre engendrant le meurtre, si ses intentions de départ pouvaient être tolérables, il devient clairement un sociopathe au fur et à mesure de l’intrigue.
L est mon petit préféré, j’adore sa dégaine relâchée et tout le mystère qui l’entoure. ^_^
Le graphisme est vraiment un autre point fort du manga, enfin ça c’est un avis très subjectif mais je trouve vraiment le trait très travaillé et agréable à regarder. Il est régulier et réaliste (en un sens tant mieux, sinon à quoi bon se mettre à deux pour un même manga ? ^_^ Au passage Takeshi Obata est aussi le dessinateur de Hikaru no go)
Le Death Note a beau être un concept abstrait, il nous amène à nous poser des questions qui méritent réflexion : le droit de vie ou de mort sur autrui, que ferions-nous si on disposait d’un tel pouvoir ? (qui, honnêtement, n’a jamais rêvé de tuer quelqu’un qu’il haïssait ?) Tuerions-nous si l’on était assuré que personne ne remontrait jusqu’à nous ? Ce serait vraiment tentant mais dans ce cas où s’arrête notre moral ?
Je lis pas mal de polars en temps normal où le suspense et la réflexion sont largement de la qualité de ceux de Death Note mais je dois dire qu’en manga c’est vraiment pas mal non plus, j’imagine que c’est d’autant plus frappant quand on a pas l’habitude du genre.
Maintenant que je l’ai fini je peux rajouter que Death Note s’écarte également de certains stéréotypes du shônen, il se démarque par des événements qu’on s’attend tous à voir mais qui finalement ne surviennent pas et sont peut-être de ce fait plus réalistes (alors là c’est l’embrouille mais je pense que ceux qui l’ont lu comprennent ce que je veux dire xD). Je ne donnerai pas d’exemple précis pour éviter les spoils de la mort qui tue ! Enfin bref certaines choses auxquelles je ne m’attendais pas du tout m’ont vraiment surprise…
Pour conclure Death Note est ma série fétiche du moment, tant par son intrigue originale que par ses personnages que je conseille vraiment à tout le monde (enfin c’est un peu stupide de dire ça, je suppose que vous l’avez déjà tous lu – du moins pour les habitués de mon blog : p)

L’anime est fidèle en tous points à la trame du manga et les graphismes comme l’animation sont de très bonne facture. La musique en revanche n’a rien d’exceptionnel mais je pense pouvoir dire que l’adaptation est largement à la hauteur de l’oeuvre originale, de plus tous les épisodes sont disponibles sur Dailymotion, pas besoin de s’embêter à télécharger ! (n’est-ce pas merveilleux ?)
Il existe aussi deux films live (tu avais raison Koras ^_^) avec Fujiwara Tatsuya dans le rôle de Light (le Shuya de Battle Royale) et Matsuyama Kenichi pour le rôle de L (Shin dans Nana). Ryûk et Rem en image de synthèse sont parfaitement intégrés au film et je ne sais pas si c’était juste pour le trailer mais la musique était celle des Red Hot Chili Peppers, plutôt bon signe !
Voici les trailers :
Death Note
Death Note – The Last Name

Within You – David Bowie – paroles

Les paroles et la musique de « WITHIN YOU », par David Bowie !!

PAROLES DE WITHIN YOU

How you turned my world, you precious thing
You starve and near exhaust me
Everything I’ve done, I’ve done for you
I move the stars for no one

You’ve run so long
You’ve run so far

Your eyes can be so cruel
Just as I can be so cruel
Though I do believe in you

Yes I do

Live without the sunlight
Love without your heartbeat
I, I can’t live within you
I can’t live within you

(sigh)

I, I can’t live within you