Bioshock : le test ultime !

Voilà un moment que je n’avaisposté, je vais donc mettre la paquet sur ce test, le test dutrès attendu Bioshock, sur PC.
Depuis le temps que je l’attendais, j’avaisessayé une excellente démo (quoique beaucoup tropcourte) et j’avais lu plusieurs tests dont ceux de JV.com et de NoFrag. Celui du magazine Joystick esténorme. Assez covaincu j’ai donc décidéd’investir mes deniers dans un jeu ultra protégécontre la copie qui n’offrais que quelques activationsjusqu’à la sortie d’un correctif. Mais passél’installation tout se fait pardonner, nous voilà àRapture!
 
Scénar’ classique:
Dans les années 50 après unaccident d’avion vous échouez à Rapture, unecité construite sous la mer par un milliardairemégalomane et dictée par l’individualisme, laperfection et la beauté. Ce terrible mélange en afait un lieu d’anarchie totale et d’horreur propice àd’horribles expériences génétiques. Il n’y aqu’une seule richesse à Rapture: l’Adam. Celui quipossède l’Adam possède le vrai pouvoir. Il va de soitque voir un étranger débarquer dans ce monde ne plaitpas aux locaux qui feront tout pour vous éliminer. De votrecôté vous organiserez la riposte.
Si le scénario n’a rien d’original ilse révèle assez profond et connait certainsrebondissements qui relancent l’envie de jouer. Vousdécouvrirez aussi petit à petit l’histoire de Raptureet votre passé… 
 
Gameplay efficace:
Bioshock propose un gameplay simple etclassique, mais finalement assez riche et complexe si on veutcombiner les différentes possibilités offertes. Enfait la mécanique simple du jeu de shoot est repectéemais est aussi enrichie par une dimension jeu de rôle.
En effet, dès le début du jeu,votre ADN est modifié et vous pouvez acquérir despouvoirs, les Plasmids.  Ces plasmids vous permettrontnotamment d’électrocuter, geler, incendier ou encore charmervos ennemis ou des objets. Ces pouvoirs fonctionnent grâceà des injections d’Eve. A cela s’ajoutent de nombreusesaméliorations physiques ( niveau de vie, d’Eve,facultés…) et matérielles. Ce sont des fortifiantsgénétiques.
Tout au long du jeu, vous pourrezaméliorer ces pouvoirs et vos capacités enrécoltant de l’Adam sur des jeunes filles (les PetitesSoeurs) qui récoltent l’Adam sur des cadavres. Pour celadeux choix s’offrent à vous: soit les tuer, soit lessauvert. Ce choix aura de l’influence sur tout le jeu sachant queles tuer rapporte plus d’Adam et  les épargner desbonus. 
Là où on peut rendre le jeubeaucoup plus intéressant, c’est en combinant les plasmidsavec l’envirronement et vos armes. On pourra par exemple terrasserun ennemi qui a les pieds dans l’eau en utilisant le plasmid "arcélectrique" dans la flaque d’eau, ou terroriser l’adversaireen lui lançant une nuée d’insectes pour le perturberet mieux le mettre à mort. De même sur un ennemirobuste, le plasmid "télékinésie" et le moteurphysique permetteront de lui balancer des bombonnes de gaz qui nedemandent qu’à lui exploser à la face.
Mais passé ces particularités dejeu, on se rend compte que le jeu devient trèslinéaire et répétitif notamment dans lesphases de piratage de systèmes de sécurité.Toujours guidé par un contact radio, on saura toujours cequ’on a à faire et où aller. Reste que l’air de jeuest gigantesque (bien que divisée en plusieurs zones). Onadore s’y "promener" car c’est beau tout simplement.
 
Dieu que c’est beau!
La technique est indéniablement lepoint fort de Bioshock. Basé sur l’Unreal Engine3 (eh ouiencore lui!) l’univers graphique est enchanteur et magnifique, tantdans ses effets de lumière que par sa modélisation.On en prend plein les yeux, peu importe qu’on se ballade ou qu’onse batte, on s’arrête même parfois pour regarderl’envirronement sublime de Bioshock. De ce côtélà c’est exceptionnel. 
L’ambiance, mélange de musique desannées 50, d’histoires enregistrées par radio quivous racontent l’histoire de Rapture, de bruitages bizarres et descris de vos ennemis, est extrêmement immersive et obligeà rester aux aguets pour connaître tous lesdétails de l’histoire. Et lorsqu’il ne se passe rien, ons’arrête et on se repose en écoutant un vieuxmagnétophone. Bref peut importe où on va et ce quel’on fait, on ne peut pas s’ennuyer.
Reste qu’il faut bien évidemment uneconfiguration très solide pour faire tourner la bêtecompatible avec Windows XP et Vista. Sous Windows XP, un Athlon X24200+, 2 Go de Ram et un GeForce 7900GT ça tourneimpeccablement avec toutes les options à fond.
 
FPS, durée de vie courte?
La durée de vie est souvent un pointfaible des FPS, mais là dans Bioshock elle esthonnête. Le jeu m’aura tenu en haleine une quinzaine d’heureen prenant le temps de tout explorer pour profiter de samodellisation unique. Si ce n’est pas exceptionnel, c’esttrès honorable pour un jeu sans mode multi.
Pourquoi pas de multi? Eh bien comme l’atrès bien Ken Levine interviewé dans le JoystickN°197 d’e Septembre 2007, il était aussi bien d’utiliserle temps qui aurait été nécessaire audéveloppement d’un mode multijoueur à peaufiner aumaximum la campagne solo de Bioshock. On doit avouer que sur cecoup là il n’a pas tort.
Reste que les aspects rébarbatifs decertaines phases de jeu en rebutteront plus d’un à refairele jeu. Notons quand même que le patch 1.1 apporte pas mal denouveautés, comme notamment des nouveaux plasmids etfortifiants et la possibilité de désactiver lesvita-chambres.
 
Verdict:
Au final Bioshock est un excellent jeu qui parsa maîtrise technique et son ambiance extraordinaireréussi à faire oublier pas mal de petitsdéfauts. Il se hisse sans soucis au rang de jeu del’année avec S.T.AL.K.E.R et vaut largement son prix.
 
 Des sreens en veux-tu envoilà:
Petitesoeur
Plasmid
Rapture1
Rapture2
Rapture3
Rapture4 – 
 
Note: 19/20 

Présentation du meilleur FPS de l’année :Bioshock

Depuis quelques jour un jeu est dispo sur Ps3 et qui est dispo depuis un an sur PC et XBOX360:le jeu Bioshock.
Le jeu se déroule dans une cité sous marine nommée Rapture,cité affranchie de morale et de dirigisme politique.Gigantesque complexe sous-marin, la ville devient, durant les années 60, le refuge de notre futur meilleur ami, un certain Jack. Juste après le crash de son avion en plein océan atlantique, ce dernier ne doit effectivement son salut qu’au phare signalant la position de Rapture. Il parvient à s’y introduire et rejoint le bathyscaphe qui le conduit au coeur même de la cité qui n’est plus que l’ombre d’elle-même. Sans que l’on ne sache pourquoi, l’utopie a tourné court et les humains encore sains semblent condamnés.C’est l’un de ces « survivants » qui contacte d’ailleurs l’ami Jack et lui propose un marché : son aide contre la visite guidée des lieux par radio interposée. Jack accepte évidemment la proposition et se retrouve embarqué dans une bien sinistre galère. Très vite, nous nous rendons compte que les scientifiques de l’équipe de Ryan ,le créateur de cette cité,ont mis au point de nombreuses modifications génétiques afin de rendre la vie plus agréable aux habitants de Rapture. Ces changements n’ont cependant pas toujours été très bien maîtrisés et certains individus sont devenus aussi incontrôlables que dangereux. De son côté, Andrew Ryan semble avoir gentiment grillé les derniers fusibles qui lui restaient et la cité de Rapture est, pour parler familièrement, devenue un fichu « merdier » !
Voilà pour le scénario.Parlons du jeu en lui même:le titre regorge de phases de combats qui peuvent s’avérer corsés, très nerveux et très bourrins.Si les phases d’actions de Bioshock sont alléchantes, sachez que ce n’est néanmoins pas sa plus grande qualité. Bioshock est un FPS certes, mais c’est également un jeu d’aventure et d’exploration. De prime abord, on se trouve en face d’un titre des plus linéaires, avec des objectifs clairs et précis et qui propose même de nous guider à travers la ville grâce à une flèche de quête nous conduisant droit vers le point visé.On aurait tendance à penser qu’une cité sous-marine manque de variété architecturale, on se trompe, du coeur énergétique de la ville à son marché en passant par une forêt l’alimentant en oxygène ou encore son quartier de loisirs, Rapture est vaste et riche. C’est déjà un petit bonheur d’explorer pour admirer, mais chacun y trouvera son compte.
En conlusion je dirais que Bioshock est envoûtant, une pièce d’art qui se savoure non seulement comme un excellent jeu mais même comme un excellent bouquin narrant la déchéance d’une utopie. Et ça, c’est encore trop rare.Un chef d’oeuvre qui mérite sa place dans votre bibliothèque peu importe le support.Vivement la suite!

(E3 2007 ) Douze nouvelles images de BioShock

L’E3 sera officiellement lancé dans quelques heures àSanta Monica et 2K Games en profite pour dévoilerquelques nouvelles de BioShock, l’un de ses titres les plusprometteurs. Le FPS d’Irrational Games mise beaucoup sur sonambiance hors du commun pour s’imposer un mois avantl’arrivée de Halo 3. Sa sortie est en effetprévue pour le 24 août.

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BioShock : encore des images depuis l’E3

Voici venir une petite poignée de nouvelles images dutrès attendu BioShock, deux jours à peineaprès la dernière salve en provenance de l’E3.Toujours aussi impressionnante, l’ambiance dégagéepar le jeu d’Irrational Games ne manquera pas de fairefrissonner bon nombre de joueurs. Sortie prévue le 24août aux Etats-Unis et le 31 août en Europe.

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Bioshock – jeu d’action FPS très attendu

Bioshock est un d’action , un des jeux les plus attendu de cette année 2007. L’histoire ce déroule dans un ville sousmarine. Vous aurez différents pouvoir come latélékinésie, la téléportation.On évolura dans des environnements lugubre et stressant. Unjeux que un bon nombre de joueurs à hate d’y jouer grace à son originalité qui diversifie legenre.