Placebo et Brian Molko – biographie

C’est au Luxembourg que commence l’histoire Placebo.
C’est là que Brian Molko (guitariste et chanteur) rencontre pour la première fois Stefan Osdal (bassiste). Les deux jeunes gens ne se lient pourtant pas d’amitié.
Quelques années plus tard, alors que Brian suit des cours de théâtre à Londres, il renncontre par hasard dans le métro, son ami d’enfance Stefan.
Les deux jeunes garçons deviennent amis et de trouvent des passions communes, notamment, la passion de la musique.
Ils décident de former un groupe, les Ashtray Hearts. Robert Schuktzberg, ami d’enfance de Stefan, les rejoint et s’installe à la batterie mais renoment finalement leur groupe Placebo.

Le groupe signe en 1996 son 1er album éponyme après avoir tourné avec les Sex Pistols sur leur tournée de reformation et Weezer. Il fait par ailleurs la couverture des magazines musicaux anglais NME et Melody Maker. Composé de Brian Molko au chant et à la guitare, de Stefan Osdal à la basse et de Robert Schuktzberg à la batterie, le groupe rentre dans les charts grâce au single "Nancy boy". Placebo est présent lors du cinquantième anniversaire de David Bowie puis sort en 1998 "Without You I’m Nothing" avec un nouveau batteur Steve Hewitt. Retour en force pour les petits gars londoniens, fin 2000, avec leur album "Black Market Music". Il est suivi de "Sleeping with Ghosts" en 2003.
 
Placebo fait beaucoup parler au travers de ses provocations sexuelle et l’ambiguité de Brian Molko, icone Androgyne voire totalement travestie selon les moments. Le Bassiste Stefan Oldsdal lui ne laisse pas trop de doute sur le fait qu’il est gay. Bisexualité, homosexualité… réalité ou provocation pour faire parler ? PLacebo a été lancé par David Bowie, icone gay au passé sulfureux… Placebo est ami avec Depeche Mode… on prête notamment à Brian Molko une liaison joyeuse avec Dave Gahan…
Enfin, ce qui compte, c’est avant tout la musique, le reste n’étant que du people 😉 !

Le Glam Rock, de David Bowie à Placebo, en passant par T-Rex !

Le glam rock correspond à un mouvement du rock britannique s’étendant sur les années 1970 et 1980, qui a favorisé l’émergence du mouvement punk.

Le glam rock se caractérise par plusieurs aspects spectaculaires, musicaux ou littéraires :

le plus évident est son côté spectaculairement « glamourous » : les chanteurs et leurs groupes apparaissent comme des héritiers du dandysme, vêtus de façon excentrique, couverts de strass et de paillettes, revendiquant ouvertement leur caractère androgyne; c’est par exemple le cas de David Bowie se déclarant bisexuel ou posant en robe sur la pochette de The Man Who Sold The World. Dans la dernière période du mouvement, toutefois, le côté « glam à paillettes » tend à s’estomper pour une esthétique à chapeaux haut-de-forme plus « vampire », assez inspirée du film Orange mécanique (voir le groupe The New York Dolls et, à certains moments, Queen).
viennent ensuite, à un niveau plus musical, l’abondance des parties où tous les membres d’un groupe chantent en choeur (même partition, même hauteur, même moment). Voir le célèbre morceau « Cosmic Dancer » du groupe T-Rex (repris entre autres dans le film Billy Elliot).
enfin, est-ce un hasard, les références à la science-fiction sont fréquentes dans le glam rock : groupe de David Bowie surnommé Ziggy Stardust and the Spiders from Mars, nombreuses références à cette planète dans ses chansons ("Life On Mars") ainsi que dans celles, par exemple, de T-Rex ("Ballrooms Of Mars")…
Par ces différentes caractéristiques, le musicien glam rock se présente comme une créature d’exception, donc précieuse, qui ne peut être appréhendée que par ses pairs, à savoir les fans du mouvement.

Les représentants du Glam Rock aujourd’hui sont Placebo pour les héritier de Bowie… et bien sur David Bowie qui est toujours là ! On retiendra aussi le passage de My Vitriol au début des années 2000, Orgy aussi pour son glam rock Metal.

Placebo en concert ! mon rêve se réalise !

Attention, je vais vous annoncer un rêve qui se concrétise…
Attention, suspens…
Ce lundi-dernier, je me suis rendue chez Caroline Music pour acheter une place de concert! Mais quel concert me direz-vous?
Attention, suspens…

Je vais donc aller voir Placebo a Paris !!!

Vous ne me croyez pas, je vous rassure, moi aussi j’ai du mal a y croire mais la place que je tiens dans mes mains le prouve…

Oui, oui je vais voir mon rêve culturel et ses acolytes en vrai et à Paris… Oui, oui c’est le pied de voir enfin Brian Molko en concert !!!

Biographie Placebo – contribution d’un lecteur

Composé de Brian Molko, à la guitare et au chant, de Stefan Osdal, à la basse et au clavier, et de Steve Hewitt à la batterie, Placebo trouve ses origines au Luxembourg. En effet, le père de Brian, homme d’affaires et banquier, trimbale son fils de pays en pays pour finalement s’établir au Luxembourg. C’est là, pour la première fois, que Brian Molko fait la connaissance de Stefan Osdal, futur bassiste du groupe, sans toutefois vraiment lier amitié avec celui-ci.

Chanteur androgyne
Ce n’est que plus tard, alors qu’il suit des études d’art dramatique à Londres, que Brian retrouve dans le métro, par un heureux hasard, son compagnon d’enfance Stefan. Ils deviennent amis et se découvrent de nombreux points communs et notamment la musique. Ils décident alors de fonder un groupe: les Ashtray Hearts avec, à la batterie, Robert Schultzberg, un ami d’enfance de Stefan. Après mûres réflexions, ils décident de rebaptiser le groupe en Placebo.

En 1996, Placebo sort un premier album éponyme, accueilli favorablement par la critique grâce à des titres comme Come Home, Teenage Angst et 36 Degrees. Celle-ci n’hésite d’ailleurs pas à les comparer aux Sonic Youth et même à Nirvana.

Entre temps, ils sont remarqués par David Bowie et Iggy Pop, qui voient en eux les nouveaux emblèmes d’un rock dur et torturé, qui avait disparu depuis de nombreuses années. Mais Placebo fait beaucoup couler d’encre, notamment à cause de son chanteur, au look androgyne et connu pour ses excès de drogues et d’alcools.

Without You I’m Nothing
En 1998, ils sortent leur deuxième album, Without You I’m Nothing, cap toujours difficile à franchir dans la carrière d’un groupe. On y retrouve des morceaux comme Pure Morning, Every You Every Me, mais aussi et surtout le duo avec David Bowie: Without You I’m Nothing, véritable tube planétaire grâce auquel l’album sera sacré disque d’or dans de nombreux pays et notamment en France et en Belgique. Cet album est plus pop que le premier. On y trouve de nombreuses ballades, mais aussi des morceaux où l’électronique fait son apparition. Résultat: Placebo réussit à imposer son style, un rock pur et dur enjoint de mélancolie.

En octobre 2000, leur troisième album Black Market Music envahit les bacs. Moins plébiscité par le public et la critique, il est toutefois très recommandable.