« Là-haut » a été retenu pour faire l’ouverture du Festival de Cannes 2009. C’est la première fois qu’un film d’animation connaît cet honneur. La nouvelle aventure signée Pixar, est sortie sur nos écrans le 29 Juillet 2009.
Synopsis de « Là-haut »
Carl, 78 ans, un peu bougon, vit seul dans sa vieille maison depuis le décès de son épouse. Toute sa vie il a vendu des ballons. Alors qu’il est sur le point d’être envoyé en maison de retraite, il décide de réaliser le rêve de sa vie en attachant des milliers de ballons à hélium à sa maison pour s’envoler vers l’Amérique du Sud. Mais un passager clandestin, Russell, un jeune explorateur de 9 ans et assez envahissant, fera aussi partie de ce voyage plein d’aventures délirantes…
Photos de « Là-haut »
Critique de « Là-haut »
Un petit bijou Pixar une fois encore et sans surprise, tout en finesse et en poésie. Dans ce dernier long métrage le studio parvient toujours à nous émerveiller aussi bien visuellement que « scénaristiquement » parlant. Pete Docter (« Monstre compagnie »), et Bob Peterson parviennent à une ampleur artistique des plus étonnantes. Graphisme, musique, scénario, tout y est pour donner un bon film, capable de séduire tant les petits que les grands par sa richesse. On passe de l’émotion à l’humour sans que cela vienne briser la mise en scène : tout s’enchaîne à merveille.
Mention spéciale pour Charles Aznavour qui double Carl dans la version française du film.
Il n’y a qu’une chose à faire : aller voir là-haut !
Fiche technique de « Là-haut »
Date de sortie : 29 Juillet 2009
Réalisé par Pete Docter, Bob Peterson
Avec Edward Asner, Jordan Nagai, Bob Peterson
Film américain.
Genre : Animation
Durée : 1h 35min.
Année de production : 2009
Titre original : Up
Distribué par Walt Disney Studios Motion Pictures France
Bande-annonce de « Là-haut »
L’été se termine et à nouveau je fréquente les salles de cinéma.
J’ai passé un bon moment en allant voir Là-haut. L’histoire portée par la belle voix de Charles Aznavour est attachante voire touchante…
Cependant, désolée pour Pixar, étant une admiratrice de Miyakaki j’ai trouvé la représentation des personnages complétement robotisée et bien fade.