Resident Evil Code:Veronica

2001, Dreamcast, puis Playstation 2, Game Cube, Capcom

Le premier Resident evil version 128 bits…

Trois mois s’étaient écoulés depuis l’accident de Raccoon City où un terrible virus s’était propagé suite aux expériences de la multinationale Umbrella, transformant la population en morts-vivants. Claire Redfield, qui s’était rendu dans cette ville à la recherche de son frère Chris, ancien membre du S.T.A.R.S., se rend dans les locaux d’Umbrella de Paris toujours dans le but de retrouver son frère disparut. Mais à son arrivée elle est arrêtée et transférée dans une prison sur une île. Peu après son arrivée, cette île est attaquée par un mystérieux commando et encore une fois le virus se propage… Elle se retrouve une fois de plus au prise du Virus-T et d’une diabolique famille à la solde d’Umbrella.

Resident Evil 3 – nemesis – chef d’oeuvre de Capcom

1999, Playstation, PC, Dreamcast, Game Cube, Capcom

Resident Evil 3 NEMESIS (Biohazard Last escape en Japonais), est une suite qui n’en est pas vraiment une, il s’agit là plus d’un ‘add-on’ que d’un jeu à part entière. L’aventure se déroule « à cheval » sur le second épisode. En effet l’action débute une journée avant RE2 et s’achève une journée après.

Raccoon City, une ville contrôlée par Umbrella, une multinationale de produits pharmaceutiques et de recherches, qui fourni la majeure partie des emploies aux habitants. Personne n’osait s’opposer à cette puissante organisation, personne… Pourtant quelques mois auparavant un accident était survenu dans un manoir près de la ville contenant un laboratoire secret ou un terrible virus, le Virus-T, s’était propagé. Le commando S.T.A.R.S., dont Jill faisait partit avait découvert que Umbrella était derrière tout ça, mais personne ne les avait cru. Pourtant deux mois après, en septembre un nouvel accident ravagea Raccoon City où le Virus-G, une variante du Virus-T s’était également propagé. Quelques heures à peine après cet accident et la fuite de la ville de Claire et Léon, Jill devait, elle aussi, s’enfuir pour survivre. C’était sa seule échappatoire, sa dernière chance de survie…